Entre rêve et matière
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 La PerFFFFFFFF (et oui, c'est reparti !)

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Franck-Fullbuster
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Franck-Fullbuster
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   Posté le 02-08-2020 à 21:28:30   Voir le profil de Franck-Fullbuster (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Franck-Fullbuster   

Sojiro arriva deux minutes plus tard, en voiture. Franck, heureusement rejoint rapidement par Mitsuru, avait seulement expliqué à Futaba que sa mère avait était conduite à l'hôpital. La voiture de Sojiro fit un dérapage en guise de stationnement.
Sojiro : Viens Futaba. Franck, tu viens aussi, et…Désolé de vous demandez ça, mais…
Mitsuru : Je viens aussi. Je pense que c'est mieux.
Sojiro : Merci.
Les trois lycéens montèrent à bord. le conducteur attendis à peine que tout le monde eut mis la ceinture pour démarrer.
Sojiro : Wakaba à été conduite à l'hôpital au nord de New Akihabara.
Futaba : Qu'est-ce qu'il s'est passé ?
Sojiro : Apparemment un…accident, alors qu'elle rentrait en voiture.
Futaba : Maman…
Mitsuru : Soit forte. Pour ta mère.
Mitsuru était assise à l'avant. Franck, ne su absolument pas quoi dire. Que dire quand la mère d'une amie avait subit un accident grave ? Et allait-elle seulement survivre ? Et si oui, à quel prix ? Le lycéen était rongé par l'angoisse, ne sachant que faire pour aider la jeune fille assise à côté de lui. Mais le pire, c'est qu'il savais que c'était plus dur encore pour elle, et que ça risquait de ne pas s'arranger de si tôt.
Au bout de quelques minutes, Sojiro arriva à l'hôpital, trouva rapidement une place de parking, et le groupe sauta de la voiture, se précipitant dans le hall d'entrée. Il n'y avait pas grand monde. Le sénior s'avança en courant vers la réceptionniste.
Sojiro : Wakaba…Isshiki. Vous savez-où elle est ? S'il vous plait ?
La réceptionniste parcourut la liste des admissions, puis…
Réceptionniste : Deuxième étage, chambre 203.
Sojiro : Merci.
Sans attendre, le groupe se précipita dans les escaliers. Futaba manqua de trébucher, mais fut rattraper par Franck et Mitsuru. Ils arrivèrent sans encombre devant la chambre 203, où un médecin les attendait.
Médecin : Je suppose que vous êtes la famille de la victime.
Sojiro : D'une certaine façon, oui.
Médecin : Très bien. Wakaba est prise en charge actuellement par Melle Uehara.
Sans attendre, Futaba poussa la porte de la chambre. Une infirmière proche de la trentaine terminait des branchement à un appareil médicale. Et allongée dans le lit, il y avait sa mère, qui semblait endormis. Futaba s'en approcha, ignorant l'infirmière.
Futaba : Maman, nous voila. Maman !
Mais Wakaba restait endormi.
Futaba : Maman !
Sojiro : Futaba…laisse la dame nous expliquer ce qu'il se passe.
Uehara : Elle est vivante, mais elle est dans le coma.
Futaba : Quoi ?
Des larmes montèrent aux yeux de la jeune fille.
Uehara : Les secours ont pu stabiliser son état, mais le temps qu'ils arrivent…disons que nous ne savons pas quand elle se réveillera. Ni si elle aura subit des pertes de mémoires.
Futaba : Non…maman…
Mitsuru se précipita vers Futaba pour la prendre dans ses bras.
Uehara : Tu devrais parler à ta mère. Je suis sur qu'elle entend. Mademoiselle, vous pouvez veiller sur elle ?
Mitsuru : Compter sur moi.
Uehara : Bien.
Puis, l'infirmière fit signe à Sojiro de la rejoindre à l'écart.
Sojiro : Je suis désolé de te demander ça, mais j'aimerai que tu vienne avec nous. Si tu sais ce qu'il se passe vraiment, tu pourras mieux aider Futaba.
Franck : Très bien.
Quelques instant après, l'infirmière, le patron du café, et le lycéen se retrouvèrent à l'écart.
Uehara : L'accident était vraiment terrible. D'après le premier rapport d'enquête, il y aurai eu une explosion dans le coffre de la voiture. Comme si elle transportait des substances explosives.
Sojiro : Quoi ?
Franck : Mais…c'est impossible.
Uehara : Ça s'est produit au moment où elle repartait du laboratoire. Travaillait-elle dans le secteur militaire de Parapluie SARL ?
Sojiro : Non, elle participait à la conception de nouveaux médicaments. Rien ne justifie qu'elle ai pu avoir des explosifs. et puis, c'est quoi cette histoire de secteur militaire ?
Uehara : Il n'y a rien d'officiel, mais apparemment, ils feraient toutes sortes d'essaie afin de créer une sorte d'armée invincible. Ils ont même harcelé une de mes collègues pour qu'elle leur cède les droit d'exploitation d'un médicament permettant de soigner des blessures par balles de façon miraculeuse. Heureusement, à cet époque, elle travaillait sous une fausse identité. Et aujourd'hui, elle à trouvé un poste qui n'attire pas l'attention sur elle. Elle m'a même dit qu'elle avait trouvé des volontaire pour ses essaie. Sans les mettre en danger bien sur.
Franck : Ça m'évoque vaguement quelque chose…
Sojiro : Mais…pour Wakaba…
Uehara : Rassurez-vous. Vous êtes les seuls au courant qu'elle est ici. Officiellement, Wakaba Isshiki est transféré à Saporo. Et je veillerait sur elle.
Sojiro : Tout ceci est surréaliste…
Uehara : Si vous voulez venir, alors venez la nuit. Ou alors, blessez-vous, mais je ne vous le recommande pas. Et je vous laisse mon numéro, en cas de besoin.
Sojiro : Merci, vraiment, pour tout ce que vous faite.
Uehara :Il y a autre chose, concernant l'état de Wakaba. A cause de l'explosion, nous avons du lui regreffer sa jambe.
Sojiro : Mon dieu…
Uehara : Grace à l'intervention rapide, il ne devrait pas y avoir de séquelles trop lourde, mais nous n'en saurons rien tant qu'elle ne sera pas réveillé.
Sojiro : Je vois. Merci de nous tenir au courant.
Uehara : Je vous laisse, je retourne au près de la patiente.
L'infirmière quitta la pièce, laissant les deux hommes seul.
Sojiro : Je n'arrive pas à le croire. Pourquoi…quelqu'un voudrait tuer Wakaba ?
Franck : La tuer ? Tu pense que c'est volontaire ?
Sojiro : Quel autre explications au fait qu'il y ai eu une bombe dans sa voiture ?
Franck : C'est vrai. Mais on fait quoi maintenant ?
Sojiro : J'ai…besoin de faire le tri dans ma tête. Je vous ramène à l'internat.
Franck : Ne vaudrait-il mieux pas que Futaba reste avec vous ?
Sojiro : Non, je ne pense pas. Là bas, elle sera avec vous. je pense qu'elle a plus que besoin de passer du temps avec ses amis. Soyez là pour elle, c'est tout ce que je vous demande.
Franck : Entendu.

Jeudi 27 Juillet, 9h23, chambre 333…

Les BOFABOLD s'étaient réunit dans la chambre, comme d'habitude.
Chihiro : Comment va-t-elle ?
Franck : Elle n'a pas parlé sur le chemin du retour.
Mitsuru : Elle est sous le choc.
Makoto : La pauvre…
Shinjiro : Une explosion….quelqu'un sait ce qu'il s'est vraiment passé ?
Franck : En fait…on ne le sais pas encore. Il faut attendre le rapport de police.
Mitsuru : Je vais voir comment elle va. je vous rejoint.
Mitsuru quitta la pièce.
Anoter : Mais qui s'en prendrai à quelqu'un qui fabrique des médicaments ? Ca n'a pas de sens.
Kefan : On est sur qu'elle fabriquait des médicaments ?
Haru : Comment ça ?
Kefan : Disons que…si il y avait autre chose, ça se comprendrait mieux.
Franck : Ne dit pas ce genre de chose à Futaba.
Kefan : T'en fait pas, ça reste entre nous. Je me demande juste si il y a quelqu'un qui à quelque chose à se reprocher dans cette affaire. pas forcément elle, hein ?!
Yusuke : Je sais pas…on ne sais rien de tout ce qu'il peut se passer, là-bas.
Rio : Tout ce qu'on peut faire, c'est être là pour notre amie. Elle nous a toujours suivi, alors on ne doit pas la lâcher.
Kanji : On sera de tout cœur avec elle. J'ai même commencé à lui broder un porte-bonheur.
Franck : Je devrait apprendre à faire pareil.
Soudain, le téléphone de Franck sonna.
Franck : Mitsuru ? Qu'est-ce que…
Mitsuru : VENEZ VITE TOUS EN BAS ! JE CONTACTE SOJIRO ! VITE !
Franck : Je le sent mal…venez !
Anoter : On te suis.
Tout le groupe sorti précipitamment de la chambre. Le silence des lieux était plutôt inquiétant. Peu d'élève restaient ici pendant les vacances. Arrivé en bas, ils virent Futaba faisant face à plusieurs hommes habillé en noir. Mitsuru venait de prendre position aux coté de la jeune fille, bientôt rejointe par tout les autres.
Homme en noir : Hé bien, il en reste du monde ici.
Ces individu ne semblaient pas vraiment amicaux.
Makoto : Qui êtes vous ? Si vous n'êtes pas des employé ou des membres d'une famille d'un élève, je vais vous demander de quitter les lieux.
Homme en noir : Allons, pas la peine d'être aussi froide avec nous. Nous sommes juste venu demander à la demoiselle où est sa mère. C'est tout.
Franck : Ça ne vous regarde pas !
Homme en noir : Je vois. Nous pourrions la sauver, vous savez.
Futaba : C'est pas vrai.
Homme en noir : En même temps, c'était peut-être ce que tu espérait, petite sotte.
Mitsuru : Comment !?
Homme en noir : Voyez-vous, Isshiki travaillait sur un projet…détonant. Elle aurait pu réussir, si ses calculs n'avez pas était faussé.
Futaba : Faussé…?
Homme en noir : Si personne ne s'était mêlé de ses recherche, elle serait encore en vie, et en bonne santé.
Futaba : Non…
Franck : Partez. Partez d'ici !
Homme en noir : Sinon quoi ?
Kawakami : Qu'est-ce qu'il se passe ici ?
La prof venait de sortir de sa chambre, surement alerté par le ton de la discutions. Son regard se posa d'abord sur le groupe d'une dizaine d'individu, puis sur Futaba, qui venait de tomber à genoux, en larme.
Celui qui semblait être le chef s'avança vers elle.
Homme en noir : Je te le redemande, où est…
Mais en un instant, Franck s'interposa.
Franck : Moi vivant, vous ne la toucherez pas !
Homme en noir : Ho, vraiment ?
Et alors que l'homme portait sa main sous sa veste, la porte d'entrée s'ouvrit avec fracas !
Sojiro : Vous ! Ne touchez pas à Futaba !
Le silence retomba.
Kawakami : Manifestement, vous n'avez rien à faire ici, alors partez de suite, ou vous aurez à faire à la police.
Franck : Ça, c'est même sur.
Les hommes en noir se regardèrent, puis, le chef leur fit signe de se retirer.
Homme en noir : Bien. mais, nous nous reverrons, la tueuse.
Futaba ne put retenir ses sanglots.
Kawakami : Je ne sais pas ce qu'ils voulaient, mais…Sakura, vous pouvez prendre votre f…je veut dire, vous pouvez prendre Futaba avec vous ?
Sojiro : Oui, je vais l'emmener. Elle sera en sécurité avec moi. Les jeunes, vous passerez au café plus tard.
Kefan : Compris.
Kawakami : Je pense que je devrais appeler la police.
Franck : On va faire ça ensemble.

Un peu plus tard, notre groupe bien nombreux, alors regroupé dans le coin TV, fut rejoint par trois policier. L'un d'eux était déjà reconnu par tous.
LT Nokyu : Je suis le lieutenant Nokyu. C'est bien vous qui avez appelé pour une tentative d'agression ?
Kawakami : Oui. Je suis le professeur Kawakami. Ce matin, un peu avant neuf heure et demi, une dizaine d'homme sont venu. Ils en avaient apparemment après Futaba Isshiki. je n'ai pas entendu toute la conversation, mais j'ai bien vu qu'elle n'était pas bien.
Sadayo entrepris alors de faire une description plutôt bien mémorisé des individus belliqueux. Description qui fut complété et appuyé par les lycéens.
Lt Nokyu : Je vous remercie pour votre témoignage. Et merci de vous être contenté d'énoncer les fait, et de mettre entre parenthèses les suppositions.
Kawakami : En fait, c'est votre fils qui m'a dit comment aller se passer cet entrevu.
Lt Nokyu : Ça ne m'étonne pas.
Franck : Avant que tu ne partes, dis moi. Ça a un rapport avec l'explosion de la voiture de la mère de Futaba la venu de ces enfoirés ?
Un certain étonnement flottait dans l'air. Mais, peut-être était-il si rare de voir un adolescent tutoyer un officier de police.
Lt Nokyu : On en sais rien. L'enquête nous mènera là où il faut.
Franck : Futaba est peut-être en danger tant que ces types sont là, dehors.
Lt Nokyu : Tu tiens à cette fille, j'ai compris. Alors restez tous près d'elle. Ils ne s'en prendront pas à elle si elle n'est pas seule. En attendant, crois-moi que ce n'est pas le travail qui manque. Il y a aussi les disparition, et possible meurtre par balles qui ne sont pas encore résolu.
Les policiers saluèrent le groupe, et se dirigèrent vers la sortie. Mais au dernier moment…
Lt Nokyu : Au fait, ta mère m'a demander de te faire passer un message.
Franck : Laisse-moi deviner : Pas de bêtises ?
Lt Nokyu : Nous sommes tes parents, alors on te connais bien. D'ailleurs, lorsque tu auras ton diplôme, nous aurons beaucoup de choses à nous dire.
Puis, les policiers partirent pour de bon. Il y eu un silence de quelques secondes, qui fut brisé par le professeur qui murmura "élèves à problèmes…", le regard dans le vague. Son regard se tourna ensuite vers Kefan, qui fut le seul à le remarquer.
Kefan : Tout va bien ?
Kawakami : Oui, oui. Je réfléchissait juste à quelque chose.

Vendredi 28 Juillet, 10h46, au café Leblanc…

Il n'y avait aucun client. Quelques élèves étaient passé voir si Futaba allait mieux, mais…
Sojiro : Elle refuse de sortir. Je ne sais pas ce que ces hommes lui ont fait, mais elle ne va vraiment pas bien. Et je ne sais pas quoi faire. Le pire, c'est que je l'ai entendu dire "je l'ai tué".
Franck, Kefan, Anoter, Yusuke et Shinjiro étaient choqué par cette révélation.
Sojiro : Elle ne veut parler à personne. Même à moi, elle refuse d'ouvrir la porte de sa chambre. Et…je ne veut pas la forcer.
Il y eu un bref silence, brisé par Shinjiro.
Shinjiro : Je suis désolé.
Sojiro : Allons, tu ne peut pas…
Shinjiro : J'aurai pu la sauver.
A ce moment là, tout les regards se tournèrent vers lui.
Anoter : Tu veut dire quoi par là ?
Shinjiro : Vous vous souvenez du journaliste dont je vous ai parlé, celui qui vit au quartier sombre ? Et bien la dernière fois que je l'ai vu, et bien….il venait de se prendre une balle dans le foie.
Yusuke : Quoi ? Tu…tu nous fait une blague ?
Shinjiro : Parce que j'ai l'air d'un comique ?
Kefan : Pas vraiment…
Shinjiro : Enfin, le type a rassemblé ses dernières forces pour me dire de fouiller sa planque. Et à l'endroit indiqué, il y avait tout un tas de documents. Alors j'ai tout pris en photos, et je les ai replanqué. Ensuite, j'ai passé un appel anonyme à la police disant que des coups de feux avaient était tiré. Et dans ses documents, parmi toutes sortes de scandales, il y avait des indications concernant Parapluie SARL. Des truc a faire froid dans le dos, croyez-moi.
Anoter : Si toi ça t'a fait flipper, alors on te crois.
Shinjiro : Le pire, c'est que je savais que la mère de Futaba bossé là-bas. Si seulement j'avais ouvert ma gueule…Je…je crois que je suis plus doué pour causé la mort que pour sauver les gens…
Sojiro : Ça…ça n'aurai rien changé.
Franck : Comment ça ?
Sojiro : Elle savait. Le matin avant qu'elle ne parte d'ici, elle m'a dit "je crois que je vais bientôt mourir.". Et moi, je ne l'ai pas cru. Et aujourd'hui, c'est Futaba qui en paie le prix. Elle qui a toujours eut du mal a s'intégrer. Puis, elle vous a rencontré, et sa mère et moi étions fiers des progrès qu'elle avait fait en si peu de temps. Nous avions tout les deux la même envie. Celle de la voir grandir normalement, puis un jour se marier, et avoir des enfants auxquels elle aurai transmis son intelligence, sa douceur, son innocence…Tout ça réduit à néant, par des hommes avide de pouvoir et d'argent. Mais quel genre d'être humain s'en prend à une enfants pour des choses si futiles ?
Yusuke : Ils ne sont pas humains.
Sojiro : Je suis désolé de vous demander ça, surtout car ça va à l'encontre de sa volonté, mais…
Franck : On va essayer de lui parler.
Sojiro : Merci. Mais, si jamais elle ne vous laisse pas entrer, alors…laissez-la vivre.

Un peu plus tard, devant la chambre de Futaba…

Shinjiro : On aurait du prendre Mitsuru avec nous.
Yusuke : Elle travail avec la police en ce moment. Elle et Makoto rapportent tout ce qu'il s'est passé ces derniers jours.
Franck frappa trois coups à la porte.
Franck : Futaba, même si tu veux pas nous laisser entrer, parle nous.
bzz bzz…
Franck sorti son téléphone.
Futaba : "c'est de ma faute. je l'ai tué"
Franck crispa sa main sur son portable.
Anoter : Ce n'est pas vrai. Tu le sais bien.
Futaba : "laissez-moi. Je suis dans ma tombe"
Kefan : De quoi tu parles ?
Futaba : "J'aurai préféré être au milieu d'un désert, sans personne autour à faire souffrir"
Franck s'essuya les yeux d'un revers de manche.
Yusuke : S'il te plait, laisse nous entrer.
Futaba : "partez. vous ne devriez pas être ici"
Franck : Futaba…
Mais cette fois, il n'y eut plus de réponses. Le groupe tenta pendant quelques minutes encore, mais rien a faire…

Dimanche 30 Juillet, 9h57, dans la chambre 333…

Kanji : Alors on avance pas ?
Makoto : Pas de nouveau sur l'enquête. le journal en parle comme d'un accident dans une manipulation de produit chimique.
Mitsuru : C'est pas vraiment….Franck, qu'est-ce que tu fait ?
Franck venait de rassembler ses affaires.
Franck : On a un palace à résoudre.
Chihiro : Un palace ? Tu es sur ?
Anoter : (mettant son sac sur l'épaule) Il n'y a qu'une seul façon de le savoir.
Kefan : (imitant Anoter) Je confirme.
Mitsuru : Très bien…mais seulement les utilisateurs de personas, ce qui inclut toi aussi, Shinji. Les autres, vous attendez ici.
Rio : Très bien. Mais tenez nous au courant.

Au bout de quelques minutes, le groupe atteignit les wc proche de l'Untouchable. Tout y était comme la dernière fois, entre la cloison mobile, et les deux feux de signalisation.
Mitsuru : Très bien, j'allume le robinet.
Haru : Donc, on va essayer, mais on cherche un des membres de Parapluie SARL….
la lumière rouge du feu s'alluma.
Makoto : C'est…le palace d'une entreprise ?
Mitsuru : Je ne savais même pas que s'était possible….
Shinjiro : A mon tour.
Franck : Tu pense avoir un des mots ?
Shinjiro : J'en suis certain. L'un des projets qui a attiré mon attention se nommé "Crypte de glace".
En effet, la lumière verte s'alluma.
Ren : Il manque la orange. Je suppose que ça a un rapport avec leurs projet militaire.
Yusuke : Ou plutôt du terrorisme.
La lumière orange s'alluma.
Mitsuru :Très bien. Préparez-vous, on ne sait pas à quoi s'attendre.
Kefan ouvrit la porte…qui donna sur la rue dont ils venaient, sans aucun changement.
Haru : C'est…le palace ?
Anoter : Impossible. Nos vêtements n'ont pas changé. Refermons la porte.
Mitsuru : C'est bizarre. Pourtant, tout les mots clé sont là.
Franck : Nous n'avons pas le temps pour un panne. Il nous faut venger Wakaba Isshiki.
A ces mots, la lumière rouge du second feu clignota.
Makoto : regardez. Mais, qu'est-ce que ça veut dire ?
Franck : C'est la lumière qui réagit au nom de…
Mais Franck ne finis pas sa phrase, alors que les regards se tournaient vers lui.
Par compassion, Mitsuru posa une main sur son épaule. Puis :
Mitsuru : Futaba Isshiki.
La lumière rouge du second feu s'alluma complètement.

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Dans la vie, il y a trois sorte de gens : ceux qui savent compter, et ceux qui ne savent pas compter.
Franck-Fullbuster
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Franck-Fullbuster
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   Posté le 23-08-2020 à 20:37:08   Voir le profil de Franck-Fullbuster (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Franck-Fullbuster   

Un silence plana, alors que la révélation tombait.
Franck : Non….elle…elle ne peut pas avoir de palace. Pas elle !
Frederick : Et pourtant, la confirmation est là.
Makoto : Je ne comprend pas. Tout les autres étaient des criminels. Kamorame, Takeuchi, Lenoir, et même Parapluie.
Haru : Quelqu'un qui n'est pas mauvais peut vraiment avoir un palace ?
Frédérick : En fait, ce n'est pas vraiment lié. Le palace se matérialise en fonction des fort sentiments perverti.
Mitsuru : Mais pourquoi Futaba ?
Kefan : Peut-être…parce qu'elle pense être responsable de l'état de sa mère.
Anoter : C'est ce qu'elle nous a dit…
Shinjiro : Alors allons la sauver. Mais il nous faut les autres mots clé. Franck, une idée ?
Franck : Elle disait…qu'elle aurait préféré être au milieu d'un désert pour ne pas faire souffrir les autres.
En effet, le feu vert s'alluma.
Kanji : Il en manque un.
Franck : Elle disait aussi qu'elle voulait….qu'on la laisse dans sa tombe…
Le feu orange s'alluma, et enfin, il y eu le courant d'air.
Ren : Bon, c'est le moment de vérité.
Yusuke : Tu as raison. Allons-y.
Le groupe sorti de la cabine, et là, ils se dirent qu'ils n'étaient pas préparé comme il faut.
https://www.youtube.com/watch?v=fetLqTAcX3c
Ils venaient de poser le pieds sur du sable. Du sable a perte de vue. Un immense désert. Le groupe se tenait sur une dune, et au loin, devant eux, il y avait une pyramide. Mais ce n'était pas le plus étrange.
Mitsuru : Sur notre droite, plus loin….
La chaleur se faisait ressentir même dans les paroles. Pourtant, ce que Mitsuru pointa du doigt les refroidirent légèrement.
Franck : On dirait que c'est montagneux là bas. Et…il neige ?
Haru : Tu es sur ?
Anoter : Vu les nuages que l'on voit, c'est possible.
Shinjiro : Crypte de glace, hein ?
Yusuke : Tiens, nos vêtements sont toujours les mêmes.
Kefan : Et si on commençait par aller à la pyramide ? De là haut, on aura une bonne vu sur les alentours.
Makoto : Bonne idée.
Frédérick : Aller, c'est à moi de jouer !
Le canard se transforma en caddie, et tout le monde à l'exception de Franck monta a bord.
Franck : Accrochez vous.
Sauf que…pousser un chariot a roulettes dans du sable, et bien, ça n'a rien de facile. Malgré de gros efforts, le chariot n'avança que de quelques centimètres avant de tomber à la renverse sur le côté. Tout le monde tomba sur le côté. Anoter tomba sur le dos, et sa vision s'obscurcit.
Mitsuru : Tout le monde va bien ?
Anoter : Il…il fait sombre.
Mais la voix du jeune guerrier semblait étouffé. A l'endroit où Makoto était tombée assise…soudain, celle-ci poussa un cri aiguë et se leva précipitamment, sa jupe libérant la respiration d'Anoter.
Makoto : Dé….désolé !
Celle-ci commençait à rougir, mais peut-être a cause de la chaleur.
Anoter : Je ne t'en veut pas…mais, j'ai peut-être une idée. Frédérick, tu peut remplacer les roulettes par des skis ?
Frédérick : Oui, mais je ne vois pas….
Anoter : Parfait ! Alors viens, Susano-o !
Le persona apparut, et gela instantanément la pente face au groupe, faisant une piste de glace jusqu'au bas de la pyramide.
Kefan : Habile.
Franck : Bon, tout le monde à bord, et cette fois, ça va aller.
Et effectivement, la descente fut plus intéressante cette fois-ci. Et incroyablement rapide aussi. Mais vu que le groupe n'avais pas l'habitude d’évoluer sur de la glace, a l’arrivée, le chariot dérapa et le groupe en fut éjecté encore une fois.
Kefan : Il va vraiment falloir que tu t'améliore en conduite.
Franck : Je ne suis pas le seul dans ce cas. Il vous faut vous aussi rééquilibrer le caddie en fonction du terrain.
Mitsuru : Bref ! On fait quoi maintenant ? On rentre dans la pyramide ?
Anoter : En fait, vu qu'on a prévu d'aller au sommet, je propose qu'on escalade depuis l'extérieur. C'est facilement praticable, et on ne sais pas ce qu'il peut y avoir à l'intérieur.
Makoto : Ho, très bonne idée.
https://www.youtube.com/watch?v=3hSqfxbVjHc
Le groupe s'engagea donc sur l'édifice, qui devait faire une bonne cinquantaine de mètres de haut. Heureusement, tout ce passa comme prévu.
Kanji : Aucun piège apparemment.
Kefan : Des pièges ?
Haru : C'est vrai qu'on ne sais pas vraiment à quoi on doit s'attendre.
Franck : Hmm hmm…
Yusuke : Bon, je pense que je doit me mettre au travail.
Le peintre s'appliqua donc à dessiner le plan de la région. A savoir, la dune de départ, la pyramide, les montagnes enneigées, mais aussi ce qui ressemblait a deux installations moderne, l'une plus au nord que l'autre, de l'autre côté de la neige, mais aussi, au nord de la pyramide, un petit village isolé.
Shinjiro : Bon, par quoi on commence ? En sachant que nous ne sommes pas équipé pour le froid et le terrain montagneux.
Haru : Peut-être qu'au village, on pourrait en apprendre plus sur la pyramide.
Kefan : Bonne idée.
Anoter : Ça se tiens. T'en pense quoi Franck ?
Mais ce dernier semblait perdu dans ses pensées.
Mitsuru : Franck ?
Franck : Hmm ? Oui, allons-y !
Le groupe pris quelques minutes pour descendre prudemment. Arrivé au pied du monument, cette fois de l'autre côté, ils prirent quelques minutes avant d'entamer l'avancée.
Haru : Je ne sais pas comment on doit prendre ça, mais, nos vêtements sont toujours les mêmes, alors que ça fait un petit moment que nous sommes là. Enfin, pour ceux dont les vêtements changent.
Mitsuru : J'ai remarqué. En fait, je pense que c'est parce que Futaba ne nous considère pas comme une menace.
Franck : Ce palace est aussi, mais surtout, celui de Parapluie.
Makoto : C'est…peut-être que c'est parce que nous sommes dans le territoire de Futaba. Je pari que si nous allons au-delà de la neige, près des installations que nous avons vu, nous serons vu comme des intrus.
Mitsuru : Ça se tiens. Je vais avoir du travail pour mettre tout ça a jour quand nous rentrerons.
Kanji : Mais pour l'instant, avançons.
Les BOFABOLD avancèrent péniblement dans le sable, cherchant a chaque fois ce qui fut autrefois une piste, la perdant de vu, et la retrouvant par hasard. Mais comme le fit remarquer Kefan, ça aurait put être pire si il y avait eu du vent.
Au bout d'une longue demi-heure, ils arrivèrent enfin au village.
Anoter : «Old Beaux Reliefs ». Enfin, après tout, Futaba a une grande imagination.
Haru : Mais ça a l'air désert ici. Il n'y a…
??? : Vous ne devriez pas être ici…
Tout le monde se retourna d'un coup. Et il faut croire que personne ne s'attendait a voir…
Makoto : haaaa ! Un fantôme !
C'était Futaba qui venait de parler, en apparaissant derrière eux. Mais…ce n'était pas vraiment la Futaba qu'ils connaissaient. Celle-ci portait des vêtements de pharaon. Mais le plus étrange, est qu'elle semblait flotter, et surtout, était légèrement transparente.
Franck : Futaba…qu'est-ce que…
Shadow Futaba : Que venez vous faire dans cet endroit maudit ?
Makoto : Désolé ! Désolé, désolé désolé, s'il te plait, grande sœur, sauve moi, désolé désolé….
Mitsuru : Dis moi Ano, tu pourrais écarter Makoto ? Je pense que ça lui fera du bien.
Anoter : Je m'en occupe.
Le musicien pris la présidente du conseil des élèves par les épaules, et l'entraina à l'écart.
Makoto : désolé désolé….
Shinjiro : Comment ça, maudit ?
Shadow Futaba : C'est de ma faute. A cause de mon égoïsme, tout le monde est mort ici.
Franck : Tu te trompe.
Shadow Futaba : Demandez donc à ma mère.
Kanji : Wakaba ? Elle est ici ?
Shadow Futaba : Ici…est arrivé ce qui aurait du toujours être…
Puis, l'ombre disparut.
Kefan : Alors nous devrions trouver Wakaba. Mais où chercher ?
Anoter : Hé, venez voir par là.
https://www.youtube.com/watch?v=JfGqi6pcuag
Le groupe retrouva Anoter et Makoto un peu plus loin, devant un bâtiment étrangement familier, dans une ruelle.
Kefan : Alors ici aussi il y a un Café Leblanc.
Anoter : Bon, plus qu'a entrer.
Les BOFABOLD entrèrent dans le café qui, curieusement, était parfaitement identique a celui du monde réel.
Shadow Sojiro : Hmmm, vous n'êtes pas avec le pharaon. D'où venez vous ?
Dans ce monde, le patron ne changeait pas vraiment de celui du monde réel.
Kefan : Salut Sojiro. Vous avez quoi en réserve.
Shadow Sojiro : Ho, c'est toi. Toujours en vie donc. Il me reste du jus d'orange et du curry.
Yusuke : Du jus d'orange et du curry ? Il me semblait que votre menu était plus varié.
Shadow Sojiro : J'ai gardé l'habitude de faire ce que le pharaon préférait de son vivant. Même si elle a toujours était un obstacle à ma conquête de la reine de glace.
Makoto : La reine de glace ? Qui est-ce ?
Kanji : Je crois que je devine. Vous parlez de Wakaba, non ?
Shadow Sojiro : Qui d'autre ?
Haru : Et, où est-elle ?
Shadow Sojiro : Au même endroit que d'habitude. Dans l'un de ses laboratoires a l'est d'ici.
Shinjiro : Donc, il va nous falloir traverser. Je suppose qu'il nous faudrait d'abord entrer dans la pyramide. A moins qu'il n'y ai quelque chose a faire ici.
Shadow Sojiro : A part les gardes du pharaon, il n'y a plus personne ici. Et ils sont plutôt zélé. Mais tu devrais le savoir Franck, non ?
Franck : Comment ça ?
Shadow Sojiro : Sérieusement….je suppose que ça aussi ça a changé. Enfin. Baladez vous dans la pyramides si ça vous chante. Mais faites attentions aux pièges.
Anoter : Aux pièges ?
Kefan : Aux pièges.
Shadow Sojiro : Dans tout les cas, je ferme boutique. Alors allez voir ailleurs si j'y suis.
Ren : Tu parles d'une hospitalité…heureusement que je ne vis pas ici.

https://www.youtube.com/watch?v=3hSqfxbVjHc
Il fallut autant de temps au retour que pour l'allée.
Makoto : Donc, voila l'entrée de la pyramide.
Kanji : Bon, on ne va pas se faire prier.
Le premier année tenta d'ouvrir la double porte, mais celle-ci était verrouillée.
Ren : Du coup, on fait comment ?
Shadow Futaba : Je vous le re dit, vous ne devriez pas être là.
Makoto : Haaaaaaa !
Encore une fois, la belle rousse apparut dans leur dos.
Mitsuru : Il nous faut entrer. On doit trouver le trésor pour pouvoir t'aider.
Shadow Futaba : Personne ne peut m'aider.
Franck : Il est hors de question que nous renoncions !
Shadow Futaba : Tu ne peut rien faire. Même si tu es le vrai.
Shinjiro : Le vrai ?
Shadow Futaba : Mais si vous voulez quand même entrer, il vous faut la clé.
Anoter : Où est-elle ?
Shadow Futaba : A la crypte de glace, au centre…
Et encore une fois, elle disparut.
Franck : Attend !
Mais il n'eut aucune réponse. A la place, un secousse sismique se fit ressentir pendant de longue secondes.
Haru : Le palace s'effondre ? Mais, nous sommes à peine rentré !
Frédérick : Je ne pense pas que ce soit ça.
Puis, le tremblement de terre s'arrêta.
Mitsuru : Nous ne sommes pas au bout de nos surprises.
Shinjiro : M'en parle pas. Même nous, on n'a jamais vu ça, hein ?
Makoto : C'est pour ça que nous devrions renter. Nous avons un aperçut de ce que nous attend. Alors arrêtons là, et préparons nous.
Franck : Futaba….on ne peut pas la laisser comme ça.
Mitsuru : Nous ne l'abandonnons pas. Nous reviendrons.
Kanji : On a besoin de se protéger du froid. Crois moi que je vais tout donner pour que nous soyons tous équipé le plus vite possible.
Franck : Très bien. Retournons à la dune alors.
Cette fois ci, le retour fut plus pénible que l'allée. Car il fallait remonter ce que le groupe avait descendu en glissant. Et alors qu'ils arrivaient enfin devant la salle de bain, soudain, des oiseaux de glace arrivèrent de l'est, leur barrant le passage. Et a ce moment là, les vêtements de certains des BOFABOLD changèrent.
Kefan : Je me disait bien que c'était trop facile.
Mitsuru : Mais pourquoi des ennemis de glace…
Kefan : C'est pas un problème. Hell biker !
A ces mots, le motard de l'enfer apparut dans un déluge de flamme.
Anoter : Encore un nouveau. Tu te crois dans Monstre de poche ?
Kefan : J'en suis un grand fan. Aller ! Flambe les !
Hell biker fonça droit sous les ennemis, laissant une traînée de flammes suffisamment haute pour les atteindre.
Franck : Très bien….Suzaku.
Mais malheureusement, rien ne se produisit.
Franck : Quoi ?
Shinjiro : Franck, attention !
Franck : Persona !
Mais rien a faire. Suzaku refusait d'apparaître. Alors que Franck se demandait pourquoi ça ne fonctionnait pas, l'un des oiseaux de glace profita de cette inattention pour attaquer. Mitsuru, étant la plus proche a se moment là, s'interposa, rapière dans une main, evoker dans l'autre. Mais au moment où elle se positionna, elle fut renversé, son evoker tombant hors de porté. Plus précisément, il tomba aux pieds de Shinjiro.
Shinjiro : Sérieusement….faut croire que je n'ai pas vraiment le choix.
Il se pencha en avant, ramassa le dispositif, et le porta contre sa tête.
Shinjiro : Fait chier…..Aller, viens ! Castor !
Frédérick : Coin ?! Un concurrent ?
Mais non, ce fut un chevalier qui apparut.
Shinjiro : Et cette fois, ne perd pas le contrôle.
La bataille se poursuivit d'une façon plutôt habituelle. Et bien que ces ennemis étaient légèrement plus costaud que les précédents, il en vinrent à bout sans trop de difficultés. Franck se décida a sortir sa winchester, et a faire feu sur les volatiles. Une fois le combat fini…
Anoter : Ça va, on gère.
Franck : Je ne comprend pas ce qu'il s'est passé…
Mitsuru : On en parle plus tard. Pour l'heure, rentrons à l'internat.

Salle de lecture de l'internat, 13h09…https://www.youtube.com/watch?v=O2HMcWtezOA

Tout les BOFABOLD s'étaient réunis pour faire le point sur la situation.
Takemi : Quel horreur de faire subir ça a une ado. Ce qui est arrivé à sa mère n'était pas suffisant ?
Iwai : Malheureusement, ce genre de chose arrivera toujours.
Chihaya : Mais nous pouvons sûrement faire quelques chose ? Même ceux qui n'ont pas de pouvoir, je veut dire.
Kanji : Nous avons était attaqué lors du chemin de retour. Pour le reste, on ne sais pas ce qui nous attend, si ce n'est le froid.
Chihiro : Dans ce cas, c'est à toi de jouer. Je t'aiderai d'ailleurs.
Kanji : Faire des vêtements chaud va me prendre du temps, tu sais.
Rio : Raison de plus pour qu'on t'aide. D'autres sont avec nous ?
Chihaya : Ho, ça peut être amusant de tricoter un peu.
Ren : Pourquoi pas.
Iwai : Je vous donnerai aussi un coup de main. Non pas que la couture m'intéresse particulièrement, mais ça pourrait être utile en terme de camouflage. Et j'amènerai un stagiaire avec moi.
Franck : Alors on a un début de plan. Iwai, j'aurai besoin d'un nouveau flingue.
Iwai : Tu veux quoi ?
Anoter : Ça y est, c'est reparti…
Franck : Un Mark 23. Avec silencieux et combiné laser-lampe.
Iwai : Je vois. Je suppose que tu as joué à Equipement Metal Solide.
Franck : Je trouve son personnage principal inspirant.
Mitsuru : Si ça peut te remettre en confiance, c'est une bonne idée.
Franck : Tu pense que si mon persona n'est pas venu, c'est une question de confiance ?
Mitsuru : C'est une question d'esprit. Je comprend que l'état de…l'une de nos amie t'affecte autant. Mais si tu ne prend pas suffisamment soin de toi, tu ne pourras alors pas invoquer Suzaku.
Franck : Et je suis censé faire comment ?
Mitsuru : Dans un premier temps, ne prend pas tout sur toi. Nous sommes tous là, et nous voulons tous sauver Futaba. Alors repose toi comme il faut, et n'oublie pas de manger. Relaxe toi.
Franck : C'est pas comme si je pouvais y arriver sur commande.
Takemi : Si tu as besoin d'aide, je peut t'aider à te relaxer.
Franck : Désolé, mais je suis pas trop d'humeur pour les sous entendus.
Takemi : Il n'y a aucun sous entendu.
La médecin sorti de son sac une petite boite cartonnée et une boite plastique.
Takemi : J'ai là des suppositoires et une casette new age. Il n'y a rien de mieux pour se détendre.
A ce moment là, tout les regards se tournèrent vers Franck, certains sourires aux lèvres.
Franck : Très bien, je vais faire un effort.
Takemi : Et je vais t'y aider.
Franck : C'est pas la peine.
Takemi : Allons. On va aller a l'infirmerie et…
Franck : J'interdit à qui que ce soit d'essayer de me…de me supposer.
Tout le monde éclata de rire a cette phrase, et même le franc tireur se permis ce relâchement.
Takemi : Le rire est un très bon remède. Et il faut se l'autoriser plus souvent qu'on ne le pense.
Kefan : Mais bon, tout ça m'a donné faim. On va au Big Bang Burger ?
Anoter : Ça me va.
Le groupe tout entier sorti de la pièce, et tomba nez a nez avec le professeur Kawakami.
Kawakami : Ho, vous étiez là ? Vous allez quelques part ?
Takemi : On va manger. D'ailleurs, tu n'as qu'a venir avec nous, Sadayo.
Haru : Ça devient une habitude…

22h54, dans une ruelle du quartier sombre…https://www.youtube.com/watch?v=6ENxLWfJjaY

Un homme d'une trentaine d'année s'enfuyait, poursuivit par trois individus. Il faisait nuit noir, et personne ne semblait être à l'extérieur. Il renversait des poubelles sur son passage, appelait à l'aide, haletant, épuisé par la fuite. Il appelait à l'aide, mais personne ne répondait.
Un coup de feu retentit dans l'obscurité. Le fuyard tomba, face contre terre, luttant désormais pour respirer.
Trois personne sortir de la pénombre, désormais révélé par un réverbère. Un homme sinistre, torse nu, tenait un revolver. Un autre homme se tenait a sa droite, avec une mine plutôt sombre, portant des lunettes de vue et une sacoche en bandoulière. Et a la gauche, il y avait une jeune femme, aux cheveux écarlate, portant une robe blanche et un étrange serre tête.
Homme au lunettes : Il n'est pas encore mort.
Femme : Il va maintenant se vider de son sang.
Homme torse nu : C'est ce pourquoi nous sommes payé. Maintenant, on peut y aller.
Les trois assassins repartir en marchant. L'individu mortellement blessé resta la, sur place, attendant de mourir. Pourquoi n'y avait-il personne pour l'aider ici ? Les secondes semblaient s'éterniser. Cela faisait réellement combien de temps ? Au bout d'un moment, quelqu'un le retourna sur le dos.
Shinjiro : Désolé d'avoir pris mon temps. Je ne tenait pas a me faire descendre moi aussi.
Le lycéen se dépêche de pratiquer les premiers secours. Il fit également avaler à l'homme un étrange médicament.
Homme blessé : Vous….je vous ai vu….avec…
Shinjiro : C'est vous qui avez les infos ?
Homme blessé : Le…télé…phone…
Shinjiro : Alors je vais vous l'emprunter. Je vous le rendrais quand j'aurai fini.
Homme blessé : Vu ce que j'ai pris….je pense pas que…j'en aurai de nouveau besoin…
Shinjiro : Une ambulance est déjà en route. Et avec ce que je vous ai donné, vous tiendrez bon.
Homme blessé : Ce…médicament…
Shinjiro : Croyez-moi, c'est plus fiable que ce que vous pouviez trouver chez Parapluie.
Homme blessé : Hé hé…je vous en doit une…
Shinjiro : Les infos que vous venez de me donner pourrons sauver des vies. Ho, et une dernière chose.
Homme blessé : On ne sais jamais vu….hein ?
Shinjiro : Au moins, on est d'accord.

23h37, à l'hôpital…

Trois personnes étaient réunies dans la salle de repos.
Shinjiro : Du coup, il va bien ?
Uehara : Les secouristes sont arrivés à temps. Et grâce à votre intervention, il va s'en tirer.
Shinjiro : Hourra…
Takemi : Vous n'avez pas l'air très content de vous.
Shinjiro : C'est pas vraiment ça. Disons que je ne fait que chercher ma rédemption.
Takemi : Nous avons tous nos démons. Tu as fait quelque chose de bien ce soir. Peu de gens en auraient fait autant.
Uehara : A tout hasard, les BOFABOLD ?
Takemi : T'en pense quoi ?
Uehara : Ils sont plutôt mignon.
Takemi : C'est pas vraiment de ça que je parlais. Mais au moins, nous sommes d'accord.
Shinjiro : Dites. Vous savez que nous sommes encore mineur ?
Takemi : Ça te dérange ?
Shinjiro : Je ne commenterai pas.

0h00, dans la velvet room….https://www.youtube.com/watch?v=MdIaBwpYXq8

Cela faisait un petit moment que nos trois héros n'avaient pas mis les pieds dans cet endroit mystérieux. Et bien que Igor restait toujours aussi souriant, ils savaient que les réjouissances n'étaient pas au programme.
Igor : Bienvenu dans la velvet room…
D'instinct, les trois utilisateurs de personas se tournèrent vers le tableau des cartes arcaniques.
Marie : Les choses se sont bien dégradée ces temps-ci.
En effet, parmi toutes les arcanes majeurs, l'Hermite était désormais inversé. Mais ce n'était pas tout. Alors que la plupart des cartes brillaient, celle du Soleil était devenu terne.
Franck : Y-a-t-il un espoir que les choses s'arrangent ?
Elizabeth : Encore une fois, tu doit faire confiance à tes amis. Il n'a jamais était prévu que vos épreuves soient facile. Garde une chose à l'esprit. Si tu meurt, tu ne pourras plus jamais aider qui que ce soit.
Anoter : Cela dit, j'avoue que cette fois, ça risque d'être plus dure que toute les autres fois.
Lavenza : Cette épreuve est particulièrement difficile. Et tu sais exactement pourquoi, pas vrai ?
Anoter : Oui….en effet.
Kefan : J'ai une vrai question cependant. Vu que personne n'as eu a fermer de palace collectif, on doit s'y prendre comment ?
Margaret : La solution est pourtant évidente. Comme a chaque fois que vous avez frapper vos cible en plein cœur. La seul différence, est qu'il vous faudra viser tout le monde exactement en même temps.
Franck : La lettre…
Elizabeth : C'est entre autre pour ça que tu doit donner le meilleur de toi-même. Toi seul peut trouver les mots qui la ramèneront.
Franck : Pour les autres, on se contentait de les insulter. Mais là, je…je ne…
Anoter : Hé, tient bon. Nous n‘en sommes pas encore là. On doit d'abord sécuriser le chemin. Ou peut être les deux…
Lavenza : Tu as vu juste. Et cette épreuve ne sera pas inutile. Car c'est au cours de celle-ci que vous gagnerez considérablement en puissance.
Anoter : Comment ça ?
Lavenza : Vous avez presque fini de lier vos âmes par le contrat de la velvet room. Vous allez bientôt unifier vos cœurs, révélant vos véritables vous.
Kefan : Ça fait un peu clich…attend, ça veut dire qu'on va avoir des gonzesses ?
Igor laissa échapper un de ses rires, imité mais plus chaleureusement par Margaret.
Margaret : Ha, les jeunes quand ils sont en été. Même vous trois êtes un peu comme ça au final.
Anoter : Un peu mais pas trop.
Kefan : Mais un peu quand même.
Margaret : Je vous demande juste de faire attention à ne pas faire trop de mal à celles qui ne vous intéressent pas.
Franck : Ni à celle qui nous intéresse du coup.
Elizabeth : Parfois, certaines actions sont nécessaires. C'est aussi à toi de trouver le courage pour faire ce qui doit être fait, pour le bien de tous.
Franck : …
Elizabeth se contenta de sourire à Franck. Et a ce moment là, ce dernier entendit la voix de l'hôtesse dans sa tête. «Laisse-moi t'aider. »
D'un seul coup, Franck se retrouva plongé dans l'obscurité quasi-totale. Sans savoir comment, il était allongé. Il cru au début que sa tête reposait sur un coussin. Il compris en levant les yeux, que c'était les genoux de la demoiselle qui le reposait. Celle-ci passait délicatement sa main dans les cheveux de son protégé, tout en fredonnant un air calme. Le spécialiste des armes à feu, qui était en stress passif depuis un bon moment, trouva rapidement une sérénité jamais égalé. Ce fut comme si plus rien n'existait autours. Comme si toutes peines et toutes douleurs avaient totalement cessé d'exister. Ce fut comme si de longue heures passèrent, pendant lesquels, seul la sérénité instaurée par Elizabeth, semblait constituer ce nouveau monde. Le mieux était encore de profiter de ce calme. Autant fermer les yeux.
Lorsque Franck rouvrit les yeux, il se retrouva à la velvet room, aux côtés de ses amis. C'est comme si rien n'avait changé depuis son départ. Comme si, le temps, ici, ne s'était pas écoulé. Le jeune lycéen regarda en direction de son hôtesse. Celle-ci était étrangement radieuse, bien qu'il semblait être le seul a la remarqué.
Igor : Nous allons vous rendre à votre sommeil.
Marie : Et essayez de régler ce problème d'arcane.
Elizabeth : Reposez vous et laisser la sérénité vous guider.
Margaret : Vous triompherez, j'ai confiance en vous.
Lavenza : Vous avez toujours était sur la bonne voie. Continuez ainsi.
C'est ainsi que retenti la sonnerie habituelle.

00h48, chambre de Shinjiro…https://www.youtube.com/watch?v=6ENxLWfJjaY

Mitsuru : Tu es sur de ça ?
Shinjiro : Hélas. Ils sont bien de retour.
Mitsuru : Les Strega. Ils n'étaient que tout les trois ?
Shinjiro : Ce soir là en tout cas. Mais ça ne m'étonnerait pas qu'il soit là lui aussi. Quelque part dans l'ombre.
Mitsuru : Ce traître d'Ikutsuki…
Shinjiro : Je sais que tu veux venger la mort de ton père, mais il compte surement là-dessus pour te piéger.
Mitsuru : Je sais. Mais justice sera rendu.
Shinjiro : Et je t'aiderai le moment venu. Pour l'instant, concentrons nous sur le problème actuel.
Mitsuru : Je viens d'envoyer une copie des donnés qui tu as récupéré. Kirijo Corp va les décrypter et faire éclater la vérité au grand jour concernant Parapluie SARL. Ho, et, désolé que tu es eu à te servir de ton persona de nouveau.
Shinjiro : Je suppose que je ne pouvais pas y échapper plus longtemps.


Edité le 23-08-2020 à 20:55:12 par Franck-Fullbuster




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   Posté le 30-08-2020 à 14:52:56   Voir le profil de Franck-Fullbuster (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Franck-Fullbuster   

Jeudi 3 Août, 18h26…https://www.youtube.com/watch?v=3hSqfxbVjHc

Ces derniers jours furent consacrés à l'amélioration de l'équipement de terrain. Kanji, aidé par Chihiro, Rio, Chihaya, Ren, Iwai et Karuo, réussit à terminer suffisamment de capes et renforts anti-froid. Franck, de son côté, avait finalement terminer d'améliorer sa matraque pour qu'elle soit également électrique.
Le groupe se réunit comme d'habitude aux wc de l'Untouchable, et entra dans le palace. En arrivant, ils furent déjà considéré comme une menace.
Makoto : D'après le plan de Yusuke, pour aller à la crypte de glace, il faut d'abord rejoindre la pyramide.
Frédérick : Alors allons-y. Frédérick Transformation !
La descente en caddie se passa bien, à l'exception de l'arrivée, encore une fois.
Kefan : Il faut vraiment que…
Franck : Je sais, je sais.
Les BOFABOLD trouvèrent facilement la piste menant à l'est. Mais il se passa quelque chose de vraiment curieux. Bien que la chaîne de montagnes enneigées semblait très loin, elle semblait se rapprocher très rapidement au fur et à mesure qu'ils avançaient. Petit à petit, la température chutait, jusqu'à ce qu'ils soient obligé de revêtir leurs capes et autres renforts en laine.
Anoter : Je suis quand même content qu'on ai pu choisir nos couleurs pour ces vêtements.
Kanji : J'avais justement anticipé, me disant que vous le demanderiez.
Franck : Y'a pas à dire, t'es vraiment doué pour joindre l'utile à l'agréable.
Kanji : C'est marrant, c'est exactement ce que m'a dit Chihiro.
Shinjiro : Ho….en même temps, c'est vrai que vous passez beaucoup de temps ensemble.
Kanji : Hé, mais c'est pas…
Mitsuru : Qui êtes vous et qu'avez-vous fait de Shinjiro ?
Shinjiro : Quoi ? Je ne vois pas en quoi c'est si étonnant que je remarque ça.
Franck : Je crois que je comprend ce que Mitsuru veut dire. C'est surtout qu’on a pas l'habitude de t'entendre sur ce genre de sujet. Tout comme quand tu cachait que tu aimais cuisiner pour Koromaru.
Shinjiro : Faut croire que…j'ai beaucoup changé à votre contacte.
Yusuke : Et en bien. La vie est trop courte pour chercher à toujours cacher ce que l'on est, ou ce que l'on ressent.
Ren : T'as quelque chose à confesser ?
Yusuke : Pas vraiment.
Kefan : (murmurant) En effet, je crois que nous y sommes.
Anoter : (murmurant) Tu veut dire, concernant ce qu'on nous a dit à la Velvet room ?
Franck : (murmurant) Je pense que c'est une bonne nouvelle…
Haru : Qu'est-ce que vous marmonnez ?
Anoter, Kefan et Franck : Rien.
En à peine une dizaine de minutes, le groupe eut les pieds dans la neige. Il faudrait à peine quelques minutes de plus pour commencer a escalader. Mais ce n'était pas l'objectif pour aujourd'hui. Une timide piste vers le sud traversait un cimetière. Et derrière celui-ci se trouvait ce qu'ils cherchaient.
Frédérick : Nous y sommes enfin.
Ren : Vous pensez qu'on va se faire attaquer ?
Franck : C'est un cimetière nordique.
Kefan : Du coup ?
Franck : Des draugr.
Makoto : C'est-à-dire ?
Anoter : Des sortes de squelettes, non ?
Shinjiro : (sortant sa hache) Alors je passe devant.
Franck : (sortant sa matraque électrique) Moi aussi. Les armes perforantes seront inutiles ici.
Kefan : Ça va, j'ai mes personas. Mais du coup, pour mes baguettes, ça compte comme perforant ?
Kanji : Sérieusement, trouves toi une vrai arme.
Kefan : Venant du type qui se bat avec une chaise…
Ren : En même temps, il n'a pas tord.
https://www.youtube.com/watch?v=it5wuAgf1Pw
Alors que le groupe avançait, grâce à la prédiction de Franck, ils ne furent pas surpris de voir sortir du sol, de vieux reste de corps humains à peine embaumé. Ces derniers portaient de vieilles côtés de maille rouillé, et brandissaient des épées, haches et lances dans un état tout aussi déplorable.
Franck : Et là, on se croirait dans Parchemin des Anciens V. Mais peut-être qu'elle y jouait aussi.
Malgré l'horreur que ces ennemis auraient pu inspirer, nos héros vinrent à bout de cet embuscade plutôt facilement. Notamment grâce à Shinjiro, balayant plusieurs ennemis à la fois avec sa hache de bataille.
Mitsuru : Encore une fois, je suis contente que tu nous ai rejoint.
Shinjiro : Je me suis juste dit que, cette fois, en cas de besoin, vous seriez assez nombreux pour m'aider. Et jusque là, tout va bien.
Le groupe arriva sans autres mauvaises surprise, à l'entrée de la crypte. Il y avait en haut de la porte, un mot runique, qui, si on s'y approchait un peu, ressemblait étrangement à «Isshiki ».
Haru : Je suppose qu'il nous faut entrer.
Mitsuru : Franck, ça va aller.
Franck : Ouaip…il faudra bien.
Anoter : Et ne t'en fait pas, nous sommes derrière toi.
Makoto : Tant qu'il n'y a pas de fantôme…

On aurait pu croire qu'en s’enfonçant plus profondément sous terre il ferai plus froid, mais curieusement, c'est comme si une isolation thermique s'y était formé. Il y avait là tout ce que l'on aurait pu supposer se trouver dans une crypte. Mais le plus incroyable, est qu'il semblait qu'il n'y ai aucun ennemis.
Franck avait pris les devant, son pistolet avec silencieux en mains. Marchant prudemment, façon force spéciales, il ouvrait la voix, suivit de près par Anoter et Yusuke. Le groupe tout entier se rendit finalement dans le grand espace de la crypte.
Kefan : Rien du tout. Cette prudence était tout à fait justifier.
Ren : Ce sarcasme…
Shinjiro : Tant qu'on reste en vie, je ne me plaint pas.
Makoto : Regardez !
En effet, sur un autel, il y avait une grosse clé antique, d'un style absolument pas nordique, mais égyptien.
Mitsuru : Voila qui règle un problème.
Haru : Mais au fait, Franck, tu sais crocheter, non ?
Franck : Pas cette serrures. Malgré que ce soit une grosse clé, celle-ci est plutôt élaboré.
Anoter : Au moins, je suis rassuré que tu ne sache pas tout faire. Auquel cas, je complexerai à mort.
Kanji : Dis le type qui joue de la guitare et qui est arrivé deuxième au tournoi de Kendo inter-lycées.
Frédérick : Nous avons la clé. Alors plus qu'a rejoindre la pyramide.
Le retour se passa sans aucun incident. Le plus marquant fut de retourner à la chaleur.
Une fois devant la lourde porte de la pyramide, Franck inséra la clé et la tourna. Bingo ! Cette fois, les portes s'ouvraient. Sans attendre, les BOFABOLD entrèrent.
L'intérieur était tel qu'ils s'y attendaient, a quelques détails près. Il y avait bien évidemment des gravures et fresques en tout genre, des sarcophages contre les murs, et du sable par endroit sur le sol. Mais il y avait aussi d'étrange hologrammes de différents symboles en vert, mais également…
Shinjiro : L'air conditionné, vraiment ?
Haru : Sa chambre doit en être équipé.
Franck : Je crois que les palaces ne cesseront jamais de me surprendre. Si ce n'était pas le siens, je prendrais plaisirs à explorer.
Mitsuru : Nous sécuriserons cette route.
Shinjiro : En attendant, attention aux pièges ?
Kefan : Aux pièges ?
Anoter : Aux pièges.
Franck : J'ai déjà entendu ça quelque part…
Mais a peine le groupe entra dans le hall d'entrée…
Shadow Futaba : Vous n'avez pas l'intention d'abandonner…
D'un geste, Makoto plaqua l'une de ses mains sur sa bouche, et se plaça derrière Anoter. Celui-ci tourna la tête vers elle.
Anoter : Mais tu sais pourtant que ce n'est pas elle qui va nous attaquer ? Enfin, reste derrière moi si tu veux.
Shadow Futaba : La salle d'audiences. C'est l'endroit que vous devez atteindre pour détruire ce lieu.
Mitsuru : Tu sais ce qu'il va se passer une fois notre mission accomplit. Pourquoi tu nous dit ça ?
Shadow Futaba : Je ne veut pas qu'il vous arrive quelque chose. Mais les gardes ne sont pas de cet avis. Ils veulent que je reste avec eux pour toujours.
Franck : Alors nous les vaincrons.
Shadow Futaba : Peut-être…après tout, tu es le vrai.
Kefan : Encore cette histoire de vrai.
Shadow Futaba : Suivez-moi. Et ne faîtes pas de bruit.
Sans attendre, l'ombre flotta vers un couloir bien précis, délaissant les trois autres. Elle lâcha juste un vague «ceux-là ne contiennent que des pièges », tout en continuant d'avancer. Lorsque qu'une porte se dessina sur l'un des côté, l'ombre s'arrêta.
Shadow Futaba : Il me semble que vous avez besoin d'entrer ici.
Haru : Ho, une salle de bain ! Tu n'as qu'a venir avec nous.
Shadow Futaba : Impossible.
Anoter : Pourquoi ?
Shadow Futaba : Cet endroit est hors de la portée. Personne ne peut vous y déranger.
Franck : C'est vrai ça ?
Frédérick : Coin ! Il s'agit d'une faille dans la conscience du maître du palace.
Franck : Je vois…
Shadow Futaba : Je vous attend ici.
Les BOFABOLD prirent quelques minutes pour se préparer correctement, et tout simplement aussi pour profiter d'une salle de bain. Une fois ceci terminé, ils reprirent leur chemin, guidé par l'ombre de la belle rousse. Sans elle, nos héros auraient vraiment eut du mal à trouver une voie sûr. Bon nombre de couloirs semblait piégé bien comme il faut, et même la route principale n'était pas tout à fait sécurisé. Heureusement, et pour la première fois dans leur carrière, le maître des lieux aida parfaitement nos héros. Quand il y avait une trappe, l'ombre la contournait pour montrer le bon chemin. Quand il y avait un fil de détente, elle avertissait de sa position exacte. Et quand il fallait prendre un passage secret, elle révélait la méthode pour ouvrir le mur. Mais hélas, même elle ne semblait pas au courant de tout ce qu’il se passait dans sa propre pyramide.
Au détour d'un énième couloir, le couvercle d'un sarcophage sauta, et une momie commença à attaquer le groupe. «Ne faîtes pas de bruit ». La consigne de l'ombre de Futaba résonnait encore à leurs oreilles. Franck, son SOCOM en mains, n'attendit pas, et tira trois balles de 45, dont le son fut étouffé par le silencieux. La momie, surprise par cette soudaine résistance, fut plaquée contre le mur. Kefan réagit instantanément, et planta ses baguettes dans la tête de l'ennemie, qui se dissipa.
Mitsuru : Dis moi, Franck. Tu crois qu'on pourrais mettre des silencieux sur toutes vos armes à feu ?
Franck : Pas toutes. Mais on y travaillera à la prochaine expédition.
Au fur et à mesure de l'avancée, des momies, cobras et autres joyeusetés égyptiennes antiques tentèrent des embuscades. Mais Franck, Kefan, Anoter, Yusuke, Ren et Mitsuru réussissaient à éliminer les assaillants silencieusement, sans alerter les autres ennemis, dont, on devinait au son, se trouvaient dans des salles adjacentes, voir même derrières des passages secrets. Malgré le fait qu'ils avançaient toujours sur le bon chemin, sans jamais prendre de détour ni finir dans une impasse, l'ascension fut longue. La dedans, impossible de dire quelle heure il était. Ni même combien de temps ils y avaient passé. Plus que quelques minutes en tout cas. Quelques heures ? Peut-être. Plus ? Non, surement pas…
Ils venaient enfin d'atteindre le quatrième étage. Enfin, je crois ? D'ailleurs, cette pyramide avait une hauteur sous plafond plutôt impressionnante. Ils ne devaient pas être si loin du sommet. Où alors, ce bâtiment était-il plus grand à l'intérieur qu'a l'extérieur ? Après tout, nous étions dans un palace.
A en juger par la dimension de la pièce, elle devait être la seule à occuper cet étage. Et l'agencement de cette dernière rappelait étrangement une arène. A l'opposé de là où ils arrivèrent, il y avait encore un escalier ascendant.
Shadow Futaba : La clé du laboratoire est au centre. Prenez la, et partez !
En effet, sur le sol de cet arène, il y avait des symbole gravé. Et au centre, il y avait une fente, dont une carte semblait en dépasser.
Mais sans plus attendre, l'ombre de Futaba flotta en direction des autres escalier.
Franck : Attend !
Shadow Futaba : Ne mourrez pas pour moi. S'il vous plait…
Makoto : Fu…Futaba !
Mais elle avait déjà disparut. Et comme à leur première venu, il y eu encore un tremblement de terre qui dura quelques secondes.
Makoto : Encore ? Même si ça n'a pas duré, c'est quand même inquiétant.
Mitsuru : Attention…
https://www.youtube.com/watch?v=lQ4gpuPP0r4
Haru : Quoi ?
Shinjiro : Ouaip, quelqu'un approche…et ils sont plusieurs.
??? : De toute façon, nous ne cherchions pas à être discret.
En face des BOFABOLD, avançait un autre groupe d'une douzaine d'individus. La plupart étaient cagoulé, mais trois d'entres eux avaient le visage découvert. L'un d'eux semblait un peu perdu, et donnait l'impression d'avoir oublier quelque chose. Il portait des lunettes rondes, avait les cheveux en bataille, et surtout, avait une étrange cicatrice sur le front. Le deuxième était typé égyptien, semblait être du genre aventurier, à aller piller des tombeaux. Quand à celui qui avait pris la parole et qui les dirigeait…
Shinjiro : Sérieux ?!
Kefan : Je comprend mieux cette histoire de "vrai".
Anoter : Je sais pas si on aurait pu deviner.
Shadow Franck : Je vous préviens, vous ne nous prendrez pas notre reine.
Cet ombre là portait un bas d'armure de plaque partielle, et combattait visible à la masse d'arme et au bouclier large.
Kanji : Je rêve ou ce type ressemble à Franck ?
Ren : Toi aussi t'as remarqué ?
Yusuke : C'est quand même bizarre cette version de Franck. En armure, grand, musclé…
Kefan : torse nu et huilé….
Anoter : Tu t'égards.
Franck s'adressa à…et bien…et bien à Franck.
Franck : Désolé, mais cette endroit empêche une amie de vivre.
Shadow Franck : Vraiment ? Tu l'appelles une amie ? Et tu ose te prétendre être le vrai ?
Franck : …
Shadow Franck : Moi et mes acolytes, on va vous empêcher de tuer notre reine. Harry, Bayeck, vous êtes avec moi ?
Shinjiro : Laissez-nous passer.
Harry : VOUS…NE PASSEREZ…PAS !
Mitsuru : C'est ce qu'on va voir.
Bayeck : Vous ne tuerez pas mon fils.
Makoto : Je crois qu'il y a erreur sur la personne.
Haru : Excusez-moi, mais qui sont les autres ?
Shadow Franck : Des amis, mais moins important pour la reine.
Et en y prêtant un peu attention, l’on pu voir que deux d'entre eux portaient une hache, un portait une rapière, deux portait un sabre, un avait un poignard, et même un du fond avait des baguettes, tandis que l'autre à côté brandissait une chaise.
Kefan : Comment ça, moins important ?
Franck senti soudains les regards de ses camarades se tourner vers lui.
Franck : Je doute que Futaba ne vous considère pas comme des amis.
Kanji : M'ouaip. Ou alors, c'est toi qui bénéficie d'un traitement de faveur.
Ren : C'est surement plus un truc de ce genre.
Franck : Non, rien à voir. Je suis juste le premier à lui avoir adressé la parole.
Shinjiro : Désolé d'interrompre votre conversation, mais nous avons un autre problème sur les bras.
Mitsuru : Il nous faut juste la clé. On la prend, et on s'en va.
Ren : Alors couvrez-moi.
Puis, sans prévenir, le voleur vêtu de noir s'élança en direction de la clé.
Franck : Attend ! Merde…tirez dans le tas !
Bien évidemment, ce fut Franck le plus réactif, sortant son calibre 45, vidant son dernier chargeur. Les autres ne tardèrent pas non plus, tirant à volonté. Les projectiles perforants et explosifs surprirent les ombres, qui pensèrent à peine a se protéger. Ren, qui fonçait en tirant, arriva à la clé au moment où son chargeur se vidait. Il glissa sur le côté, attrapant la carte clé.
Anoter : Il l'a eu ! Préparons la retraite !
Shadow Anoter : T'attend quoi Harry ? T'as encore oublié qui tu es ? Fait quelque chose.
Harry : Comment ?
Shadow Kefan : Tu es un sorcier, Harry.
Harry : Je…je suis en quoi ? Ha, oui.
Puis, il sorti sa baguette, et une tempête de sable se déclara dans toute l'arène.
Shinjiro : C'est quoi cette connerie ?
Haru : Je….j'y vois plus rien.
Kefan : Par ici.
Kefan attrapa la main de Haru pour la mettre à l'abris.
Kanji : Quelqu'un à une solution ?
Kefan : Nos personas.
Mitsuru : Non. Si on tente de geler le sable, on va en plus se prendre une tempête de glace.
Makoto : Et si on le brûle, ça sera une tempête de verre brisé.
Anoter : Si seulement on avait du vent…
Bayeck : Arc mitraillette !
L'aventurier égyptien brandit son arc, et tira une salve de flèches, obligeant nos héros à de mettre a couvert comme ils le pouvaient. La tempête d sable ne s'arrêtait pas. Et on devinez les silhouettes des ennemis qui avançaient à la charge. Kefan faisait face à un manieur de hache, tandis qu'un duel de sabres s'engageait du coté d'Anoter. Et pour une fois, ces ennemis là étaient vraiment coriace. Le son caractéristique de la carabine de Franck se fit entendre. Par on ne sais quel miracle, chacun de ses tirs semblaient toucher un adversaire différent à chaque fois.
Yusuke : On fait comment ? On a plus de munitions et l'utilisation de persona est trop risqué. Sans compter qu'on ne voit plus la sortie.
Shadow Franck : Cette fois, je pourrait prendre ta place !
L'ombre se jeta sur Franck. Ce dernier tenta de se défendre d'un coup de crosse, mais qui percuta la masse du guerrier. Et dans le même mouvement, il porta un nouveau coup sur le canon de l'arme. Notre tireur d'élite garda sa carabine en main, mais constata, horrifié, le résultat. La crosse était à moitié broyé, et une bonne partie du canon et du magasin étaient complètement éclaté, irrécupérable.
Franck : Fais chier…
Shadow Franck : Alors ça c'est bête…Tu va faire comment maintenant ?
A ce moment là, une voix bien connue résonna.
Shadow Futaba : Arrêtez…ne mourrez pas pour moi…
Shadow Franck : Je peut faire ce que vous voulez bien mieux que lui.
Le guerrier de l'ombre s'avança sur son adversaire, la masse levé, prêt à frapper.
Shadow Futaba : ARRETEZ !!!
Ce cri se transforma en un hurlement de panique et de terreur. Ce fut comme si la tempête de sable tourbillonnait plus rapidement encore, jusqu'à devenir un flash lumineux blanc. Le son devint plus assourdissant, puis…plus rien.

https://www.youtube.com/watch?v=1r5VYyHw8L0
Kefan parvint enfin à ouvrir les yeux, bien que péniblement. Il se sentait comme alourdi, écrasé. Et le sol n'avait rien de confortable.
Kefan : Mais…qu'est-ce que…?
Il faisait nuit. L'air chaud de l'été se faisait sentir dans cette rue, non loin du lycée. le lycée ? Mais alors…
Kefan voulu se lever, mais il n'y arriva pas. Alors il se rendit compte qu'il n'était pas le seul à avoir sombré dans l'inconscience, même si, techniquement, il était le seul à terre.
Kefan : Sérieusement…
Anoter, Kanji, Yusuke, Ren, Haru, Mitsuru et Makoto étaient tous entassé sur lui, comme si il y avait eu une mêlée de rugby.
Kefan : Tout le monde debout ! J'aimerai respirer.
Au bout de quelques minutes, une fois tout le monde réveillé, et ressaisit, ils se rendirent compte qu'effectivement, ils n'étaient plus dans le palace. Il se situaient dans une ruelle proche du lycée, dans laquelle il n'y avait quasiment jamais de passage. D'ailleurs, les rues adjacentes semblaient bien calme.
Mitsuru : Nous avons donc était expulsé du palace.
Haru : C'est vraiment possible ?
Mitsuru : Il faut croire. Après tout, c'est une dimension qui n'appartient qu'a son possesseur. Encore une fois, il y a encore beaucoup de chose à, apprendre du metaverse.
Makoto : Mais le combat n'était pas à notre avantage. Il faudra penser à remercier Futaba de nous avoir sauver.
Anoter : Bonne idée. Pas vrai, Franck ?
Mais personne ne répondit.
Ren : Une seconde. Où sont Franck et Shinjiro ?
Kanji : Ils ne seraient pas parti quand même ? Bon, c'est vrai que Shinji aime bien trainer dans ce genre d'endroit, notamment le quartier sombre.
Mitsuru : Le quartier sombre !
Yusuke : Quelque chose ne va pas ?
Mais Mitsuru semblait perdu dans ses pensées. Puis, une expression d'horreur passa sur son visage.
Mitsuru : J'ai vraiment un mauvais pressentiment. Venez, vite !

https://www.youtube.com/watch?v=8PdExmLKS1E
Un peu plus loin, au même moment…
Franck : Alors, on est vraiment au quartier sombre ?
Shinjiro : Ouaip. Et on ferai mieux d'en dégager. C'est vraiment pas sur la nuit.
??? : Il a raison.
Shinjiro : Merde !
Trois individus sortirent de l'ombre. Celui qui venait de parler était un homme torse-nu, tenant un revolver.
Shinjiro : Takaya !
Le dénommé Takaya pointa son arme sur Shinjiro.
Désolé les mecs, mais vous êtes devenu un contrat.
Puis, sans prévenir, il pointa son arme sur Franck et tira. Même en voyant le changement de cible, Franck avait tenté de plonger. Mais le projectile lui érafla l'épaule.
Il tomba par terre, submergé par la douleur et une soudaine nausée. Il n'entendit que le rire du meurtrier.
Shinjiro : Tu ne le tueras pas !
Takaya : C'est ce qu'on va voir.
Il y eu deux coups de feu. Mais Franck ne reçut rien. Il vit quelqu'un tomber à côté de lui. Alors qu'un éclat de rire plus fort encore retentissait, il compris que le sang qui commençait à se répandre sur le sol était celui de son ami.
Fille en robe blanche : Des gens approchent.
Type à lunettes : On file.
Alors que le trio prenait la fuite, des bruits de pas se rapprochaient. Franck s'approcha de Shinjiro, ce dernier sur le dos.
Franck : Tu t'es interposé…
Shinjiro : Ouaip…hé hé…
Franck : Je peut savoir pourquoi t'as l'air fier ?
Shinjiro : Cette fois…j'ai sauvé quelqu'un. Il y a trois ans….un gosse…a perdu sa mère…à cause…de moi.
Franck : Ca ne mérite pas de mourir.
Shinjiro : Hé hé…de toute façon…c'est fini pour moi….
Franck : Hors de question.
Mais Shinjiro fut inerte sur le sol, les yeux fermé, le sourire crispé.
Franck : Shinji…SHINJI !!!!!

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Dans la vie, il y a trois sorte de gens : ceux qui savent compter, et ceux qui ne savent pas compter.
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   Posté le 06-09-2020 à 17:25:52   Voir le profil de Franck-Fullbuster (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Franck-Fullbuster   

https://www.youtube.com/watch?v=TIY-Sl-mxz8
Shinjiro ne bougeait plus. Il ne respirait plus. Franck avait réussit à se mettre à genoux à côté de lui, malgré sa blessure qui lui faisait mal.
Franck : Non. Je t'interdit de mourir. Je refuse…
Il commença alors le massage cardiaque. Les bruits de pas précipités se rapprochaient de plus en plus, jusqu'à arriver ici.
Mitsuru : On a entendu des coups de feu, et….mon dieu.
Ils étaient enfin là.
Franck : Kefan, il faut arrêter les saignements…
Makoto : Franck, tu saignes toi aussi.
Franck : Ano, trouve un défibrillateur.
Anoter : Je…je vais essayer.
Franck : Mitsuru, il faut prévenir Tae. Elle saura quoi faire.
Mitsuru : Je l'appelle.
C'était surréaliste. Comment ça avait pu arrivé ? Ils s'attendaient à ce que les palaces soient dangereux, même la Crazy House. Mais se faire tirer dessus à l'extérieur, au Japon qui plus est ? Qui étaient ces types ? Et pourquoi Shinji les connaissaient ?
Cette fois encore, impossible de se rendre compte du temps qui passait. Au bout d'un moment, Mitsuru confirma l'arrivée de renfort médicale. Kefan et Haru avaient merveilleusement coopéré pour bander les blessures ouverte, même si il faudra suturer. Mais lorsque Anoter et Makoto revinrent…
Anoter : Ils ont tous étaient vandalisé. Il n'y en a aucun dans le secteur.
Franck : Bordel…
Ren : Du coup on fait quoi ?
Franck : (Réfléchit Franck, réfléchit…)
C'est à ce moment-là qu'il repensa à son dernier bricolage.
Franck : Kanji, remplace moi deux minutes.
Kanji : Ok.
Kefan : Qu'est-ce que…
Le franc tireur démonta sa matraque, et connecta les fils de façon à faire circuler le courant pour…
Anoter : Je suppose qu'on a plus que ça.
Il se passa encore quelques minutes pendant lesquels Kanji continuait le massage cardiaque, tandis que Franck gérait le défibrillateur de fortune. Les bandages tenait plutôt bien. Mais est-ce que ça suffira pour sauver Shinjiro ? Ou était-il déjà trop tard ?
Finalement, une ambulance arriva. Et en descendit deux personnes.
Takemi : Vous avez fait ce que vous avez pu. On va prendre le relais.
Uehara : Nokyu, vous venez aussi. Il me faut encore deux autres personnes.
Mitsuru : Je viens.
Kanji : J'accompagne aussi.
Takemi : Très bien. Quant à vous, retournez directement à l'internat. Restez dans les grandes rues et à la lumière.
Makoto : Je prend les devants.
Uehara et Mitsuru montrèrent à l'avant. Kanji aida Takemi à charger le brancard sur lequel était allongé Shinjiro. Une fois à bord, et en route vers l'hôpital, Takemi commença à traiter la blessure de Franck.
Takemi : C'est plus grave que les autres fois.
Franck : Cette fois, c'était une vrai balle.
https://www.youtube.com/watch?v=XQb2Cnl1pqI
Takemi tendis un médicament et une bouteille d'eau au lycéen.
Takemi : Maintenant que la formule est complète, elle va agir rapidement. Repose toi demain, et ça ira mieux.
Franck : Et lui ?
Takemi poussa un soupir. Shinjiro était toujours, dans le meilleur des cas, inconscient.
Takemi : Si il survit à cette nuit, il lui faudra quelques semaines pour s'en remettre. Mais…il survivra.
Franck : Vous semblez sur de vous.
Takemi : Parce que cette fois, j'y arriverai.
Cette fois, Franck le remarqua. Alors que Kanji veillait sur Shinjiro, Tae laissa couler une larme.
Takemi : Cette fois, je ferai ce que je n'ai pas réussit il y a trois ans.
Franck : Je…je crois que je comprend cette fois.
Takemi : Ha oui ?
Franck : Si vous vous êtes lancée dans la recherche de traitements des blessures par balles, c'est parce que quelqu'un à qui vous teniez beaucoup est mort pour cette raison, pas vrai ?
Takemi : Comment … ?
Franck : C'est pour cette raison que vous avez évité de trop vous rapprocher d'un homme.
L'infirmière laissa échapper un rire.
Takemi : Je vois. Perspicace.
Franck : Et merspi répare.
Les deux amis s'autorisèrent à rigoler. Puis, leurs regards se portèrent sur le mourant.
Franck : Tient bon Shinji. Tu reviendras.
Takemi : Tu es trop jeune pour mourir. Juste pour ça.
En arrivant à hôpital, Shinjiro fut d'urgence transféré à la salle d'opération. Curieusement, ils ne trouvèrent personne sur le chemin. Les deux femmes se chargèrent donc du blessé. Franck et Kanji restèrent en salle d'attente, sans trop parler.
Finalement, au bout d'une heure, Takemi revint à eux.
Takemi : Il vivra.
Les deux lycéens poussèrent un soupir de soulagement.
Kanji : C'est un miracle.
Franck : Ouaip, surtout que je lui en doit une. C'est lui qui s'est interposé en fait…
Takemi : Il est en vie. Alors tu n'as pas à culpabiliser. Et puis, c'était sa décision.
Franck : Je sais.
Takemi : Encore une chose. Celui qui vous a tirer dessus, il s'appelle bien Takaya ?
Franck : Oui. Mais….comment vous le savez ?
Takemi : Au moins, je sais où il est….
Kanji : Quoi ?
Takemi : Je vais vous raccompagner à l'internat. Ma collègue s'occupe de votre ami. D'ailleurs, il sera transféré dans la chambre de Isshiki. Ça sera mieux pour la surveillance.
Kanji : Logique…
C'était vraiment la soirée la plus épuisante de leurs vie. Rien n‘aurait pu les préparer à ça. Le retour se fit dans le silence. Lorsqu'ils arrivèrent, Mitsuru et Makoto furent la pour les accueillir.
Mitsuru : Nous n'avons pas vraiment discuté. Nous nous sommes dit que nous remettrions ça à demain.
Franck : Ça me va.
Kanji : Allons dormir.
Le moment venu, tout le monde tomba endormis d'un seul coup.

Le lendemain, 07h28….

Lorsque Anoter se réveilla, Kefan, Ren et Yusuke étaient déjà debout. Franck se leva juste après, mais Kanji semblait dormir d'un sommeil de plomb.
Anoter : On doit descendre pour la réunion stratégique. Il faudrait le réveiller, non ?
Franck : Laisses-le. Il est fatigué.
Les cinq s'habillèrent et descendirent à la salle de lecture. Il ne remarquèrent alors pas qu'une fille attendais qu'ils soient presque tous parti.
En entrant dans la salle, ils virent qu'ils étaient presque tous là. Même les adultes.
Kefan : Désolé du retard.
Franck : Tiens, il manque Chihiro.
Mitsuru : Elle a dit qu'elle avait quelque chose à faire.
Makoto : Elle avait l'air décidée. Et Kanji ?
Yusuke : Il dormais encore. Franck a suggéré qu'on le laisse dormir.
Anoter : Du coup ?
Makoto : On va commencer sans eux. On leur fera un résumé.
https://www.youtube.com/watch?v=C3znr-8sP6M
Ren : Très bien. Qui commence ?
Iwai : A vrai dire, je pense qu'il faut que je vous parle de ce qu'on a trouvé dans la Crazy House.
Mitsuru : Une mauvaise nouvelle ?
Iwai : Pas sur. En fait, il y a un drôle d'individu qui s'y ballade en voiture.
Franck : En voiture ?
Makoto : C'est pas vraiment surprenant.
Iwai : Je sais pas ce qu'il y trouve, mais les deux fois où on l'a vu, l'arrière de sa caisse était vraiment chargé. Et…lui avait l'air d'un gosse.
Kefan : C'est pas banal.
Anoter : Mais, je suppose qu'il ne vous a pas attaqué.
Rio : En fait, quand il nous voyait de loin, il nous faisait signe de la main.
Ren : Au moins, ce n‘est pas un ennemi supplémentaire.
Yusuke : Il faudra tirer ça au clair quand nous aurons du temps.
Franck : Je propose qu'on passe à la suite. Qui sont les enfoirés qui nous ont tiré dessus ?
Mitsuru : Les Strega. Shinjiro et moi avons déjà eu à faire avec eux. Ce sont des tueurs à gage, et…des utilisateurs de persona.
Un court silence tomba dans la salle.
Franck : Formidable. Comme si nous n'avions pas assez d'emmerdes.
Mitsuru : L'avantage que nous avons, est qu'ils attendent toujours que leurs cibles soient isolées. Si on reste groupé, ils ne s'attaqueront pas à nous. Si vous avez suivit les actualités depuis quelques temps, vous savez qu'il y a des disparitions.
Kefan : Je suppose qu'ils sont responsables.
Mitsuru : Ce sont en tout cas les suspects numéro un.
Takemi : Mais pourquoi Shinjiro partait souvent dans le quartier sombre ?
Mitsuru : Il avait des informations à récupérer. Notamment sur Parapluie SARL, et tout ce qu'ils ont à se reprocher. D'ailleurs, c'est eux qui ont engagé les Strega. Et c'est eux qui ont piégé Wakaba pour s'approprier ses recherches.
Iwai : Quelques choses sur des bombes donc.
Mitsuru : Pas du tout. En fait, Wakaba développait seulement des médicaments. Ces recherches se concentraient principalement sur la guérison de l'âme. Et le plus impressionnant, c'est qu'elle semblait connaître l'existence du metaverse.
Chihaya : On aurait du lui en parler…
Mitsuru : J'ai envoyé une copie des données à mes employés, mais tout semblent ultra crypté. Pire encore, il semblerait que Medjed nous mettent des bâtons dans les roues, et nous empêche de diffuser les informations compromettantes qui permettrait de faire chuter Parapluie SARL.
Franck : Si seulement Futaba était en état de nous aider…
Mitsuru : Je suis pas sur que même elle pourrait les contrer. En fait, je crois qu'il nous faudrait un de ses membres qui accepte de nous aider. Et celui qui s'est fait arrêté par la police refuse de coopérer.
Franck : Alors il nous faut aider Futaba. J'ai confiance en elle. Elle arrivera à contourner ce problème.
Takemi : Mais pas aujourd'hui. Tu dois te reposer.
Ren : Alors remettons ça à après demain.
Kefan : On va en profiter pour se réapprovisionner.
Haru : C'est quand même bizarre. Où sont passé Chihiro et Kanji ?

https://www.youtube.com/watch?v=5RPnrIYV-Xo
Alors qu'un conseil de guerre avait lieux,…Pendant ce temps, dans la chambre 333…
Kanji venait à peine de se lever. Tout les autres étaient déjà parti. Il avait un peu honte d'avoir autant dormis, mais était reconnaissant envers ses amis de l'avoir laissé ici. Alors qu'il venait à peine de s'habiller, quelqu'un entra sans frapper.
Chihiro : J'ai entendu dire que tu était à l'hôpital hier soir.
Elle avait l'air moins en forme que d'habitude. Comme si elle avait mal dormis.
Kanji : Shinjiro et Franck étaient blessé. Franck va mieux, mais Shinji…
Chihiro : Ce que vous faites commence vraiment à être dangereux. Au début, c'était juste ce monde parallèle, mais maintenant, il y a des tueurs en séries, et des entreprises qui les engagent.
Kanji : Si on veut changer le monde dans lequel on vit, si on veut mettre fin aux injustices, alors il nous faut en passer par là.
Chihiro : Mais tu parles de mettre ta vie en danger ! Il y a eu des morts, et Shinjiro est en très mauvais état.
Kanji : Et c'est pour ça que je ne peut pas rester les bras croisé. Je veut au moins continuer pour mes amis.
Chihiro : Mais, MAIS PENSES À CEUX QUI TIENNENT A TOI !
Kanji : Je ne suis pas irremplaçable. Je…
Mais la demoiselle ne le laissa pas terminer sa phrase. Elle s'était précipité sur lui, et…
CLAP !
Personne n'aurai pu imaginé que cette fille réservée, ayant peur des garçons, aurait levé la main sur quelqu’un. Qui plus est sur le plus intimidant de tous. Mais elle garda une expression déterminé, comme si rien ne pouvais l'arrêter, alors qu'elle venait de passer un point de non retour. Kanji, lui, ne s'attendait absolument pas à ça. Non seulement il fut stupéfait par le "choc", mais il se laissa complètement faire lorsque Chihiro le plaqua contre le mur.
Chihiro : Je ne te laisserai pas mourir sans rien faire ! Je….je…
Des larmes commencèrent alors à couler sur ses joues. C'est à ce moment là que Kanji passa un bras derrière les épaules de Chihiro.
Kanji : Je n'ai pas l'intention de mourir. Et je ne vais pas t'abandonner, parce que je…
A son tour, Kanji se laissa aller.
Kanji : Parce que je…
https://www.youtube.com/watch?v=akvE3llUdzc
Les mots ne sortirent pas. Mais ça n'aurait pas apporté grand-chose de plus. Poussée par sa détermination, Chihiro approcha son visage de celui de Kanji, et…les deux fermèrent leurs yeux lorsque leurs lèvres se touchèrent. Ils n‘auraient pu dire combien de temps ils passèrent ainsi, mais peu importe. Si elle voulait qu'il garde l'envie de vivre, alors c'était réussit. Au bout d'un moment, Chihiro recula légèrement.
Chihiro : Je…suis désolé de t'avoir…
Kanji : Je ne t'en veut pas. Ce n'est rien. Du coup, nous deux, on est… ?
Chihiro : Il y a bien intérêt, oui.
Les deux rigolèrent de bon cœur, se disant que même maintenant, avec ce qu'il se passe dehors, il fait bon de vivre.

Voix mystérieuse : Il est miens, et je suis sienne. Nous avons surmonté les dangers depuis notre rencontre du destin. En liants la Justice au Muscle, nous avons ouvert une porte vers l'éternité, menant au potentiel infinie.
Technique ultime débloquée : ???????????

Chihiro : Nous devrions y aller.
Kanji : Hélas…

Quelques heures plus tard….https://www.youtube.com/watch?v=YQCAv3oKoN8

Les adultes avaient repris leurs activités. De manière générale, les élèves avaient regagné leurs chambre. Bien évidemment, nous allons suivre la 333.
Kefan : Du coup, on ne continue pas Nippon et Nichons ?
Franck : J'aurai bien voulu, mais Lysithea n'est pas connecté. Et Désillusion viens de m'envoyer un message pour me dire qu'elle serait moins présente. Apparemment, elle a un petit ami maintenant.
Kanji : Il faut croire que ça commence pour tout le monde.
Anoter : Comment ça
Kanji : Non, rien.
Ren : Au fait, tu fait quoi Franck ?
Ce dernier avait encore une fois convertis son bureau en établi. Il venait de démonter la crosse et le canon de la winchester.
Franck : Je la convertie en arme de poing. J'ai vu ça dans un jeu. En fait, dans deux.
Anoter : C'est pas vraiment ce que j'appelle du repos. Mais je vais en profiter pour entretenir mon sabre.
Ren : Bon, vu qu'on a rien d'autre a faire, je vais fabriquer des grenades fumigène.
Kefan : Je vais préparer les rations de palace.
Yusuke : Je vais t'aider.
Kanji : Bon !
Kanji releva son lit contre le mur, et l'on vit qu'il avait apporté des modifications pour faire de la musculation.
Kefan : Impressionnant.
Kanji : C'est l'heure de la remise en forme.
Au bout d'un certain moment, quelqu'un frappa à la porte.
Anoter : Je suppose que c'est Mitsuru ou Makoto. Entrez !
Mais ce ne fut ni l'une ni l'autre qui ouvrit. C'était mademoiselle Kawakami. D'un seul coup, tout le monde s'arrêta. Le regard de l'enseignante s'arrêta tour à tour sur Kefan et Yusuke qui faisait à manger, Anoter qui astiquait son katana, Kanji qui se musclait, et Franck qui bricolait la réplique de la carabine.
Kawakami : Désolé de vous…déranger. Kefan, je peut vous voir un moment ?
Kefan : Ça ne me dérange pas.
Kawakami : Allons dans le couloir. Yusuke, continuez de tourner la crème glacé. Anoter, utiliser un produit d'entretient de meilleur qualité. Kanji, je ne voit pas de bouteille d'eau à côté de vous. Franck…bon, je suppose que vous savez ce que vous faites.
L'enseignante et l'intellectuel quittèrent la chambre. Et une fois dans le couloir…
Kefan : En fait, Franck est un fana de flingue. Il aime bien les répliques.
Kawakami : Oui, je me doute que c'est pas un vrai. Mais, ce n'est pas pour ça que je vient vous voir. Apparemment, Shinjiro est réveillé, et il n'est plus en danger.
Kefan : Ha…mais… ?
Kawakami : Je ne vous demanderai pas ce qu'il s'est passé, ce n'est pas à moi de le faire. Mais il est normal que je m'inquiète. Je suis enseignante, et vous êtes mes élèves.
Kefan : Oui. Merci pour l'information.
Kawakami : Et si vous avez besoin, n'hésitez pas à venir me parler. Je vous écouterai.
Kefan : Je n'y manquerai pas.
Kawakami : Bien. Contente d'avoir parler avec toi.

Dans l'après midi, il fut convenue que tout le monde devait se détendre un peu. De toute façon, il fallait attendre après demain pour retourner dans le palace. Kefan reçut une invitation de Haru, qui était chez elle.
La résidence des Okumura était des plus luxueuse. Une chose était sur, cette famille devait manquer de peu de chose. Kefan et Haru s'étaient assis à la table de la salle à manger, et parlaient surtout des boissons qu'ils pourraient emmener dans le metaverse. Ils passèrent ainsi un moment agréable, avec du café, du thé, et des petits gâteaux. Un peu avant le début de la soirée, le père de Haru rentra du travail. Il avait l'air fatigué, mais plutôt heureux. Et il avait un sourire sincère.
Kunikazu : Bonsoir Haru, et, monsieur ?
Haru : Ho, papa, je te présente Kefan Remia. C'est un camarade de classe.
Kunikazu : Ho, je vois. Vous avez bien raison de profiter de la maison, les jeunes.
Haru : Papa !
Mais Haru était souriante.
Haru : Comment s'est passé ta journée ?
Kunikazu : Ha…il semblerait que mes plans politique tombent à l'eau. Mais peu importe. J'ai visité deux de mes restaurants qui semblaient avoir des soucis de matériels vieillissant. Alors pour compenser leurs efforts, j'ai débloqué une prime supplémentaire pour mes employés.
Attend, quoi ?!
Haru : Hi hi, tu es bien le héro de la restauration rapide.
Kunikazu : J'en suis encore loin. Je doit réparer les tord que j'ai commis auparavant. Mais je suis sur la bonne voie.
QUOI !? Kefan buvait son thé tranquillement, sans faire de commentaire. Même si il ne pouvais s'empêcher de penser que quelque chose clochait. Tout le monde connaissait les rumeurs. Mais pourtant…
Kunikazu : Prenez votre temps. Vous êtes en vacances après tout. Je vais dans mon bureau. Et, soyez sage les enfants.
Haru : Roh, papa !
Puis, le père de Haru quitta la pièce. La fille adressa un clin d'œil à son ami.
Kefan : Ton père, il va bien ?
Haru : Ha ça, il va beaucoup mieux depuis quelques semaines, depuis qu'il a pris conscience que ce qu'il faisait avait n'était pas bien.
Kefan : Attend, tu veux dire que….tu l'as réformé ?
Haru : Pas toute seul. Frédérick était avec moi.
Kefan : Tu aurais pu demander de l'aide. On t'aurai aidé, tu sais.
Haru : Oui. Vous auriez accouru pour m’aider. Mais, c'était…personnel. Je voulais que ce soit juste moi.
Kefan : Et un canard sauvage est apparut.
Haru : Exact. Et à deux, on y est arrivé facilement.
Kefan : Heureux de l'entendre. Bon, je commence à rentrer à l'internat. J'ai une affaire à régler.
Haru : D'accord. Ho, et concernant ce que mon père a dit, enfin, ce qu'il insinuait à propos de nous deux…
Kefan : Bah, il nous voit comme de bons amis. Après tout, on s'entend bien tout les deux, et notre amitié durera toujours. J'espère juste que ça ne changera pas quand tu trouveras un mari plus tard.
https://www.youtube.com/watch?v=5RPnrIYV-Xo
Haru : Je vois.
Cette fois, le sourire avait complètement disparu de son visage.
Haru : Je comprend. J'ai…quelque chose a faire avant de repartir. Je ne te retient pas.
Puis elle partie dans sa chambre. Kefan resta un moment avant de comprendre ce qu'il venait de se passer.
Kefan : (oups, je crois bien que j'ai fait une connerie, la….bon, tant pis.)

Pendant ce temps, dans la chambre 333…

Franck venait enfin de finir la conversion de son arme.
Ren : Ça donne quoi ?
Franck : Au lieu de mettre quinze balles, je doit me contenter de huit. Mais ça fonctionnera.
Yusuke : Ça en jette. D'ailleurs, j'aimerai te demander conseil.
Franck : Ha ?
Yusuke : J'aimerai changer mon fusil d'assaut, contre quelque chose de plus…
Franck : Utsukushii ?
Yusuke : Oui, voila.
Franck : Ok. Allons à l'Untouchable.

Un peu plus tard…https://www.youtube.com/watch?v=y8_AaQTG4Hw

Iwai : Alors, il vous faut encore quelque chose .
Franck : Un FAMAS pour Yusuke.
Iwai : Ça roule.
Yusuke : Un FAMAS ?
Franck : Un fusil d'assaut du même calibre que le M4. Tu ne sentira pas de véritable différence en sensations de tir. Et c'est un model français.
Iwai : Voila pour toi.
Yusuke : Ho ! Voila qui est parfait !
Iwai : Du coup, tu ne veux pas revendre ton ancien fusil ?
Yusuke : Franck ma l'a déjà racheté.
Franck : Et j'aimerai vous prendre un revolver aussi.
Iwai : T'es pas un fana pour rien toi.

Pendant ce temps, chambre 333…

Le téléphone des BOFABOLD vibra. C'était Iwai qui demandait un renseignement.
Iwai : Salut les gars, j'ai oublié de demander à Yusuke et Franck les mots clé pour entrer dans le palace. Juste au cas-où.
Ren : La première partie, c'est "Parapluie SARL, Crypte de glace et Terrorisme".
Kanji : La suite, c'est "Futaba Isshiki, Désert et Tombe"
Iwai : Ok, merci.
Chihaya : Pauvre petite, quand même.
Mitsuru : C'est pour ça qu'il nous faut réussir. Alors soyez en forme dans deux jours, quand nous irons dans le palace.

Le sur-lendemain…10h59, aux WC de l'Untouchable…
Tout les utilisateurs de persona était présent, bien que Kanji eut du retard.
Kanji : Désolé. En fait, je suis venu un peu en douce pour être honnête.
Franck : Ha, pourquoi ?
Chihiro : Parce que je ne veut pas qu'il mette sa vie en danger.
Kanji : Oups…
Chihiro était venue, accompagné de Rio, Takemi, Iwai, et Chihaya.
Kanji : A..aaa..a..attend, je peut….
Chihiro : Oui oui, je sais, tu peux tout m'expliquer.
Mitsuru : En voila une qui a pris en assurance.
Chihiro : Je ne pourrait jamais t'empêcher de partir en vadrouille. Alors je t'accompagne. Et inutile de me dire que c'est trop dangereux.
Takemi : Quand j'ai vu qu'elle partait avec son fusil, je me suis dit que j'allais l'accompagner. Et Rio a suivit.
Iwai : J'ai fermé la boutique pour aujourd'hui. Et c'est là que j'ai croisé Chihaya.
Chihaya : On s'était bien entendu la dernière fois. Et ton fils était vraiment adorable.
Naoto : En voila une sacré réunion.
Kefan : Tiens, toi aussi tu es là.
Naoto : J'ai pris ma décision. Et je viens avec vous. Je veut connaître le fin mot de cette histoire avec Parapluie SARL. Et je n'ai pas oublié mon équipement.
Iwai : Un 38 spécial. Pourquoi pas. Je t'approvisionnerai quand on sera là-dedans. Et du coup Chihaya, tu es sur que tu n'en veux pas ?
Chihaya : Je ne vais faire que regarder pour aujourd'hui. L'étude de ce monde psychique peut m'aider dans mes recherches. Je ne vous gênerez pas, promis.
Takemi : Et du coup, "lui" aussi il viens ?
Elle parlais de Koromaru.
Mitsuru : Il a insisté pour venir, alors je l'ai équipé pour. Il a son propre Evoker, et…un couteau de combat. Oui, il sais s'en servir.
Rio : Oui…de toute façons, nous ne sommes pas au bout de nos surprise.
C'est ainsi que le troisième voyage au cœur de ce palace se lança.

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Dans la vie, il y a trois sorte de gens : ceux qui savent compter, et ceux qui ne savent pas compter.
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   Posté le 20-09-2020 à 20:12:01   Voir le profil de Franck-Fullbuster (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Franck-Fullbuster   

https://www.youtube.com/watch?v=MC9yakpJpbI&list=PLZuZrScKjWOMAEEBEGTmAGtmmlg6QY7bC&index=50
L'intégralité des BOFABOLD, a l'exception de Shinjiro et Futaba bien sur, arriva dans la première salle de bain. Alors qu'ils s'équipaient, certains remarquèrent que Franck s'était sur-équipé.
Kefan : Mais t'en as combien sur toi ?
Franck : La winchester convertie en arme de poing.
Iwai : Ho, pas mal.
Franck : Le Mark 23 acheté récemment. Le M4A1 racheté à Yusuke.
Yusuke : Que j'ai remplacé par un FAMAS.
Franck : Et un Colt Anaconda.
Anoter : Même si il en porte moins qu'Iwai, ça reste impressionnant.
Mitsuru : Bon, dites-moi qu'on a toujours la carte magnétique du labo.
Ren : Toujours sur moi.
Kanji : Parfait. Bon, plus qu'a y aller.
Yusuke : Attend. On a de quoi équiper tout le monde contre le froid ?
Chihaya : On a créé du surplus, donc pas d'inquiétude.
Frédérick : Par contre, nous allons devoir marcher. Vous êtes trop nombreux pour le caddie.
Chihaya : D'accord….mais, un canard qui parle ? Enfin, je suppose que c'est normal ici.
Anoter : L'effet de surprise s'estompe…
Le groupe pris directement vers l'est, coupant à travers champ, ou plutôt à travers désert.
Kanji : Allez, sourit Franck.
Franck : J'ai juste hâte qu'on en termine avec tout ça.
Anoter : Aller (sortant une mini guitare de son sac) Je sais comment remettre de l'ambiance.
Makoto : Je me demande ce que tu as en tête.
Lorsqu'il commença à jouer, il semblait que cet air parlait à quelques-uns.
Kefan : Moi je traîne dans le désert depuis plus de 28 jours Et déjà quelque mirages me disent de faire demi-tour. La fée des neiges me suit tapant sur son tambour
Mitsuru : Les fantômes du syndicat des marchands d'incertitudes Se sont glissés jusqu'à ma lune, reprochant mon attitude C'est pas très populaire le goût d'la solitude.
Anoter, Kefan, Mitsuru et Franck : Quand t'es dans le désert depuis trop longtemps Tu t'demandes à qui ça sert toutes les règles un peu truquées Du jeu qu'on veut te faire jouer Les yeux bandés.
……..


Ils continuèrent ainsi, franchissant un col enneigé, pour finalement, au bout d'une heure, se retrouver devant le fameux laboratoire sud. Il s'agissait d'un grand bâtiment blanc, composé de plusieurs bloc. Avec la neige autour, ainsi que le ciel gris, le bâtiment moderne était parfaitement camouflé, pour peu que ça puisse servir, bien sur. Il y avait des camions bâché, garé devant. Mais un détail attira bientôt l'attention.
Kefan : Il n'y a pas de trace de pas.
Anoter : Ils ne sortent jamais, donc ils doivent avoir leur propre salle de bain. Enfin, si ce monde a un sens.
Makoto : Je pense que tu as juste.
Kanji : Du coup, on entre ?
Naoto : Nous devrions être prudent. Nous ne savons pas ce qu'il y a à l'intérieur.
Ren : Attendez, je vais jeter un œil.
Le voleur en longue veste noir entra furtivement, une fois la porte déverrouillée. Et au boit de quelques secondes seulement, il revint.
Ren : Il y a pas mal de garde, équipés d'armes à feu. Et j'ai vu une porte qui semblait permettre à d'éventuels renforts de venir.
Naoto : Donc si on se fait repéré, on sera rapidement submergé. Quelqu'un a une idée ?
Iwai : Je suppose qu'on va te laisser diriger cette opération, Franck.
Tout le monde se tourna vers lui.
Franck : Très bien. Voyons. Anoter, Yusuke, Ren, Mitsuru, Rio, Iwai et Koromaru, vous venez avec moi. Les autres, abritez vous dans la camions, le temps qu'on s'occupe du problème. Si vous voyez des ennemis, attaquez les à vu. Et si vous entendez du bruit dans le labo, alors venez vite.
Makoto : Entendu. Soyez prudent là dedans.
Une fois que tout le monde eut pris sa position, Franck commença le plan, et distribua des cylindres.
Franck : Voila des silencieux. Ren, Yusuke, les vôtres tiendrons autant qu'il le faut. Par contre, le tient Anoter est un silencieux jetable. Vu que tes balles sont de hautes vélocité, ton silencieux finira par casser au bout d'un certains nombre de tirs. Mitsuru, on va compter sur ta rapière. Rio, tu sais quoi faire avec ton sabre. Koromaru, reste discret toi aussi. Iwai, tu as ce qu’il te faut ?
Iwai : Vu que nous sommes en intérieur, je vais sortir le MP5.
Franck : Très bien. Notre objectif sera de désactiver la sécurité pour que nos amis puissent nous rejoindre sans problème. En cas de problème, comptez sur vos Persona pour ceux qui en ont. Des questions ?
Personne n'en posa.
Franck : Très bien, alors allons-y.
Le groupe entra dans le bâtiment avec un objectif bien précis.

Cela faisait quelques minutes que le plan avait commencé. En se répartissant entre deux camions, les BOFABOLD réussissaient à conserver une chaleur correcte, malgré le mauvais temps. Kefan était à côté de Kanji, dans le même camion que Chihiro et Takemi. Haru, Makoto, Frédérick, Naoto et Chihaya étaient dans le deuxième camion.
Kefan : Vous pensez que tout se passe bien ?
Takemi : Je pense que Franck sais ce qu'il fait. Et puis, il est bien entouré.
Kanji : Ça serai dommage qu'ils se fassent capturer. Mais je pense qu'il feront du bruit avant que ça arrive.
À ce moment là, une voix se fit entendre dans leur tête.
Mitsuru : C'est bon, vous pouvez venir.
Kefan : Ha oui, c'est vrai, il y a ça aussi.
Chihiro : Mitsuru est toujours si impressionnante.
C'est ainsi qu'ils rejoignirent leurs amis à l'intérieur. Ils les trouvèrent non loin de l'entrée. Et curieusement, il n'y avait plus la moindre trace des ombres.
Chihaya : Vous avez réussit ? Vous avez déjoué la sécurité ?
Anoter : Et bien…
Les attaquants eurent un flashback de tout un tas de tir silencieux, mitraillant, vidant les chargeurs sur les ennemis ne sachant pas d'où venaient les tirs, ainsi que Mitsuru sautant sur trois mètres de haut en embuscade, sur des ombres pas assez attentives, Rio sortant de l'ombre au dernier moment, et Koromaru bondissant avec le poignard entre les dents.
Franck : Plus personnes ne peut nous repérer si il n'y a plus personnes pour nous repérer.
Haru : Au moins, on peut avancer.
Cette zone était composé essentiellement de passerelles et d'escalier métallique, la salle des ordinateurs étant plus bas. Et en effet, les attaquants avaient fait du très bon boulot, vu qu'il n'y avait aucun renfort.
Makoto : Vous êtes sur qu'on ne sera pas dérangé ?
Anoter : J'ai réussit à verrouiller la porte utilisé par les renforts. Même si ça m'a pris plus de temps que si ça avait était Futaba.
Franck : Ouaip. Elle aurait fait ça seulement en claquant des doigts. Aller, on se dépêche.
Le groupe entra finalement dans la salle des ordinateurs. Il y en avait une bonne douzaine, et chacun affichaient un projet différent. C'est ainsi qu'ils découvrirent que le laboratoire nord abritait leur arme ultime.
Iwai : Je suppose que si on la met hors service, ça sera considéré comme la pire humiliation pour eux.
Mitsuru : Alors nous ne pourrons pas y aller avant d'envoyer la lettre.
Franck : J'ai hâte de l'écrire celle la.
Ren : Il y a aussi tout un tas d'informations compromettantes. On en fait une copie ?
Kefan : Je sais pas si on pourra en faire quelque chose, mais ça vaut le coup d'essayer.
Anoter : C'est parti alors. Vous nous couvrez ?
Iwai : Ça marche.
Anoter, Kefan et Ren prirent le temps de récupérer sur clé USB tout ce qui pouvait l'être. Pendant ce temps, les autres montaient la garde, au cas ou. Il se passa quelques minutes pendants lesquelles on entendait juste les touches des claviers, et les sons de confirmation d'opération informatique. Personne ne parlais. Ce fut après un très long silence que la conversation repris.
Kefan : Il y a en effet beaucoup de chose à dire. On a là le détail complet du complot contre Wakaba.
Takemi : Si seulement elle avait su.
Franck : On lui demandera quand elle se réveillera.
Takemi : Oui…
Naoto : On fait quoi maintenant ?
Anoter : Il faut sécurisé la route vers le laboratoire nord, et celle du sommet de la pyramide aussi.
Kanji : Ce qui veut dire qu'il va nous falloir nous battre.
Chihiro : Ça ne devrait pas être un problème. Cette fois, nous sommes en renfort. Même si nous n‘avons pas de pouvoirs magique.
Mitsuru : C'est vrai. Mais en cas de problème, repliez-vous.
Iwai : Je me chargerai d'organiser le replis en cas d'urgence.
Makoto : Ça me semble approprié.
Haru : Nous avons notre plan d'action. On commence par où ?
Franck : Le laboratoire. Nous savons à quoi nous en tenir pour la pyramide.
Kefan : Alors en route pour le nord.
Anoter : C'est bien toi qui le dit.
Mais avant de partir, les BOFABOLD prirent quand même le soin de fouiller le bâtiment. Mais à part les infrastructures indispensables au bon fonctionnement du labo, il n'y avait rien d'intéressant.
Encore une fois, ils durent marcher, le chemin étant de toute façon impraticable pour le caddie. C'est donc sur une route montagneuse, froide et enneigé qu'ils s'engagèrent. Les plus robustes, à savoir Iwai, Kanji, Franck, Kefan et Anoter, ouvraient la voie, facilitant l'avancée de leurs amis. Si seulement Frédérick pouvait se transformer en avion…
Au bout d'une bonne heure d'avancée, ils virent le labo nord, qui était largement plus haut que l'autre.
Franck : Il y a quoi là dedans ? Une fusée ?
Anoter : Il n'y avait pas plus de précision que ça dans les données récupérées. On en saura plus quand nous pourrons enfin l'ouvrir.
Alors qu'ils se dirigeaient vers cet immense bâtiment, ils entendirent des coups de feu, sur leur gauche, à peut-être deux cents mètres. En regardant, ils comprirent ce qu'il se passait.
Les hommes de mains de Shadow Franck attaquaient les gardes des laboratoires.
Kanji : Ils se battent entre eux ?
Mitsuru : Deux maîtres de palace, donc deux camps. Ils ne sont pas obligés de s'entendre pour exister.
Yusuke : Au moins, ça nous laisse le champ libre.
Iwai : On a suffisamment d'armes et de munitions pour les arroser. On fait quoi ?
Makoto : Pas sur que ce soit une bonne idée. Si ils se retournent tous contre nous, on sera en infériorité numérique.
Naoto : Alors continuons l'infiltration.
Le groupe s'écarta donc de la bataille. Ils se faufilèrent en silence jusqu'au labo, qui cette fois, n'avais aucune porte d'entrée.
Haru : Je crois que nous avons atteint la limite de ce côté.
Frédérick : Coin ! Je confirme. Notre but se trouve de l'autre côté. Je le sens.
Yusuke : Plus qu'a écrire la lettre.
Franck : Et il y aura des choses à dire.
Rio : Maintenant, il faut aller à la pyramide. Il faut finir de sécurisé la route.
Chihiro : Alors en avant.
??? : Plus un geste !
Iwai : Merde.
Les BOFABOLD montrèrent leurs armes sur les ennemis qui les encerclaient. Les gardes du labo venaient de les surprendre, ce qui n'empêcha pas Koromaru de grogner. Alors que Kanji se protégeait derrière sa chaise, Chihiro s'interposa, pointant son fusil à pompe sur les assaillants.
https://www.youtube.com/watch?v=9APGl1dSaw8
Kanji : Chihiro !
Chihiro : Je te l'ai dit, je ne te laisserai pas mourir. Et je n'ai pas l'intention d'être un poids pour vous.
Voix séduisante : Et bien, en voila une belle détermination.
Cela faisait longtemps que ce phénomène ne s'était pas produit. Une fois de plus, il y eu une impulsion, et Chihiro commença à avoir mal à la tête.
Naoto : Elle aussi ?
Voix séduisante : Tu as toujours eu à cœur une égalité pour tous, une véritable justice. Et pour sauver l'homme que tu aimes, tu te bat à ses côtés. Mais dans cette voie, tu ne pourras plus faire marche arrière.
Chihiro : Alors je continuerai. Jusqu'au bout.
Voix séduisante : Alors nous sommes d'accord. Je suis toi, et tu es moi. Continue dans cette voie que tu t'es choisie.
Une visière tactique apparut sur le visage de la fille autrefois très timide.
Kanji : Tiens bon, je suis juste là.
D'une main, elle attrapa la visière, et l'arracha, balayant la zone de cette lumière mystique.
https://www.youtube.com/watch?v=_BNXe3QSLfM
Chihiro était désormais vêtu d'une tenue de policière, notamment composé d'une jupe et d'une visière courte pare balle. Et le plus observateurs auront remarqué que même son fusil avait changé. Et sa persona se tenait derrière elle.
Chihiro : Alors faisons équipe, Angel.
Mitsuru : Pourquoi je n'ai jamais remarqué qu'elle aussi avait le potentiel ?
Haru : Peut-être parce qu'elle a changé, et en bien.
Chihiro : Après avoir était la cible de Kamorame, j'ai juré que j'aiderai les BOFABOLD jusqu'au bout. Et personne ne m’en empêchera !
Iwai : Et depuis quand elle a un SPAS 15 ? Et avec chargeur tambour ?
Chihaya : Ha, c'est ça qui te perturbe le plus…
Chihiro : Ennemis des BOFABOLD, vous vous êtes mis la justice à dos ! Et vous ne prendrez pas mon Kanji !
Makoto : Ho, je comprend mieux….tout le monde, en attaque !
Tout le monde affronta l'ennemi avec son style de prédilection. Angel tira des rayons de lumière sur les ombres éloignés. Et lorsque ces dernières se rapprochaient, Chihiro enchaînait les tir de calibre 12 à une cadence élevé.
Chef de la sécurité : Ne les laissez pas s'échapper !
Mitsuru : Il faut abattre celui-là !
Chihiro : On s'en occupe.
Kanji : O…ok.

INTERVENTION BRUTALE.
Le temps de cette scène, le décor changea. Kanji et Chihiro se tenaient sur le bord d’une route, sur fond de couché de soleil, à côté d'une voiture de police, et en face du chef ennemi. Chihiro tira une première cartouche qui fit reculer l'ombre. Kanji enchaina avec un coup de chaise, poussant l'ombre contre la voiture. Puis, Kanji se mis en position pour donner une impulsion à Chihiro, qui sauta dans les airs, canardant le chef de la sécurité, et touchant au passage la voiture à plusieurs reprise qui explosa, éliminant l'ombre, tandis que nos deux héros prenaient une pose héroïque.

https://www.youtube.com/watch?v=LK20OK8VTUw
Naoto : On les a tous eux.
Chihaya : Whouaou, c'était incroyable tout ça ! Moi aussi j'aimerai avoir un persona.
Chihiro : J'avoue que c'est sympa. Du coup…ça fait de moi…une vrai BOFABOLD ?
Mitsuru : Qu'est-ce que tu racontes ? Tu fait parti des nôtres depuis que tu nous aides.
Rio : C'est vrai. Même moi qui n'ai qu'un sabre pour la bagarre, je ne me suis jamais senti exclu.
Yusuke : Et on n'a jamais fait de discrimination de toute façon.
Kanji : Et je pensais te l'avoir dit de toute façon.
Chihiro : Merci. Je…ho…
Soudain, et comme on aurait pu le prédire, Chihiro eut une baisse de tension.
Kanji : Doucement. C'est vrai que ça fait ça au début. Ne t'en fait pas, je te tiens.
Takemi : Attend, j'ai quelque chose pour te requinquer.
Franck : Du moment que ce n'est pas…
Takemi : Bois ça !
La demoiselle bu le contenu d'un flacon. Et quelques secondes après, elle semblait de nouveau en forme.
Iwai : Au fait, j'aimerai examiner ton fusil.
Chihiro : Oui, tu peux y aller.
Anoter : Il y a un truc qui me chiffonne. Tu as dit que c'était "ton Kanji".
Chihiro : J'ai…j'ai vraiment dit ça ?
Bien évidemment , elle se mis à rougir, et pas à cause du soleil.
Makoto : Ha, vous sortez ensemble, c'est bien ça ? En tout cas, tu as meilleur goût que Eiko.
Anoter : Je confirme.
Franck : Je connais pas l’autre, mais félicitations à vous deux.
Kefan : Ouaip, bien joué Kanji.
Haru : Bien joué Chihiro.
Chihiro : Mais….mais, j'ai changé de tenue ?
Makoto : Et je suis bien jalouse de la tienne.
Chihiro : Je…je sais pas trop….j'était obligé d'avoir une jupe aussi courte ?
Kanji : Ça aurai pu être pire. Imagine si tu avais eu une combinaison en latex de dominatrice….
Chihiro : Je ne veut pas y penser.
Franck : Il m'a volé ma réplique.
Iwai : Incroyable. Ton chargeur ne s'est pas vidé d'une seul cartouche. Je ne sais pas comment ça se fait, mais on dirait que ton SPAS 15 se recharge tout seul.
Mitsuru : Surement un effet supplémentaire de ta volonté. Et c'est une bonne nouvelle.

Une fois les félicitations en règle terminé, le groupe avança vers la pyramide.
Chihaya : Vous pensez qu'il va y avoir encore des combats ?
Koromaru : Waf !
Frédérick : Je suis du même avis.
Kefan : C’est-à-dire ?
Frédérick : Il y a encore les hommes de mains de l'ombre de Franck.
Haru : On va encore devoir les affronter dans cette arène ?
Franck : Cette fois, ça ira.
Rio : Tu sembles confiant.
Franck : J'ai un plan.
Anoter : Pourvu qu'il fonctionne.
Koromaru : Waf ! Waf, waf.
Frédérick : En tout cas, Koromaru est sur que ça va aller.
Mitsuru : Je pense que c'est suffisamment rassurant.
Une fois dans la pyramide, les BOFABOLD se servirent de la salle de bain pour arriver plus rapidement possible a l'avant dernier étage. Ils se préparaient à toutes éventualités, mais des qu'ils posèrent le pieds dans l'arène, la tempête de sable balaya la zone.
Anoter : Du coup, le plan tombe à l'eau, non ?
Franck : Non, je vais juste me servir de mon persona.
Kefan : Mais le feu risque de….
Franck : Je ne vais pas me servir du feu.
Franck s'avança, sur de lui, face à cette tempête de sable, la main sur son masque.
Franck : Viens, QuetzalCoatl !
Le serpent à plumes, seigneur des cieux, apparut dans le dos du franc tireur.
Yusuke : Lui aussi il s'y met.
Anoter : Je suis un peu à la bourre.
Franck : Dissipons cette connerie. Pantha rhei !
Une énorme bourrasque souffla complètement le sable de la pièces, renversant au passage les ennemis posté de l'autre côté.
Shadow Franck : Retenez les !
Les trois chefs ennemis se replièrent au dernier étage, tandis que les autres barraient la route à nos héros.
Makoto : On va vous faire une ouverture. Passez dès que vous pouvez. Viens Johanna !
Les BOFABOLD chargèrent l'ennemi, permettant à Franck, Kefan et Anoter de passer.
Kanji : On va bloquer leurs renforts. Foncez !
Franck : Merci.
Haru : Cette fois, c'est vous qui ne passerez pas.
Nos trois personnages principaux foncèrent dans la dernière salle de la pyramide, qui ressemblait étrangement à la chambre de Futaba dans le monde réel. D'ailleurs, cette ombre aussi était présente.
Shadow Futaba : Je ne vous ai jamais donner l'ordre de la chasser.
Shadow Franck : Si cet endroit tombe, je vous perdrait.
Shadow Futaba : Cet endroit m'appartient. C'est à moi de décider….
Shadow Franck : Tant pis.
Il frappa soudain ses mains, et les six hommes de la zone furent téléporté ailleurs…
Shadow Futaba : J'ai foi en toi. Il le faut bien…

https://www.youtube.com/watch?v=lQ4gpuPP0r4&t
Kefan estima qu'il devait être arrivé à la façade ouest de la pyramide.
Harry : Il n'y a rien de personnel. Je ne fait que mon travail.
Kefan : Ton travail de sorcier.
Harry : Comment tu le sais ?
Kefan : Qu'importe…
Harry : Bref…craint ma magie !
Kefan : Matador ! Swift strike !
Les lames spirituelles taillèrent en pièces l'ombre qui se désintégra.
Kefan : C'est tout ? Trop facile. Ou peut-être que ça viens de ma puissance magique….bon, comment je rejoint mes potes ?

Anoter se rendit compte qu'il venait d'arriver à la dune de passage dans le metaverse.
Bayek : Le chef m'a engagé pour vous éliminer. Bon, il ne me reste que deux flèches, mais je ferai ça vite.
Anoter : Je n'y crois pas vraiment.
Bayek : Mais si, voyons.
L'égyptien encocha rapidement sa flèche, et tira sur Anoter. Mais ce dernier dégaina d'un coup son katana, et dévia le projectile.
Bayek : Ha…
Cette fois, il tira sa dernière flèche un peu plus bas, et Anoter la coupa en deux en esquivant sur le côté.
Anoter : Ha, pour une fois la samouraï bat l'assassin.
Bayek : Ça va. On va régler ça à ta façon si ça te convient.
L'assassin dégaina son poignard long. Mais ce n'est pas la seul chose qu'il fit. Il approcha sa main dans son dos, pour y sortir quelque chose qu'on aurait pas pu voir de face. Mais c'était sous estimer le brave qui, en un éclair, dévia un troisième projectile, cette fois un couteau de lancé. Bayek chargea sans attendre, lame en avant. La lame s'approcha dangereusement de la gorge d'Anoter, qui se pencha en arrière pour esquiver. Ça y est, Bayek avait enfin l'ouverture qu'il attendais.
En fait, c'est ce qu'il pensait. Alors que Bayek tenta de déséquilibrer Anoter, celui-ci, d'un coup de pied, envoya valser l'assassin contre le mur. Le choc le désarma, et il tomba au sol, sur le dos.
Anoter s'avança vers lui, le sabre prêt à frapper.
Bayek : Tu vas me tuer selon le code du Bushida ?
Anoter : Bushido.
Bayek : Si tu veux.
Anoter : C'était perdu d'avance pour vous.
Bayek : Je vois ça.
Anoter : Vous auriez du juste nous laisser passer.
Bayek : Peut-être…
Anoter : Maintenant, tu vas mourir.
Bayek : Je m'en Bayek.
Anoter : …
Bayek : Je m'en Bayekouille.
Anoter : …
Bayek : C'est un jeu de mots avec mon prén…
A ce moment là, la pointe du katana transperça le cœur de l'ombre qui se désintégra. Maintenant, il lui fallait regagner les siens.
Anoter : (pouffant de rire) C'est vrai que c'était marrant….
Au loin, le bruit d'un moteur se faisait entendre.

Franck ne pu savoir de lui-même là où il se trouvait maintenant.
Shadow Franck : Tu dois être surpris de te trouver dans le sous-sol de la pyramide.
Franck : Au moins, tu ne m'as pas amené dans un donjon SM.
Shadow Franck : Ha ! Voila qui prouve que tu n'es pas le vrai.
Franck : Qui sais…
Shadow Franck : La déesse ne pourrait jamais aimer quelqu'un de ce genre.
Franck : M'aimer ? Non, elle s'entend bien avec moi parce que je suis aller vers elle, à moment où elle n'avais personne a qui parler.
Shadow Franck : Comment tu peux ne pas t'en rendre compte ?
Franck : T'es sur que ce n'est pas juste toi qui es trop possessif ?
Shadow Franck : Parce que le problème ne viendrai que de moi ? N'oublie pas que je suis….
Franck : Non. Dans notre cas, ça ne s'applique pas.
Shadow Franck : Voila pourquoi tu dois disparaître. Parce que t'es pas foutu de pouvoir la rendre heureuse.
Franck : C'est vrai. Et pas seulement ça. Je vais bientôt être amené à lui faire du mal. Elle ne me pardonnera jamais, et moi non plus. Mais au moins, elle sera en vie.
Shadow Franck : Alors je vais en finir avec toi, ici et maintenant. Je t'ai observé dans tes affrontements. Et tu as tiré sans compter. Que vas-tu faire avec des flingues presque vide ?
C'est vrai. Franck n'avais plus beaucoup de munitions. Une dizaines de balles dans le M4, trois balles dans le Mark 23, une dans le Colt Anaconda, et six dans la winchester.
Franck : Et bien je vais innover. Suzaku !
Shadow Franck : Shadow Suzaku !
La créature céleste, et son équivalente faite d'ombre, se chargèrent, et disparurent dans une tempête de flammes.
Le champion de la pharaonne brandissait son énorme masse, bouclier en avant.
Shadow Franck : Tu vas devoir te frotter à moi.
Franck : Hoo boy !
Franck avait décidé de sortir sa matraque électrique au moment où son ombre le chargea. Les deux armes s'entrechoquèrent, dans un déluge d'électricité. Mais Franck perdait du terrain, reculant petit a petit vers le vide.
Shadow Franck chargea au bouclier violement. Franck valsa en arrière, perdant sa matraque. Mais avant d'atterrir au sol, il avait sorti son fusil d'assaut, et vida le reste du chargeur dans les jambes de son ennemi. Celui-ci, surpris, s'appuya sur son bouclier.
En se relevant, Franck sorti son calibre 45, et tira les trois balles dans le bras tenant la masse. L'ombre perdit son arme lorsque Franck lâcha le pistolet pour sortir le revolver et tira sa dernière balle de 44 Mag dans le torse. Et lorsque son ennemi tomba a genoux, le franc tireur sorti sa carabine reconverti, et tira une balle dans la tête de l'ombre qui s'évapora.
Franck : Ha, espèce de contrefaçon hongkongaise…j'ai…j'ai gagné….
Puis, il s'effondra sur le sol…

Le groupe s'était finalement regroupé à l'entrée de la pyramide. Mitsuru avait passé le message grâce à sa persona. Kefan était revenu grâce à Hell Biker, et Anoter put profité de Johanna grâce à Makoto. Mais Franck était injoignable.
Rio : Peut-être qu'il est plus loin que prévu. Après tout, ça grésillait pas mal.
Mitsuru : Ça passerait mieux avec un vrai navigateur. Je connait quelqu'un, mais elle est resté avec le reste de mon équipe. Et ils ont besoin d'elle.
Shadow Futaba : Il a besoin de soin.
Elle venait d'apparaître, avec Franck, inconscient, qu'elle tenait par la main.
Shadow Futaba : Je ne peut pas m'en occuper. Soignez-le.
Mitsuru : Je m'en occupe. Penthesilea, Diarhan !
Une vague de soin submergea le blessé. Cela dit, il ne se réveilla pas de suite.
Takemi : Je vais quand même l'examiner.
Haru : Tu nous as beaucoup aidé. Merci Futaba.
Shadow Futaba : Mais mon utilité s'arrête là.
Chihiro : Quoi ?! Non !
Shadow Futaba : Il sera mieux que vous continuez sans moi. Il vaut mieux que je disparaisse.
Yusuke : On a promis de ne pas te laisser tomber.
Ren : Et on n'a pas fait tout ça pour rien.
Shadow Futaba : …
Makoto : Si tu veux tellement nous quitter, alors pourquoi nous avoir aidé ?
Shadow Futaba : Car j'ai un souhait. Quelque chose que je voulais. Que je pensais que je pourrais avoir.
Chihaya : Raison de plus pour ne pas renoncer. Non ?
Shadow Futaba : Je compte sur vous….
Puis elle disparut à son tour.

Il s'écoula environ dix minutes avant que Franck ne revienne à lui.
Franck : Cool, vous m'avez trouvé ! Et j'ai encore mes armes.
Iwai : En fait, c'est Futaba qui t'as ramené. Et elle avait un peu inversé les armes dans tes holsters.
Franck : Donc, son ombre m'a encore sauvé. Mais elle n'est plus là ?
Kanji : Tu es resté KO un bon moment.
Franck : Je vois…
Rio : Du coup, on a fini ce qu'on avait à faire ?
Koromaru : Waf !
Frederick : Plus qu'a ressortir, et à écrire les lettres.
Franck : Alors partons.

16h07, a l'intérieur de l'Untouchable…

Iwai avait laissé la boutique fermé pour la journée. Les BOFABOLD profitaient de la clim dans le magasin à l'ombre pour faire une réunion tranquille.
Chihaya : Maintenant, si je comprend bien, il faut envoyer une lettre pour rendre instable le palace.
Mitsuru : Dans les grandes lignes. Mais cette fois, c'est un palace double.
Iwai : Donc deux lettres…
Franck : Comme d'habitude, je m'en occuperai.
Chihiro : Tu es sur ? L'une des lettres sera pour Futaba…
Mitsuru : Chihiro n'as pas tord. Tu y arriveras ?
Franck : Il faudra bien. Par contre, si vous avez des idées pour les lettres, je suis preneur. Mais je m'occupe de la forme finale.
Takemi : Bien. Mais n'oublie pas que tes amis sont là.
Anoter : C'est vrai, prend le temps qu'il te faudra.
Kefan : Pas trop quand même.
Rio : Et pour le reste ?
Ren : On est souvent confronté à un combat supplémentaire. Et on a toujours fait ça uniquement entre utilisateurs de persona.
Iwai : Alors on ne viens pas ?
Naoto : Je pense que si vous restez un peu en retrait, ça ne risque pas grand-chose.
Takemi : Alors je serai sur la ligne de retrait, pour soigner les blessés.
Chihaya : Je donnerai un coup de main aussi.
Franck : Alors on a notre plan. Je retourne à la 333. Si vous avez des idées, envoyez-les par sms.
Yusuke : Très bien. Alors on te laisse travailler. On se retrouve ce soir.
Makoto : Et demain, on met fin à tout ça.

17h14, chambre 333…
https://www.youtube.com/watch?v=XQb2Cnl1pqI
Franck avait largement eu le temps de rentrer à l'internat, et d'écrire la lettre pour Parapluie SARL. Quelques sms avaient était envoyé par les autres, et la lettre avait pu prendre forme. Cependant, personne ne semblait avoir d'idée pour la lettre de Futaba. Conformément à ce qui avait était dit, la chambre était seulement occupé par l'écrivain.
Franck : La première lettre était très facile. Mais maintenant…
Aller. Faut bien commencer. Il faut déclencher une émotion forte pour pouvoir la soigner. «Ma très chère Futaba, tu n'es…tu n'es que… »
Franck : Pourquoi …. Pourquoi je doit faire ça…. ?
Alors qu'il tentais de coucher les mots sur le papier, ses mains se mirent à trembler, et le papier fut peu à peu taché par des larmes. La découverte du metaverse, l'éveil de son persona, les combats contre les ombres, les accusations qualifiant les BOFABOLD de criminels, le moment où ils étaient pris au piège, le soir où il s'est fait tiré dessus…tout ceci n'était finalement rien, comparé à l'épreuve à laquelle il était confronté.
Franck : Futaba…je suis tellement désolé…

19h58, chambre 333…

Cela faisait un petit moment que chacun avait regagné sa chambre.
Kanji : Donc, tout est prêt pour demain ?
Franck : Voila la lettre pour Parapluie SARL.
Yusuke : Voyons….plutôt pas mal.
Kefan : J’avoue, c'est du bon travail.
Ren : Et la lettre pour Futaba ?
Franck : Elle est prête. Ne vous inquiétez pas.
Anoter : Tu ne vas pas nous la montrer, pas vrai ?
Franck : Désolé…
Kanji : T'inquiète. On comprend.
Yusuke : J'apporte celle là à Takemi. Elle fera en sorte que les hauts placé de parapluie la voient.
Ren : Et pour Futaba ?
Franck : Je m'en occuperai.
Kefan : Entendu. Allons prendre l'air un peu, ça nous fera du bien.

Alors qu'ils étaient sorti de la chambre, ils entendirent une conversation.
Ai : …sans compter que t'es pas le plus intelligent, non plus.
Gérard : Bof.
Ai : Alors ne soit pas difficile. Je doute qu'il y en ai beaucoup qui se bousculent pour toi. Mais tu es plutôt serviable, et tu ne fais pas de discours débile sur l'honneur, la fierté ou je ne sais quoi.
Gérard : Alors nous deux…
Ai : Oui, et je te jure que tu n'as pas intérêt à me tromper.

https://www.youtube.com/watch?v=akvE3llUdzc
Voix mystérieuse : Il est miens, et je suis sienne. Nous avons surmonté les dangers depuis notre rencontre du destin. En liants la Lune à la connerie, nous avons ouvert une porte vers l'éternité, menant au potentiel infinie.


Kefan et Anoter : Mais…mais sérieux ?
Kanji : Ha…
Franck : Kanji, vas donc passer du temps avec Chihiro.
Kanji : Tout de suite.
Yusuke : Je continue ce que j'ai à faire.
Ren : Je vais gerber, je revient plus tard.

https://www.youtube.com/watch?v=q-sqsBi3-mk
Franck, Kefan, Anoter et Koromaru étaient seul sur le toit. Fixant l'horizon, le regard perdu, dégoûté que le plus débile de tous ai pu avoir une telle avance sur eux, utilisateurs de personas, et sauveurs dans bien des causes.
Anoter : J'arrive pas à croire que je sois encore célibataire, alors que ce clown….rah…
Franck : J'ai juste pas de mots pour ça…
Kefan : C'est…inattendu.
Koromaru : wof…
Franck : Ouaip, moi aussi…
Anoter : Vous pensez que j'ai tord de prendre mon temps avec… ?
Franck : Non. Normalement, ça DOIT prendre du temps.
Kefan : En même temps, regardez ces deux là. Ce ne sont pas vraiment des exemples.
Koromaru : Waf !
Franck : Nous sommes d'accord.
Anoter : Et maintenant…
Kefan : Aller stop !
Il tapa de ses deux mains sur la rambarde.
Kefan : J'ai pas l'intention de me laisser abattre, à déprimer.
Anoter : Tu vas ou ?
Kefan : J'ai un rang S à obtenir.
Franck : Forcément…
Koromaru : Waf waf.
Kefan : Pas besoin de chance.

Le lycéen s'était dirigé au rez de chaussée. Sans attendre, il frappa a la porte. Elle l'invita à rentrer, ce qu'il fit, et referma la porte derrière lui.
Kawakami : Je ne m'attendais pas à vous voir ici.
Kefan : Vous me manquiez.
Kawakami : Je…quoi ?
Kefan : Je me disais qu'on pourrait décompresser un peu. Il n'y a personne au parc en ce moment.
Kawakami : A..a…attend un peu. Ça fait beaucoup trop romantique, là.
Kefan : Et alors ?
Kawakami : Comment ça, "et alors" ? Et puis, j'ai combien d'année de plus que vous ?
Kefan : Ça n'a pas d'importance. Vous êtes la femme la plus intéressante ici.
Kawakami : Mais….Kefan, vous ne devriez pas dire ce genre de chose.
Kefan : Pourquoi ? Les hommes plus jeunes ne vous intéressent pas ?
Kawakami : Bien sur que….mais….mais ce n'est pas la question !
Kefan : Alors expliquez moi ce qui nous empêche d'être proche.
Kawakami : Ecoute, Kefan. Je sais que nous nous sommes beaucoup rapproché. Grâce à toi, j'ai pu gagner beaucoup de temps, et m'occuper de moi. Sans toi, j'aurais était bonne pour la dépression nerveuse. Mais peut-être que tu devrais arrêter de m'aider. Et puis, il y à beaucoup de jolie lycéenne en plus.
Kefan : Elles ne m'intéressent pas. Et je sais ce que je veux.
Kawakami : (soupirant) Je…je ne suis pas celle que vous cherchez. Je suis désolé. J'ai eu tord de…enfin…j'aurais du vous laisser entre jeune.
Kefan : Très bien. Alors je vous laisse.
Dans un silence gênant, le lycéen sorti de la chambre de Sadayo. L'enseignante s'allongea sur son lit.
Kawakami : Qu'est-ce j'aurai pu faire d'autre … ? C'est compliqué…

Alors que le soleil se couchait, sur le toit, Franck et Anoter était assis, dos à dos, et Koromaru se faisait caresser le museau, appuyé sur Franck.
Anoter : Tu crois que Kefan à réussit ce qu'il voulait faire ?
Franck : Vu la malchance qu’on a en ce moment…
Anoter : Peut-être que moi aussi je devrait me précipiter.
Franck : Non. Fini d'aider Makoto. Ça sera mieux comme ça.
Anoter : c'est bien ce que je me disait. Attend une minute, comment tu sais que je parlais d'elle ?
Franck : Une intuition.
Anoter : C'est pas comme si j'était du genre à crier ça sur les toits en plus.
Franck : Un peu comme moi.
Il y eu quelques secondes de silence.
Anoter : C'est bien elle qui te plait le plus, pas vrai ?
Franck : Elle ?
Anoter : Certains parlaient de toi à propos de Takemi, de Chihiro, ou même Mitsuru.
Franck : Sauf que maintenant, Chihiro est avec Kanji, et tant mieux pour eux.
Anoter : Et il y a une autre fille avec laquelle tu es bien plus attentionné.
Franck : Ouaip….disons que j'aime bien son côté….unique.
Anoter : Demain, le problème sera réglé. Quoi qu'il arrive.
Franck : Ouaip. Et je suis plus déterminé que jamais.
Anoter : J'avoue. QuetzalCoatl est plutôt impressionnant….
Voix de Mitsuru : Tout le monde ! Venez au coin télé !
Franck : Rah…ça sent les mauvaise nouvelles…
Anoter : Attend, elle peut faire ça dans le monde réel ?
Franck : Mitsuru est d'un autre niveau.
Anoter : Je suis bien d'accord.

Une minutes après, tout le monde fut devant la télé.
Journaliste : ….Subissant encore les controverses, les BOFABOLD seraient la prochaine cible de Medjed, le célèbre groupe de hackers. Dans un communiqué publié en fin d'après-midi, ils les invites à arrêter de pratiquer leur fausse justice. Et ils prétendent même posséder des informations personnels sur eux, voir même leurs identité.
Après un long silence de presque une minute…
Kefan : Et dire qu'on avait pas assez de problèmes…


Edité le 20-09-2020 à 20:57:02 par Franck-Fullbuster




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   Posté le 27-09-2020 à 19:46:30   Voir le profil de Franck-Fullbuster (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Franck-Fullbuster   

Mitsuru : J'aimerai pouvoir me servir du prisonnier que l'on à fait arrêter, mais si Kirijo corp vient en aide aux BOFABOLD, tout le monde risque de faire le lien.
Haru : Il faut que l'on sauve Futaba rapidement. En espérant qu'elle accepte de nous aider.
Franck : Elle le fera. J'ai confiance en Futaba.
Kanji : On ferai mieux de se préparer. Demain sera une journée rude.
Makoto : Il y a des risque. Mais peut-être que cette fois, nous aurons de la chance.
Kefan : Ça changerai, un peu.
Naoto : Alors tout le monde dans sa chambre pour ce soir. Et demain, on ne traine pas.

Lundi 7 Août, 10h15, à la sortie de l'internat.

Takemi : J'ai fait le nécessaire pour que Parapluie SARL trouve la lettre. Il suffira de regarder la chaine d'info habituelle.
Naoto : Et Franck, il est passé où ?
Anoter : Il a amené la lettre à Futaba.
Chihiro : Il y est allé seul…
Kefan : Il va falloir lui faire confiance.
Iwai : Bon, voyons les infos.
Certains des membres du groupe sortirent leurs téléphones. La chaîne info affichait un scoop en direct. «Scandale dans une entreprise pharmaceutique : le parapluie prend l'eau. »
Kefan : Sympa leur titre.
Journaliste : Les BOFABOLD, qui étaient resté discret depuis l'incident impliquant le maire, ont envoyé une de leur lettre d'humiliation à l'attention de Parapluie SARL. Ils porteraient des accusations plutôt accablantes. Voici la lettre en question. «Très chers employés de Parapluie SARL, vous n‘êtes que des bouffons incompétents, et personne ne vous aime. Et ce n'est pas en assassinant les personnes plus qualifiés que vous, que vous arrangerez votre cas. Vous êtes coupable d'avoir piégé la voiture de madame Isshiki, et avez répandu des rumeurs l'accusant de développer des armes explosive, alors qu'elle avait trouvé une formule pour un médicament révolutionnaire. Vous en avez ensuite profité pour voler ses recherches, et accusé sa fille de l'avoir tué. Le monde se porterait tellement mieux sans vous, mais commencez par quitter notre ville. Nous allons vous enseigner ce que Utsukushi veut dire. Vous irez en prison, et n'en sortirez jamais. » Et bien sur, c'est signé BOFABOLD. Et voici les fameux hommes en noir…
Kefan : Tu t'en souvient Ano ? C'est eux qu'on avait servit au salon de thé.
Anoter : Ouaip. Les fameux dignitaires africains blindé de thunes. On sais pour qui ils travaillent maintenant.
Journaliste : …que répondez vous à ces accusations ?
PDG de Parapluie SARL : Ridicule ! C'est quoi ça encore ? Oui, nous avons bien entendu parlé de ce phénomène de mode. Mais nous sommes une entreprise tout ce qu'il y a de plus sérieux. Nous n'avons pas de temps à perdre avec ces sottises.
Journaliste : Vous savez bien évidement alors que vous êtes la quatrième cible de ce groupe. Et que les trois précédent ont tous avoué leurs crimes. Et puis, ce qu'ils disent semble plutôt pertinent.
PDG de Parapluie SARL : Je sais très bien qui vous êtes vous, Ohya. Toujours à la recherche d'un sujet croustillant.
Ohya : Je dirait plutôt que je suis à la recherche de la vérité. Quand à vous, je sais que votre frère à déjà eu des ennuis dans le domaine hospitalier, monsieur Omayada.
Omayada : Restez donc à votre place. Il serait dommage que vous ayez un accident.
Ohya : Je vous remercie. J'ai tout ce qu'il me faut.
Et comme d'habitude, à ce moment là….
Shadow Omayada : Alors vous avez découvert la vérité ? Soit ! Vous ne vivrez pas assez longtemps pour en parler.
Takemi : Je remercierai Ichiko plus tard pour son excellent boulot.
Mitsuru : Plus qu'a attendre Franck…

Pendant ce temps, sur le café Leblanc…
Franck avait escaladé les toits, pour atteindre la fenêtre de la deuxième chambre de Futaba. Apparemment, Sojiro craignait que les hommes en noir ne reviennent. Selon lui, c'est au café qu'elle est le plus en sécurité.
Franck avait laissé son sac à ses amis, et était seulement venu avec un livre. Il arriva à la fenêtre, et toqua trois coups. Futaba n'ouvrit pas la fenêtre, mais elle répondit.
Futaba : Pourquoi es-tu venu ?....et…pourquoi vous perdez votre temps dans mon palace ?
Franck : Donc, tu sais…
Futaba : Certains en parlaient par messages.
Franck : Ils ne devaient pas se douter que tu regarderai.
Futaba : Laissez tomber. Je ne suis qu'une fille à problème qui est responsable de la mort de sa mère. Je ne vous sert à rien. Le monde serait mieux sans moi.
Franck : Ne dit pas des choses pareil. Tout tes amis attendent ton retour. Et Wakaba n'est pas morte.
Futaba : Elle n'en serait pas là si je ne m'était pas imposé dans ses travaux. Et tant pis si elle fabrique des bombes.
Franck : Ces hommes t'ont menti.
Futaba : Mais, ils travaillent avec elle. Et ils m'en voulaient.
Franck : Tu n'es coupable de rien. Ils ont juste voulu te faire porter le chapeaux.
Futaba : Tu ne devrais pas risquer ta vie pour moi.
Franck : Ça, c'est ma décision. Tout comme c'est ma décision de t'apporter ce livre.
Futaba : Un livre ?
Franck : «Les jours où ma mère était là». Il devrait t'aider dans cette épreuve. Promet-moi juste de le lire à partir d'aujourd'hui.
Futaba : …
Franck : Je vais le poser sur le rebord de la fenêtre.
Le lycéen posa effectivement le livre sur le rebord, et s’éloigna. Futaba, pensant que Franck s'était éloigné de beaucoup, ouvrit la fenêtre, et rentra rapidement le livre. A ce moment là, une feuille de papier tomba dans sa chambre.
Futaba : Une lettre ? «Ma très chère Futaba….
La jeune fille lu la lettre signé par un seul BOFABOLD. Lorsqu'elle eu terminé, elle laissa le papier retomber au sol.
Shadow Futaba : Non…je vais mourir…
Franck, seulement à quelques mètres de là, avait tout entendu, les poings serrés.
Franck : (murmurant) Je suis désolé de t'infliger ça. Tu ne me pardonneras jamais, et moi non plus je ne me pardonnerai pas. Mais au moins, tu seras en vie.

Un quart d'heure plus tard…

Iwai : Tout l'équipement est prêt. J'ai même chargé un lance-roquette antichar.
Anoter : On croirait entendre Franck. Ha, tiens, il revient !
Kefan : Hé ! Te revoila et…tu portes des lunettes ?
Franck : Elles sont anti-lumière bleu. Et puis, je me sens mieux avec.
Mitsuru : C'est pour mieux t'en rapprocher. Je comprend.
Kanji : Mais, tu es sur que ça va aller ?
Franck releva la tête, le regard plein de détermination.
Franck : Allons sauver Futaba !
https://www.youtube.com/watch?v=bwNNiyu56yY
Les BOFABOLD arrivèrent dans le désert une dernière fois. Contrairement aux autres fois, le ciel avait complètement changé. Cette fois, un étrange orage tourbillonnait à haute altitude. Heureusement, il ne pleuvait pas.
Mitsuru : Il nous faut nous occuper de l'arme ultime de Parapluie SARL.
Kanji : Alors en avant.
Franck : Il faut aussi que je m'occupe de la pyramide. Je vous retrouve après.
Kefan : Je suppose qu'il n'y a plus de danger là bas.
Anoter : Sois prudent.
Franck : Ne vous en faites pas. Et le chemin de glace est toujours là. Frédérick, caddie !
Frédérick : Ça roule !
Le canard se transforma, et Franck pu partir en direction de la pyramide.
Makoto : Bon, plus qu'a partir en direction du silo.
Chihaya : Alors servons nous de la salle de bain.

Cinq minutes plus tard, l'équipe d'attaque arriva face au grand bâtiment. Une voix sortant d'un haut parleur annonça «deux minutes avant l'activation du projet Feuille de titane".
Mitsuru : (sortant sa rapière) Alors on se prépare.
Iwai : (posant son sac au sol) Ouaip. On va régler ça rapidement.
Chihiro : Il semblerait qu'il n'y ai pas d’autre ennemis. Comment on va procéder ?
Makoto : Je pense qu'il y aura un ennemi coriace et plusieurs petit.
Anoter : Alors je m'occuperai des petits.
Kefan : Je prendrai le gros.
Iwai : Je t'aiderai.

Pendant ce temps, Franck s'était hâté de rejoindre la plus haute salle de la pyramide. De son côté, Frédérick était reparti en avant, pour aider les autres. Franck comptait avant tout sur la vitesse. Il s'était servi des raccourcis, et par chance, n'avais croisé aucun ennemi. En revanche, il eut une sacrée surprise en arrivant dans la chambre.
Ce fut comme si les murs et le toit avait disparut. Il ne restait que le sol, et les meubles, exposé à l'air libre. L'ombre était assise sur le lit. Elle se leva lorsque Franck arriva.
Shadow Futaba : Je suis prête. Fait ce que tu dois faire.
Franck s'avança jusqu’à se retrouver à porté de main.
Shadow Futaba : Est-ce que…ça fait mal ?
Franck : Tu n'as pas à t'inquiéter. Je ne te ferai pas de mal.
Shadow Futaba : Mais…tu dois faire disparaitre cet endroit.
Franck : Oui. Et tu vas nous y aider.
Et sans attendre, Franck attrapa la main de l'ombre.
Shadow Futaba : Quoi ?
Et oui. Personne ne se serait attendu à ce qu'il la soulève pour la porter dans ses bras.
Shadow Futaba : Mais….
Franck : Nous n'avons pas de temps à perdre. Les autres ont besoin de nous.
Shadow Futaba : Nous ?
Franck : On va avoir besoin de ton aide. J'ai confiance en toi.
Shadow Futaba : D'accord…alors en avant.
C'est alors qu'elle passa ses bras autour du cou du jeune homme.
Franck : C'est parti.
Sans attendre, Franck s'élança, Futaba dans ses bras, à la descente de la pyramide. C'est ainsi qu'ils se dirigèrent vers le silo, pendant plusieurs minutes, sans ralentir.
Shadow Futaba : On y est presque. Mais on dirait qu'il se passe quelque chose.
Franck : Qu'est-ce que c'est…. ?

« …cinq, quatre, trois, deux, un…activation du projet feuille de titane ! »
A cette annonce, les murs du silo se désintégrèrent, libérant un panache de fumée épaisse.
Yusuke : Qu'est-ce qui va en sortir …. ?
https://www.youtube.com/watch?v=ItxWMuW3jQg
Chihiro : Toute cette fumée, ça ne présage rien de bon.
Shadow Omayada : Vous avez raison de vous inquiéter.
Takemi : Vous !
Une vingtaine de personne habillées comme des scientifiques sortirent de la fumée, se tenant derrière leur chef.
Shadow Omayada : Vous pensiez vraiment que ça serait aussi simple ? Vous êtes plus nombreux que les fois précédente, mais votre vie s'arrête là.
Makoto : Plus nombreux que les fois précédente… ?
Shadow Omayada : Kamorame, Takeuchi, Lenoir, ils étaient faible. Mais nous pouvons les remercier pour leur…participation.
Mitsuru : Mais de quoi est-ce que vous parlez ?
Shadow Omayada : Les recherches sur le metaverse sont plutôt compliqué, en fait. Alors quoi de mieux que d'exploiter des cobayes. Notamment, savoir ce qu'il se passe quand quelqu'un perd son palace.
Naoto : Alors vous êtes au courant. Je vois. Et l'espion qui nous observait, lui aussi est un utilisateur de persona ?
Shadow Omayada : Ho….je vois qu'on est toujours aussi perspicace, prince détective.
Ren : Comment sais-tu que quelqu'un nous a espionné ?
Naoto : Simple déduction. Après tout, il leur faut des informations sur nous.
Rio : Alors ils savent qui nous sommes.
Koromaru : Waf !
Frédérick : C'est vrai. Ils ne pourront pas le prouver.
Shadow Omayada : Inutile de prouver quoi que ce soit. Vous mourrez ici !
La fumée se dissipa finalement. Et là, rien n'aurait pu préparer notre équipe à cet affrontement.
Chihaya : Mais…mais c'est quoi ça ?
Iwai : Je rêve. Je crois que le lance roquette ne va pas suffire.
Anoter : Un sphinx mécanique géant….c'est pas banal.
Makoto : On va s'occuper des autres. (Vroom ! Vroom !). Ce qui ont assez de puissance de feu, abattez le sphinx ! On ne va pas se laisser faire.
Tout les autres : OUAIP !!!
Un son très intense indiqua que la machine se mettait en route. Le sphinx leva la tête, et alors que ses yeux s'illuminaient de rouge vif, les BOFABOLD virent que le visage était bien plus détaillé que le reste du corps. Un visage qu'ils avaient déjà tous vu.
Mitsuru : Wakaba !
Sphinx Wakaba : Exact ! Et je vais détruire cette société, pour qu'elle redémarre à zéro.
Yusuke : Alors voila leurs plan….
Naoto : Je vous expliquerai plus tard ! Concentrons nous sur le combat.
Iwai : Ça va être vite vu.
L'armurier braqua son RPG7 sur le monstre de métal, et fit feu. Mais la roquette n‘arriva jamais à sa destination, intercepté par un bouclier magnétique autour de la créature de métal.
Iwai : Ok, alors ça, c'est une mauvaise nouvelle…
Yusuke : On peut essayer de givrer le bouclier !
Mitsuru, Yusuke, Anoter et Frédérick : Persona ! Bufudyne !
Le givre se forma sur la barrière, mais il ne semblait que rien ne pouvait l'atteindre. Le sphinx pris alors son envol.
Chihiro : On fait quoi ?
Makoto : Les scientifiques ! On les cible eux !
Iwai : Ça me va !
Cette fois, il sorti son FN SCAR du sac, et arrosa les ennemis. Mais…
Iwai : C'est une blague ?
Kefan : Eux aussi ? Attend.
Kefan sorti son canon sans recul, et tira sur un binôme ennemi. Et le résultat fut décevant.
Kanji : On fait quoi maintenant ?
Mitsuru : Continuez d'attaquer en reculant. Il faut trouver une faille.
Naoto : Facile à dire…j'ai plus de munition !
Iwai : Attrape !
Il lui avait envoyé une ceinture contenant une demi douzaine de speed loader.
Naoto : Merci. (Mais je doute que ça serve à grand-chose)
C'est ce moment que choisit le sphinx pour atterrir brutalement, déstabilisant tout le monde. Puis, elle chargea dans les rang des BOFABOLD, en envoyant une bonne parti au sol.
Chihiro : Angel ! Mediara !
Les sort de soin pu permettre au blessés de se reprendre, mais la situation n'était pas brillante…
Mitsuru : On a vraiment besoin d'aide. Qu'est-ce que je doit faire…. ?

Pendant ce temps, dans la chambre de Futaba…
La jeune fille ne saurait dire combien de temps elle était resté sous le choc.
Futaba : Alors ils sont vraiment allé dans mon palace. Mais pourquoi prendre ce genre de risque pour moi ?
??? : Peut-être ont-ils décidé de regarder la vérité à ta place.
Futaba : La…la vérité ?
??? : Crois-tu vraiment les paroles maudites de ceux qui te rejettent ? La mère que tu aimes tant aurait-elle souhaité faire du mal ?
Futaba : Qui me parle ?
??? : Tu le sais pourtant. Je suis toi, et tu es moi. Tu t'inquiète pour tes amis. Pourtant, tu reste là, à attendre.
Futaba : Je…
??? : Tu sais comment entrer. Tu dois voir la vérité. Alors, ta vie pourra reprendre. Fait le au moins pour ceux auxquels tu tiens. Fait le pour ceux que tu aimes.
Futaba : Ceux que…oui.
D'un bon, elle se leva de son lit, et se dirigea aux WC.
Futaba : Elle a raison.

Franck était finalement arrivé avec l'ombre de Futaba sur le champ de bataille. La situation n'était pas brillante du tout.
Franck : Bon, comment on fait ?
Shadow Futaba : Il faut dissiper leurs barrière. Je peut tenter, mais je ne suis pas la vrai.
Franck : Je te couvre.
Le tireur sorti son fusil d'assaut, et arrosa le personnel ennemi. Bien évidemment, les projectiles ne passèrent pas la barrière. Mais avant que le chargeur ne soit vide…
Shadow Futaba : Révélation de Medjed, banissement.
A ces mots, l'un des boucliers magnétique céda, et les balles touchèrent l'une des ombres.
Makoto : Ça marche ?!
Shadow Futaba : Je ne peut en faire qu'un à la fois. Les attaques électrique peuvent fonctionner.
Anoter : J'aurai du commencer par là.
Kefan : Sérieux ?
Anoter : Viens, Odin !
Le père des dieux nordique apparut, sa lance à la main.
Anoter : Maziodyne !
Un déluge d'éclairs tomba sur une bonne dizaine d'ombre. Leurs bouclier furent à peine perturbé, mais ils semblaient avoir pris des dégâts.
Sphinx Wakaba : Ha ha ha. Vous pensez que ça suffira ? Ma meurtrière vous entraînera dans sa chute.
Shadow Futaba : …
Franck : Ne l'écoute pas. Tu n'as tué personne.
Shadow Futaba : Tues moi si ça te chante. Mais mes amis survivrons. Révélation de Medjed, bannissement !
Elle avait tenté son attaque contre le sphinx, mais le bouclier fut à peine perturbé.
Shadow Futaba : Je ne suis pas assez puissante…
Sphinx Wakaba : Ha ha ha. Maintenant, vous mourrez !
Kanji : Persona ! Ziodyne !
Mais l'attaque de foudre de Kanji échoua, évité par le sphinx qui commençait à prendre son envol.
Mitsuru : Préparez vous à son attaque !
Franck : A ce rythme là….comment on fait ?
Haru : Mais, Futaba ? Qu'est-ce que tu fais là ?
En effet, la jeune fille venait d'arriver.
Frédérick : Minute, elle est venu dans son propre palace ? C'est vraiment possible ?
Mitsuru : Je craint le pire.
Futaba : Alors, voila mon cœur…mais, tu es…. ?
Shadow Futaba : Je paraît bien en vie…
Sphinx Wakaba : Voila la meurtrière. Comment oses tu venir ici ?
Futaba : Maman…
Sphinx Wakaba : Nous devions changer ce monde. J'aurais réussit, si seulement tu n'avais pas faussé mes calculs !
Futaba : Je…Pourtant….ils étaient juste…
Sphinx Wakaba : Et je suis morte, par ta faute !
Futaba s'effondra au sol, rongé par le chagrin.
Franck : Futaba ! Cette chose n'est pas ta mère !
Futaba : Mais je…
Mitsuru : Ta mère te faisait confiance, et à juste titre. Si les calculs étaient faux, elle s'en serai rendu compte.
Shadow Omayada : Pourquoi défendre cette criminelle ? Wakaba nous était précieuse. Pourquoi la sacrifier ?
Makoto : C'est uniquement vous les responsable. Pas elle.
Futaba : Maman…je suis désolé…
C'est alors qu'un vent fort souffla brièvement.
Shadow Futaba : Futaba Sakura ! Réveilles toi !

https://www.youtube.com/watch?v=Sjqs3h367sQ
Les alentours s'étaient assombris. Futaba, a genoux sur le sol, son ombre debout devant elle.
Shadow Futaba : Ta mère fut prise dans une explosion, du à une erreur de calcul, provenant de la cargaison. Tu en serais la cause. Pourquoi penses-tu que c'est le cas ?
Futaba : Ses collègues en noir me l'ont dit.
Shadow Futaba : Exact. Ils t'ont reproché d'avoir faussé les résultats. Pourquoi être intervenu dans les recherches de ta mère ?
Futaba : Parce qu'elle me l'a demandé. Et que je voulais passer du temps avec elle.
Shadow Futaba : Et elle voulais passer du temps avec toi. Elle à même prit une soirée pour être seulement avec toi. Réfléchit bien. Cette femme si douce avec toi aurait-elle voulu faire du mal à qui que ce soit ?
https://www.youtube.com/watch?v=sRsoqlhv-HU
Ce fut le déclic. Wakaba travaillait sur des médicaments pour aller mieux. Les formules, les composants mentionné…
Futaba : Non ! Elle voulait pouvoir éradiqué la souffrance, sans jamais la causer.
Shadow Futaba : Alors qu'en est-il des accusassions des hommes en noir ?
Futaba : Ce n'était que des mensonges !
Shadow Futaba : Exact ! Il t'ont fait porter le chapeaux pour voler les recherches de ta mère. Alors relèves-toi, et ne leur pardonnes pas !
Futaba : Tout ça parce que j'était sous le choc, je ne pouvais pas réaliser…Mais il n'étaient pas obligé de s'en prendre à moi.
La belle rousse revint à elle, se relevant doucement. A ce moment là, l'un des scientifique se rua sur elle. Mais Franck sorti sa matraque électrique, et frappa un grand coup. Le bouclier vacilla, et le tireur frappa un deuxième coup, désintégrant l'ombre. Trois autres s'avancèrent vers Franck.
Franck : Moi vivant, vous ne lui ferez plus le moindre mal.
Alors qu'elle finissait de se relever…
Makoto : Futaba !
Futaba : Ngh !
Il y eut une impulsion familière, alors qu'elle se tenait la tête.
??? : Ce qui te rejette n'est qu'une illusion. Un cauchemar crée par des hommes avide de pouvoir et de destruction. Tu le savais depuis le début. Et pourtant, tu as choisit de fuir…
Futaba : C'est vrai. mais…
Sphinx Wakaba : Meurs maintenant. MEURS ! MEURS ! MEURS !
Futaba : Vas-tu mourir tel qu'on te l'ordonnes ? Qui vas-tu écouter ? Les paroles maudites des ces imposteurs ? Où la vérité inscrite dans ton cœur, et illuminé par tes amis ?
Sphinx Wakaba : MEURS ! MEURS ! MEURS !
Futaba : Je…je ne me laisserai plus faire par des inconnus qui me veulent du mal. Et je ne laisserai plus jamais qui que ce soit faire de l'ombre à la vérité. J'écouterait ceux qui me sont chère, et j'écouterai seulement ce que me dit mon cœur. Cette chose n'est pas ma mère, et je ne l'ai certainement pas tué. C'est uniquement à cause de vous. Jamais….JAMAIS….JAMAIS JE NE VOUS PARDONNERAIS !
Etrangement, l'atmosphère du champ de bataille changea. La neige commença à fondre, laissant de la place au sable, et la tempête commença lentement à se dissiper. Futaba écarta les bras, imité par son ombre derrière elle, qui s'éleva, et disparut.
Au dessus de Futaba, une étrange soucoupe volante apparut. Et des tentacules en descendirent, saisissant Futaba de façon délicate, l'emmenant dans l'OVNI.
Haru : Futaba ?!
La jeune fille se retrouva dans l'obscurité. Mais à travers ses yeux fermé, elle devina une lumière verte.
Necronomicon : Contrat. je suis toi, tu es moi. La sagesse interdite viens de se révélé à toi.
A ces mots, elle ouvrit les yeux, constatant une interface informatique des plus spectaculaire tout autour d'elle.
Necronomicon : Ni mensonge, ni illusion ne pourrons désormais t'atteindre.
Mitsuru : Futaba !
Futaba : Tout va bien !
Frédérick : Regardez-moi ça…
Futaba : Je peut mettre un terme à tout ça. S'il vous plait, aidez moi.
Franck : Compte sur nous.
https://www.youtube.com/watch?v=WqqhuZd8IXU
La persona de Futaba pris une altitude plus élevé, restant hors de porté des attaques ennemis.
Sphinx Wakaba : Futaba….qu'est-ce que ça veut dire ? Pourquoi te rebeller contre ta mère.
Futaba : Je…Silence ! Tu n'es pas elle ! Tu n'es qu'un monstre créer par ces imposteurs !
Sphinx Wakaba : Je vois…Je suppose que ce sont ces mauvaise fréquentations qui t'ont rendu comme ça. Comment avez-vous pu pervertir ma file ?!
Franck : Elle n'est pas ta fille ! Et ça mère est une personne bien, contrairement à ce que tu es toi !
Sphinx Wakaba : Comment ! Dans ce cas, vous mourrez avant elle !
Futaba : N'y pense pas !
Alors que le sphinx de métal commença sa charge aérienne…
Mitsuru : Encore. Comment allons nous nous protéger ?
Futaba : Je m'en occupe !
Le sphinx fendit les airs, se rapprochant du sol. Futaba pris alors les devants, enclenchant un protocole spécifique. Etau moment où l'ennemi aurait du les toucher, elle se heurta à une barrière magnétique, plus puissante que la sienne.
Shpinx Wakaba : QUOI !?
Naoto : Bien joué !
Mitsuru : Ca c'est du support.
Futaba : Nos attaques le les atteignent pas ? alors je m'en occupe. VERITE ABSOLUT !
Une onde magnétique frappa tout les ennemis, leur faisant perdre leur bouclier.
Futaba : Ce palace est le miens. Alors c'est moi qui en décide des règles !
Shadow Omayada : C'est pas bon ça…Continuez d'attaquer !
Mais les BOFABOLD n'attendirent pas pour attaquer et éliminer les scientifique. En l'espace d'un instant, il ne resta plus que le sphinx comme adversaire.
Takemi : Bien joué petite !
Iwai : On a quelque chose pour la bête volante ?
Futaba : Je m'occupe de déployer notre arme la plus puissante.
La soucoupe redescendit un temps. Des cercle en descendirent, et un étrange appareil se matérialisa. Puis, Futaba vola ailleurs.
Kefan : Mais c'est …
Anoter : On en a vu un dans les dossiers de Parapluie. Un canon à Ion.
Franck : Il n'y a que l'ingéniosité de Futaba qui nous permet d'avoir de telles armes.
Futaba : Il va vous falloir l'immobiliser pour vous en servir. Vous n'avez plus de munitions ? Attendez…
Futaba entra une nouvelle commande, et en quelques instants, les armes à feu des BOFABOLD brillèrent un court moment.
Iwai : On est rechargé, hein ? Alors on fait tous feu sur la bête !
Sans se poser de question, tout le monde, sauf Franck, tira sur la bête. Le tireur d'élite se chargea de la tourelle canon à Ion.
Franck : Ok, un peu sur la gauche….un peu plus haut…voila !
Au moment opportun, le tir spectaculaire se déclencha, et le sphinx tomba à terre. A ce moment là, Franck senti quelque chose de bizarre s'enrouler autour de sa taille, et il compris rapidement que s'était Futaba qui l'emmenait Face au sphinx.
Sphinx Wakaba : Pourquoi….pourquoi Futaba !?
Futaba : Silence ! Rien de ce que tu pourras dire ne me fera renoncer. Quoi qu'il arrive désormais, je vivrai ! Franck ! A toi de jouer !
Franck sorti son 44 Magnum, et tira une balle à travers l'œil gauche de la machine, touchant la puce de contrôle. La machine s'immobilisa au sol, définitivement. C'est a ce moment là que Futaba descendit de sa persona. Et c'est là qu'elle pris conscience de…
Futaba : Mais…a quel moment j'ai changé de vêtements ?
Makoto : Et bien, en fait…
Futaba : C'est vraiment moulant en plus…
Shadow Omayada : Ca…ça ne devait pas…
Franck : Sérieusement…Qui veut…
Anoter : Je m'en occupe. J'ai du de quoi l'attacher de l'autre coté des débris du silo.
Makoto : Je vais t'aider.
Chihaya : Je vous accompagne aussi.
Anoter : Pourquoi pas…
Alors que les trois personnes accompagnaient l'ombre…
Futaba : Je…je suis désolé de vous avoir causé tout ces soucis…
Mitsuru : Ce n'est rien, voyons. Personne ne t'en voudra je pense.
Haru : Seul ces hommes sont en cause. Et puis nous sommes tes amis.
Futaba : Merci…Au fait, j'ai vu que Medjed vous pose problème. Je vais aller régler ça.
Chihiro : Attend, où tu vas ?
Futaba : Je rentre à la maison. Je sais comment on fait.
Kefan : Et la voila déjà, parti.
Franck : Futaba n'en fait qu'a sa tête. Personne ne la changera. Et tant mieux.
Mitsuru : Ca, je n'en suis pas si sur…


Edité le 27-09-2020 à 21:24:04 par Franck-Fullbuster




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   Posté le 04-10-2020 à 20:59:36   Voir le profil de Franck-Fullbuster (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Franck-Fullbuster   

Haru : Futaba est…vraiment impressionnante.
Mitsuru : Sa persona semble être de type navigation. J'en ai déjà vu une autre, mais là, nous sommes à un autre niveau.
Makoto : Alors, peut-être qu'elle devrait nous rejoindre sur toute les exploration désormais.
Naoto : J'en suis persuadée.
Franck : Ça sera à elle de décider. D'ailleurs, on ferai mieux de sortir d'ici.
Chihiro : J'y pense, est-ce qu'on a réussi à la guérir ?
Mitsuru : Elle a éveillé sa persona, donc oui.
Frédérick : Elle a surmonté les épreuves, et en est sortie plus forte.
Franck : J'ai une faveur a vous demander, à toute les filles du groupe.
Rio : Du genre ?
Franck : Futaba regagnera bientôt sa chambre à l'internat. S'il vous plait, veillez à ce qu'elle aille bien.
Makoto : Ne t'en fait pas pour ça. Et au pire, tu montera toi-même dans sa chambre.
Franck : Encore ça…
Ce fut ainsi que les BOFABOLD laissèrent le désert derrière eux.

En sortant des WC, le groupe se dirigea naturellement au café Leblanc. Après tout, nous approchions de midi, et quoi de mieux que de se prendre une assiette de curry ? Et ça permettra de voir comment se porte Futaba, l'air de rien.
Le plus naturellement possible, le groupe entra dans le restaurant, Kefan ouvrant la marche.
Kefan : Salut patron ! On s'est dit qu'on allait se taper….ho.
Franck : Futaba !
Elle était allongée sur le sol, semblant inconsciente. Sojiro se tenait près d'elle. Sans attendre, Takemi se précipita sur elle.
Makoto : Qu'est-ce qu'il s'est passé ?
Sojiro : Elle est sorte des WC. Ça m'a surpris au début, surtout qu'elle est venu me voir. Et elle s'est effondré de fatigue, d'un coup, où au même moment, les WC ont littéralement explosé.
Yusuke : Oups…
Takemi : Apparemment, c'est juste un épuisement…
Sojiro : Je ne comprend pas. Surtout que je vois mal pourquoi elle aurait fait exploser les WC, ni même comment.
Mitsuru : Il y a déjà eu ce genre d'incident à l'internat. Et il semblerait qu'aucun élève ne soit en cause. Kirijo corp mène l'enquête sur ce phénomène inexpliqué.
Sojiro : L'entreprise branchée très haute technologie. C'est vrai que vous en êtes plus ou moins la patronne en ce moment. Et du coup docteur, pour Futaba ?
Takemi : Elle va bien. Mais elle va avoir besoin de repos. Au moins quelques jours.
Sojiro : Je vois. Je l'amène dans sa chambre. Ho, et servez vous à boire. C'est moi qui régale.

Après avoir bien mangé, tout le monde regagna ses quartiers. Les adultes étaient retourné au travail, et les lycéens étaient retournés à l'internat. Sauf Kefan, qui avait une course à faire. En effet, il faut pouvoir bien manger le soir, dans les chambres.

16h52, dans le couloir du rez de chaussée de l'internat…

Kefan rentra, les bras chargé de sac de course. Il souhaitait surtout s'aérer l'esprit, loin des discutions. Certes, ils avaient remporté une belle victoire aujourd'hui, mais il n'arrivait pas à se sortir sa défaite de la tête.
Sadayo… Avait-elle raison de s'opposer à lui ? Elle est enseignante, et il lui est interdit de fréquenter un élève, après tout. Et alors ? Est-ce que ça vaut vraiment le coup de s'empêcher de vivre ? Ou peut-être qu'elle n'a tout simplement pas de sentiments pour lui ? Peut être que la réponse était aussi simple que ça.
Kefan ralentit le rythme. Même si les soins dans le metaverse faisaient leur petit effets, il avait encore mal au bras.
Kefan : (peut-être que je devrait passer à l'infirmerie…)
Il s'était arrêté devant une porte. Non, c'est celle plus loin. Là, c'est la chambre de… Il s'était arrêté quelques secondes, un peu perdu dans ses pensées. Il aurait pu se passer n'importe quoi, qu'il n'en aurai pas eu conscience. D'ailleurs, il n'entendit pas les bruits de pas qui se rapprochaient de lui. Non. Ce qui le sorti de sa torpeur, ce fut lorsque quelqu'un derrière lui ouvrit brusquement la porte de la chambre, et qu'il fut poussé à l'intérieur. Toute ses courses tombèrent des sacs, roulant sur le sol.
Kefan : (Heureusement je ne n'avait pas de bouteille ou de pot en verre…)
Il fut emmené de force dans la chambre de Kawakami. Et en entrant, celle-ci le plaqua contre la porte qu'elle refermait en même temps.
Kefan : Madame.
Kawakami : Je suis désolé…
Kefan : Ho, je crois que rien ne s'est abîmé dans la chute. Je n'aurai qu'a ramasser, et…
Et ? Peu nous importe la suite en fait, pas vrai les amis ? Vous voulez surtout savoir ce qui a pu se passer entre une prof et un de ses élève, hein ? Et bien figurez vous que moi aussi. Ha, quel plaisir d'écrire cette histoire. En même temps, c'est ma fanfic, je fait ce que je veux.
Au bout de quelques secondes, l'enseignante laissa respirer son élève.
Kawakami : Est-ce que…j'ai était… ?
Kefan : Je sais pas trop. Si vous voulez mon avis, il va falloir recommencer. Surtout que je ne m'était pas préparer.
Kawakami : Oui, j'imagine. Je m'était dit que je devrait essayer d'être un peu plus française, et…
Kefan : En fait, restez japonaise. Je préfère.
Kawakami : Je n'aurai pas cru. Mais tant mieux, non ? Enfin, prend du temps pour te reposer. Ici.
Kefan : Je suis pas contre.

Au même moment, au café Leblanc…

Sojiro : Au fait, vous ne rentrez pas encore ? Enfin, vous avez le droit de rester, hein. C'est juste que je pensais que vous aviez quelques chose à faire.
Chihaya : J'ouvre le stand ce soir. Je revérifie juste une prédiction.
Sojiro : Une prédiction ? Sur qui ?
Chihaya : Le jeune Kefan. Il devait réussir à entrer dans le corps enseignant bientôt, et apparemment, une situation favorable se présente aujourd'hui. Je pensais qu'il lui faudrait des années, mais la, c'est une question de semaines.
Sojiro : C'est plutôt rapide. D'autant plus que je ne me souvient pas qu'il est souhaité être prof.
Chihaya : Hmm, hmmm, a…attendez ! C'est vrai qu'il y avait la carte de l'amoureux. Donc son rapprochement lié à la tempérance voudrait dire qu'il s'est lié à sa prof….oups.
Soudainement, la voyante devint écarlate.
Sojiro : Est-ce j'ai bien compris ce que j'ai entendu ?
Mais Chihaya ne répondit pas.
Sojiro : Alors là, bien joué mon gars. Hooooo boy.

Retour à la chambre de Kawakami…

Kefan et Sadayo étaient allongés sur le lit. Ils avaient seulement retiré leurs chaussures.
Kawakami : Mais qu'est-ce que je fait ?
Kefan : Je ne vois pas le problème. Vous êtes une femme, et je suis un homme.
Kawakami : Je suis surtout votre enseignante, et vous êtes un de mes élèves.
Kefan : C'est ça, le plus intéressant.
Kawakami : Quoi ?
Kefan : Ou bien, le plus marrant.
Kawakami : C'est tout ce que vous trouvez à dire dans une situation aussi délicate ? Notre liaison est interdite.
Kefan : Nous ne sommes pas non plus obligé de le crier sur les toits.
Kawakami : (soupirant ) Enfin, je suppose que vous avez l'habitude de la discrétion, avec vos amis, lors de vos activités de BOFABOLD. Et dire que je suis maintenant la petite amie de l'un d'eux.
Ha….plutôt inattendu. En même temps, Sadayo est intelligente. Bon…
Kefan : Comment vous l'avez découvert ?
Kawakami : Tiens, vous ne cherchez pas à démentir ?
Kefan : Je ne vais pas vous prendre pour une débile. Du coup ?
Kawakami : J'ai vu qu'il manquait beaucoup de papier au lycée, à la photocopieuse. Et il en fallait beaucoup pour les lettres au maire. Et au vu de ce que j'ai vu l'autre jour dans votre chambre….d’ailleurs, il faisait quoi Amamya ?
Kefan : Grenade fumigène.
Kawakami : Je vois. Vous êtes bien organisé. Mais ne vous en faite pas, votre secret est bien gardé.
Kefan : Secret….vu le nombre de personnes au courant…
Kawakami : Et je vous aiderait à avoir plus de temps libre. Notamment en classe.
Kefan : Merci. Et je pense que les autres apprécieront aussi.
Kawakami : Et en retour, tu continueras à m'aider à me détendre, n'est-ce pas ?
Kefan : J'y compte bien.
Puis…
Shadow Kawakami ? : Et voila ! J'ai enfin ce que je voulais ! Et ce n'est que le début.
Kefan ouvrit brusquement les yeux. Apparemment, il était le seul à avoir conscience de ce qui venait de se passer.
Kefan : (Ça c'est nouveau…bon, on verra plus tard)

Flash foward….

Franck : Attend ! En fait, tu es le premier de nous trois à avoir…
Kefan : Ça va. Je ne voulais pas perdre de temps. Ni cette occasion.
Anoter : Je vois. En même temps….en fait, non rien.
D'un bon, Sae saisit Kefan par les épaules.
Sae : Désolé mais il me faut comprendre.
Kefan : Je sais, ça n'a rien avoir avec l'enquête…
Sae : Un homme plus jeune peut vraiment s'intéresser à une femme plus âgée ? Comment elle à fait ? Et vous, qu'est-ce qui vous intéresse chez ce genre de femme ?
Franck : Elle a un peu pété les plombs, non ?
Anoter : Du coup, je sais pas si on doit continuer notre histoire…
Franck : Hmm ? Ha oui, ça. Mais t'inquiète, tout va bien se passer.
Kefan : Bref, reprenons.

Jeudi 10 Août, 9h27, en arrivant au café Leblanc…

Cela faisait plusieurs jours que les BOFABOLD avaient réglé le problème de Parapluie SARL, et surtout, qu'ils avaient porté secours à Futaba. Mais depuis ce moment, ils n'avaient aucune nouvelle.
Franck, Anoter et Kefan avaient décidé de prendre leur petit déjeuné chez Leblanc, histoire de savoir. D'autant plus que la menace Medjed planait toujours au dessus d'eux.
Kefan : Salut patron. Trois assiettes s'il te plait.
Sojiro : Entendu. Venez donc au bar.
Les trois étudiants s'installèrent au comptoir, pendant que le patron tournais la plaque sur «fermé ». Puis, pendant que le gaz chauffait le curry, le patron posa quatre tasse de café sur le bar.
Sojiro : Aller, c'est moi qui offre.
Franck : Comment va Futaba ?
Sojiro : Elle dort encore. Je l'ai ramené chez moi. Un ami dans la police m'a dit qu'il n'y avait plus de risque avec les hommes en noir. Et puis, elle est plus tranquille loin du bruit.
Anoter : Il vaut mieux pour elle.
Sojiro : Haaa…Sauf que maintenant, qu'est-ce que je fait ? Comment soigner les blessures intérieur.
Personne ne su quoi dire sur le moment.
Sojiro : Je sais, il n'y a pas de vrai réponse. Wakaba…si seulement je t'avais pris au sérieux.
Kefan : Personne n'aurai pu s'attendre à ce que ça arrive.
Sojiro : Je sais, mais…Bah, peu importe. Je continuerai de veiller sur Futaba. Comme si elle était ma propre fille. Je l'ai promis à Wakaba, et je tiendrai cette promesse jusqu'au bout. Jusqu'à la fin de mes jours. Ça sera ma rédemption, ma raison de vivre, jusqu'à…
Gling gling….
Sojiro : Désolé, nous sommes fermé. Repassez plus….
Mais lorsqu'il se rendis compte de qui venait d'entrer, il s'arrêta, presque étouffé par la surprise.
De la façon la plus naturelle, Futaba s'installa au comptoir, et bu dans l'une des tasses à café.
Futaba : Trop froid.
Sojiro : Futaba !
Futaba : Tu ne peux pas servir un café aussi froid voyons.
Les trois autres étaient stupéfait.
Sojiro : Mais…comment es-tu venu… ?
Futaba : En marchant.
Sojiro : C'est pas vraiment ce que je demandais.
Futaba : Tu es fâché ?
Sojiro : Non, bien sur que non.
Futaba : Je…je suis désolé de vous avoir inquiété.
Sojiro : Ho…
Anoter : Bon retour.
Kefan : Ouaip, et tu arrives à temps pour le petit déjeuné.
Sojiro : Je m'occupe de tout. Ça sera prêt dans une demi-heure.
Alors que Sojiro se concentrait sur la cuisine…
Futaba : Bizarrement, j'ai l'impression d'oublier quelque chose d'important…
Franck : Nous étions vraiment impatient de te revoir. Et, en fait, nous avons un problème avec…
Futaba : Medjed !
Elle se leva brusquement de son tabouret, et saisit Franck par le bras.
Futaba : Suivez moi tout les trois, on va s'en occuper.
Le quatuor monta à l'étage, laissant le patron travailler tranquillement.

Futaba s'était installée face à son ordinateur, et commençait déjà toutes sorte de manipulation compliqué, retirant parfois une clé USB pour en insérer une autre.
Futaba : Vous pensez être intouchable, hein ?! Voyons voir comment vous allez gérer ça…
Franck : Si tu pouvais les faire disparaître, ça arrangerai tout le monde je pense.
Futaba : C'est comme si c'était fait.
Kefan : Au moins, tu sembles de nouveau confiante, mais il s'agit de Medjed, n'oublies pas.
Futaba : Hmm….
Anoter : C'est vrai. Ne te fais pas prendre, ça serai dommage.
Futaba : Hmm…
Kefan : Heu, tu entends ce qu'on dit ?
Futaba : Hmm…
Anoter : Attention ! Franck va t'attraper les nichons !
Futaba : Hmm…
Franck : Laissez tomber. Quand elle se concentre sur quelque chose, elle fait complètement abstraction du reste.
Anoter : Du coup, on attend ?
Franck : Ouaip.

Et vingt minutes plus tard…
Futaba : Ça y est !
Franck : Déjà ?
Kefan : Et du coup ? Pour Medjed ?
Futaba : Vous le verrez bientôt. En attendant…
Elle pris un oreiller qu'elle posa directement sur le clavier, et s'y endormis dessus.
Anoter : Encore ?
Franck : On va la laisser se reposer. Elle se réveillera pour manger de toute façon.

Quelques temps plus tard, effectivement, ce du surement être l'odeur qui réveilla Futaba. Tout les cinq prirent donc un petit déjeuné à base de curry, dans la plus grande des sérénité. Le moment fut agréable, permettant à la belle rousse de s'ouvrir de nouveau.

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   Posté le 16-10-2020 à 15:05:12   Voir le profil de Franck-Fullbuster (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Franck-Fullbuster   

Vendredi 11 Aout, 13h03…https://www.youtube.com/watch?v=yrWDdI8a3YE

Un petit groupe arriva devant la chambre 203 de l'hôpital. Futaba, Franck, Makoto, Anoter, Kefan, Kawakami et Takemi, avaient décidé de rendre visite à Wakaba et Shinjiro.
Alors que Futaba toqua trois coup à la porte, ce fut Uehara qui ouvrit.
Uehara : Entrez donc.
Le groupe investit la pièce. Comme prévu, Wakaba était encore plongé dans un long sommeil.
Uehara : Elle est encore vivante, ne t'en fait pas.
Futaba : Je sais. Est-ce que je peut… ?
Uehara : Oui. Elle devrait t'entendre.
Kawakami : On va te laisser. D'ailleurs, où est Aragaki ?
En effet, le second lit n'était pas occupé.
Uehara : Il est sorti s'aérer. Il doit encore être sur le toit.
Takemi : Alors allons le voir.
Anoter : On va laisser ça là.
Les garçons posèrent sur le lit de Shinjiro plusieurs boite. Contenant notamment un PC portable, des biscuits, et un exemplaire de Nippons et Nichons.
Franck : Prend tout le temps qu'il te faut. Et en cas de besoin, appelles-nous.
Futaba : Merci.

Shinjiro était accoudé sur la rambarde du toit, regardant en direction de l'internat, réfléchissant aux évènements récent. Ouaip, il l'avait échappé de justesse. Mais pourquoi vivre maintenant ? Peut-être avait-il voulu mourir pour expier ses péchés ?
Shinjiro : Je suis en vie. Autant que ça serve à quelque chose. Vivement que je sorte de là. Si je peut être utile aux BOFABOLD, alors c'est une bonne chose. Je suppose. Haaa…Koromaru, j'espère qu'ils n'oublient pas de te nourrir.
Puis, des bruits de pas, suivit d'une ouverture de porte, le sorti de ses pensés.
Franck : Salut Shinji.
Shinjiro : Pourquoi je me doutait que vous viendrai…
Kefan : Joyeux anniversaire !
Anoter : On a laissé des cadeaux sur ton lit.
Shinjiro : Ho…merci. Je ne m'y attendais pas en fait.
Kawakami : Ils ont prévu de quoi t'occuper pendant les jours suivants. D'ailleurs, tu devrais pouvoir reprendre les cours le à la rentrée.
Shinjiro : J'imagine.
Kawakami : Plus sérieusement, je suis heureuse de voir que vous allez bien. Je ne voudrai pour rien au monde qu'un de mes élèves décède. Je voulais juste vous dire ça de vive voix. Je retourne au lycée, j'ai des choses à faire. Et ne fait rien de dangereux.
Sans attendre de réponse, l'enseignante reparti.
Shinjiro : « Ne fait rien de dangereux », hein ?
Kefan : Ne t'en fait pas. On a rien a craindre d'elle.
Shinjiro : Ho ?
Kefan : En fait, elle a compris que le papier n'avais pas disparut tout seul.
Anoter : M'ouaip, ça me surprend même plus.
Makoto : Nous avons des alliés vraiment…inattendu.
Takemi : En même temps, vous n'êtes pas particulière discret.
Shinjiro : Au moins, le peuple aime les BOFABOLD. C'est rassurant.
Franck : En tout cas, heureux de voir que tu vas bien.
Shinjiro : Toi aussi apparemment.
Franck : Ma blessure était moins grave.
Takemi : D'ailleurs, c'est pour ça que je suis venu. Il faut que j'évalue ton état en personne. Allez ! Enlève tes vêtements !
Shinjiro : QUOI !?
Franck : On va vous laisser, ça sera plus pratique je pense.
Anoter : Je confirme. Amusez-vous bien.
Kefan : Ouaip, bonne chance.

Samedi 12 Août, 12h12, au Big Bang Burger…https://www.youtube.com/watch?v=IDrsauZ8bU0

Même si certains des invités n'étaient pas au courant, les BOFABOLD fêtèrent leur quatrième victoire.
Franck : Les enfants, santé !
Futaba : A tout mes amis ici.
Anoter : Il va quand même falloir éliminer tout ça.
Makoto : En même temps, ce ne sont pas les occasions qui manquent.
Kefan : Ça va, nous ne sommes plus à ça près.
Kawakami : Tu devrais quand même faire attention.
Sojiro : Ça ira pour cette fois. Et puis, c'est une bonne occasion de se faire plaisir.
Iwai : Ouaip. D'ailleurs, j'aurai bientôt une grande nouvelle à annoncer.
Chihaya : Ha ?! Les affaires vont bien je suppose.
Kaoru : En même temps, c'était un peu mon idée.
Mitsuru : N'empêche, notre groupe est de plus en plus grand. Il va falloir bâtir notre propre Big Bang Burger.
Haru : Hmm, je crois que c'est tout à fait possible.
Naoto : Ça risque quand même de beaucoup attirer l'attention.
Rio : De toute façon, un groupe de cette taille attire déjà l'attention. On est l'équivalent d'une salle de classe.
Kanji : Mais c'est pas non plus comme si on faisait peur.
Chihiro : Hé bien, certains, je dirait.
Yusuke : Je ne me sent pas visé.
Ren : Moi non plus. Et ce qui fait plaisir, c'est que nous sommes tous là.
Shinjiro : Je suis content de pouvoir sortir un peu de l'hôpital, même si je sais que je doit y retourner bientôt.
Takemi : Ne t'en fait pas. Tu seras sur pieds pour le voyage scolaire. Du moins, si tu es sage.
Anoter : Tiens, regardez qui voila à l'autre table.
Il y avait en effet Gérard, Ai, et Robin.
Franck : Il viens tenir la chandelle Kuroiwa ?
Kawakami : Gérard et Ai sont ensemble ? Décidément, c'est à tout le monde que ça arrive.
Kefan : Pas vrai, Kanji !?
Futaba : Du moment qu'il n'y a pas…
Puis, Futaba sorti son téléphone sous la table. Et quelques secondes après, le téléphone de Franck vibra.
« J'ai pu m'en débarrasser pour aujourd'hui, mais Nishima n'arrête pas de m'envoyer des messages. Je vais avoir besoin de ton aide »
« Pas de problème. On réglera ça dès que tu te sentiras prête »
« Merci »
Le reste du repas se passa sans aucun problème.

En fin d'après-midi, tout le monde était parti faire sa vie, chacun ayant ses obligations et activités. Franck raccompagna Futaba à l'internat. Mais comme ils s'y attendaient un peu…
https://www.youtube.com/watch?v=4az7FMav0XQ
Mishima : Franchement, je ne sais pas pourquoi tu perds ton temps avec lui.
Futaba : Et toi, arrêtes de me suivre.
Franck : Décidément, tu ne sais pas quand t'arrêter.
Mishima : Fermes-la. J'ai rien à te dire à toi. Futaba, j'ai encore les…
Futaba : Je t'ai déjà dit que tu ne m'intéresse pas. Et puis (se rapprochant de Franck) Je ne suis pas seul.
Franck : (tiens, c'est nouveau ça). Maintenant, tu es fixé Mishima. Et tu remarqueras que Futaba n'a jamais prononcé correctement ton nom.
Mishima : C'est parce que, c'était pour rire. Et puis, si tu m'avais dit que tu allais mal Futaba, je t'aurais aidé. Pas comme lui.
Futaba : C'est…
Mishima : J'ai entendu dire que tu avais eu du mal à sortir de ta chambre. Alors que lui se baladait tranquillement avec ses amis.
Franck : …
Futaba : Il cherchait un moyen de m'aider…
Mishima : Je n'en suis pas si sur. Et de toute façons, je suis meilleur que lui.
Shadow Mishima : Je te prouverait que je suis le seul à te comprendre. Je ne suis pas un loser.
Puis, Mishima parti dans son coin.
Futaba : C'était… !
Franck : Oui. Il va falloir aller dans la crazy house.
Futaba : Et…j'aimerais qu'on règle ça seulement tout les deux.
Franck : Je comprend. Et puis, on devrait y arriver.
Futaba : Merci. Et, désolé pour ce qui s'est passé.
Franck : Tu n'as pas à être désolée.
Futaba : Même si je lui ai fait croire que toi et moi, nous sommes…
Franck : Ne t'en fait pas pour ça. Pour l'heure, allons nous préparer. On ira en mission ce soir.
Futaba : Ça me va.

18h43, à New Shinjuku…

https://www.youtube.com/watch?v=8L6Tf3EPhZA
Makoto était plus que jamais décidé de faire éclater l'imposture du copain d'Eiko. Elle avait mené l'enquête pendant de long jours, et avait compris que ce type utilisait la même ruse avec toutes les filles qu'il réussissait à séduire. Mais étant donné la dangerosité de la tâche, elle n'était pas venu seule.
Anoter : Vu à quel point tu es déterminé, je suppose que tu es vraiment sur que ça va fonctionner.
Makoto : J'ai toutes les preuves qui me faut. J'espère juste qu'elle ouvrira les yeux. Tiens, les voilà.
En effet, Eiko et Tsukasa avançaient, se tenant par la taille.
Eiko : J'ai eu ton message absurde. Alors dépêche, parce qu'on a pas le temps.
Tsukasa : Voyons, ne t'en prend pas à ton amie. Je suis sur que c'est ce type qui lui a mis ses idée en tête. Pas vrai Anoter ? Toujours à te la jouer quand Makoto est dans les parages.
Anoter : J'ai déjà entendu ça quelque part…
Tsukasa : Mais c'est pas avec ta soi-disant performance au Kendo que tu séduiras qui que ce soit.
Makoto : Silence ! Ano à bien plus de qualités que toi, monsieur je ne sais faire que sourire. À part l'arnaque aux sentiments, tu ne sais rien faire de ta vie.
Tsukasa : Holà, doucement. C'est quand même grave ce genre d'accusation, surtout sans…
Makoto : Regarde donc !
Elle avait sorti son portable, et montrait à Eiko une vidéo compilant les témoignages de plusieurs filles et garçons, tenant des propos peu élogieux à l'encontre de Tsukasa. Certains parlaient notamment de l'arnaque de la bouteille cassé, tandis que d'autres mentionnaient un certain chantage sur une appartenance à un gang, non fondé bien évidemment. Sans compter les conséquences vraiment grave pour tenter d'éponger les dettes par la suite.
Eiko : Mais…j'ai vu ces garçons, et ils semblaient abattu par un licenciement. Et cette fille ! Tu m'avais dit que c'était ta sœur ! Et elle, ta cousine.
Makoto : Il te ment depuis le début. Il veut juste te soutirer le plus d'argent possible. Il ne t'a jamais…
Eiko : Tu ne pouvais pas t'en empêcher, madame je suis parfaite.
Makoto : Eiko…
Eiko : Tu ne pouvais pas me laisser juste espérer que quelqu'un veuille bien de moi. C'est parce que ça te plait tant d'être au-dessus des autres.
D'un coup, Makoto s'avança sur sa camarade, et la gifla. La stupeur du choc la fit se taire.
Makoto : Supérieur sur quoi ?! Mon rôle de présidente du conseil des élèves est une responsabilité, pour assurer que tout se passe bien ! Et contrairement à toi, je n'ai pas eu de petit ami ! J'ai juste demandé à Ano de faire semblant afin de mieux t'approcher. Parce que je voyait que tu allais mal, et que je voulait t'aider. Voila !
Sans rien dire, Eiko pris la fuite.
Tsukasa : Tu m'as vraiment mis dans la merde, petite conne.
Alors que l'imposteur commençait à être menaçant, Anoter s'interposa.
Anoter : Redis ça, pour voir.
Tsukasa : Tu crois vraiment que tu me fait peur ?
L'Host tenta de s'approcher, en intimidant. Et à ce moment-là, il se produit ce que personne n'aurait cru possible. Pas même Anoter. Ce dernier agrippa son adversaire par le col, et lui mis un immense coup de boule. Tsukasa, dans un premier temps, resta immobile. Puis, après avoir reçut le coup, tenta de dire quelque chose, et il s'effondra sur le sol.
Makoto : Je crois qu'on viens d'attirer l'attention sur nous.
En effet, des passants s'arrêtaient pour voir ce qu'il se passait.
Anoter : Suis-moi. On ne va pas rester ici.
Le jeune combattant emmena Makoto à l'abris des regards. Ils parcoururent quelques ruelles pour finalement atterrir dans un bar. L'enseigne indiquait le "crossroad". Ils entrèrent sans attendre.
Makoto : Un bar ?
Anoter : Je me suis un peu renseigné sur le quartier au début de notre enquête. Je me disait que d'avoir un endroit tranquille pourrait nous servir.
Les deux lycéens s'installèrent au comptoir.
Lala : Bienvenue les enfants ! Vous êtes au lycée, je me trompe ?
Makoto : Non, vous avez raison. Désolé si on ne peut pas…
Lala : Ne vous en faîtes pas. J'ai un excellent jus de fruit à vous proposer.
Anoter : Voyons…à oui. J'aime bien cette marque.
Makoto : Joker. Pourquoi pas.
Les deux jeunes, côte à côte, restaient silencieux.
Makoto : Finalement, je sais pas si tout ça aura servi à quelque chose.
Anoter : Maintenant, elle connais la vérité. Et c'est à elle de choisir ce qu'elle va faire.
Makoto : Oui. Et, merci à toi, pour…
Anoter : J'ai juste agît sur un coup de tête, tu sais.
Le jeu de mot fit mouche, et Makoto rigola.
Makoto : J'ai vraiment était surprise par ça en tout cas.
Anoter : Crois moi, j'ai était le premier surpris. Et j'en suis encore un peu tremblant.
Makoto : C'est pas seulement ça. En fait, c'est la première fois que quelqu'un prend ma défense.
Anoter : Je l'ai fait parce que ça valait le coup.
Makoto : Ho…
Sans qu'elle s'en rende compte, elle commençait à rougir.
Makoto : En fait, je crois qu'au bout du compte, elle avait raison.
Anoter : Pas sur.
Makoto : En fait, j'était jalouse d'elle. Elle semblait heureuse en couple. Et, j'aurai voulu connaitre ça.
Anoter : Il n'est pas trop tard pour ça.
Makoto : Je sais pas. J'ai toujours était un robot, obsédée par l'ordre et les règlements. Et au final, j'ai juste fait semblant d'être avec quelqu'un. Avec celui qui à tout fait pour moi, alors que je l'avais déjà trahis. Et ça à était le plus dur pour moi.
Anoter : Je t'ai déjà pardonné pour ça. Et même si ce n'était que ton ombre, je t'ai fait une promesse à ce moment là. D'attendre encore un peu, et ensuite…
Makoto :… Je pourrais partir avec toi. Mais ! Comment je peut me souvenir de ça ?
Anoter : C'est à toi de le découvrir. En étant honnête avec toi-même. Est-ce que tu te sentais bien lorsque nous passions du temps ensemble lors de cette enquête ?
Makoto : Je…je suis pas sur que ça puisse avoir de l'importance.
Anoter : Ça peut en avoir, si tu veux qu'on ne fasse plus semblant cette fois.
Cette fois, elle se rendit compte d'un changement.
Makoto : Quoi ?! Tu…tu ne devrais pas dire des choses pareils. Je pourrais m'imaginer des choses.
Anoter : Je dis ça parce que je le pense.
Makoto : Ano…
Puis, elle posa sa main sur celle du guitariste.
Makoto : Tu es sur de vouloir me supporter ?
Anoter : Je pourrais te poser la même question.
Encore une fois, elle rigola.
Makoto : J'ai l'impression d'être dans un rêve. J'arrive pas à croire que je vais faire des jalouses.
Anoter : T'exagères un peu, non ?
Makoto : Du tout. J'ai quelques dossiers. Mais ce n'est pas important. J'ai maintenant de nouvelles envies de vivre. Et je ferais tout pour me mettre au niveau.
Anoter : Et moi donc…
Lala : Ha, vous êtes vraiment adorable. Pas comme l'autre alcoolique avec les petits jeunes qu'elle ramène. Repassez quand vous voulez, même si vous ne consommez rien.
Anoter : Merci bien Lala.
Makoto : Mais pour l'heure, j'aimerai que nous soyons tranquille. En fait, ma sœur n'est pas chez elle ce soir. Alors, tu m'accompagnes ?

https://www.youtube.com/watch?v=akvE3llUdzc
Voix mystérieuse : Il est miens, et je suis sienne. Nous avons surmonté les dangers depuis notre rencontre du destin. En liants l'Empereur à la Papesse, nous avons ouvert une porte vers l'éternité, menant au potentiel infinie.
Technique secrète débloqué : ??????

Flash foward…https://www.youtube.com/watch?v=-XFUA3lDvSI

C'est à ce moment précis que nous eûmes une Sae complètement stupéfaite, et trois lycéens qui étaient plié de rire.
Franck : J'avais vraiment hâte que nous en arrivions à ce moment de l'histoire.
Kefan : Et tu n'es pas le seul.
Anoter : Ha ha ha, ha ha, ha….ho mon dieu je vais tellement mourir…
Sae : Je vois. C'est donc ça qu'il s'est passé. Au moins, je tiens le coupable maintenant.
La procureure se leva, et sorti une lettre de sa poche.
Sae : Quelques semaines après ce que vous venez de raconter j'ai reçut ceci. «Chère Sae. Je vous remercie de me laisser me taper votre sœur. C'est un super coup, je me demande comment vous êtes vous aussi. Cordialement, le mec de ta sœur.» Croyez-moi, je trouve cela plutôt inapproprié.
Naturellement, Franck et Kefan continuaient de rire. Mais pas Anoter…
Anoter : Attend, quoi ?
Sae : J'espère que vous avez une bonne explication, car il vous reste trente secondes à vivre.
Anoter : Mais…je ne sais même pas d’où viens cette lettre !
Sae : Alors qui l'a envoyé ?
Franck et Kefan : C'est Gérard.
Anoter : Quoi ?
A ce moment là, le téléphone de Sae sonna.
Sae : Une minute, je revient. Allo ?
Sae quitta la pièce pour ne pas être dérangé, ou bien entendu.
Anoter : Les mecs, c'est quoi cette lettre ?
Kefan : Quand on a appris pour toi et Makoto, on s'est dit qu'on allait s'amuser.
Franck : Alors j'ai écrit la lettre.
Anoter : Quoi ?!
Kefan : Je te rassure, j'ai corrigé les fautes d'orthographe.
Anoter : Oui, je suis rassuré…
Franck : Ensuite, Yusuke à fait la décoration.
Kefan : Et c'est Gérard qui a signé et envoyé.
Anoter : Putain, les gars, je…
Sae : Bien, reprenons.
La procureur venait de réintégrer la salle. Elle semblait avoir reçut une mauvaise nouvelle.
Anoter : Tout va bien ?
Sae : Encore un raisonnement comme quoi je devrait me trouver un mari.
Kefan : J'ai du mal à croire que vous n'avais personne.
Franck : Je suis sur que les hommes vous aiment. Mais Ano, il préfère votre sœur.
Kefan : J'avoue.
Anoter : Putain, arrêtez les mecs…
Sae : Vous avez donc réussit à sauver Futaba Isshiki, et les activités de Parapluie SARL ont commencé à se stopper, et…enfin, tout le monde a vu le reportage. Poursuivons. Qu'est ce qu’il s'est passé ensuite ?

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Dans la vie, il y a trois sorte de gens : ceux qui savent compter, et ceux qui ne savent pas compter.
Franck-Fullbuster
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Franck-Fullbuster
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   Posté le 01-11-2020 à 18:36:38   Voir le profil de Franck-Fullbuster (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Franck-Fullbuster   

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https://www.youtube.com/watch?v=TGDe0C2YmjE
Le soir même, à 20h22, à l'internat…
Après avoir mangé, Franck et Futaba s'était rassemblé au coin TV. Il n'y avait personne à ce moment là.
Futaba : Parfait. Bon, A38, nous voila.
Les deux jeunes prirent le passage, et arrivèrent à la maison des fous.
Franck : Bon, j'espère ne pas tomber à cour de munition avant qu'on y arrive.
Futaba : Ne t'en fait pas. Si ça arrive, j'ai une solution.
Franck : Ho ? Ok, je te fait confiance.
Mitsuru : Pourquoi vous partez en expédition que tout les deux ?
Futaba : Quoi ?!
Mitsuru venait d'arriver derrière eux. Elle aussi équipée.
Mitsuru : Ce n'est pas très responsable ce que tu fais, Franck.
Franck : Je sais, mais…
Futaba : Attend. C'est parce que je lui ai demandé de m'accompagner. C'est juste que…je voulait régler un problème, seul. Alors…
Mitsuru : Laissez moi alors vous accompagner jusqu'à la chambre que vous devez purifier, alors. Si vous acceptez, je ne poserait pas de question.
Futaba : Ok, ça me va.
Franck : Faisons comme ça alors. Par contre, la place est beaucoup trop restreinte pour ta persona.
Futaba : Ne t'en fait pas pour ça.
L'Hermite fit apparaitre un clavier holographique sur lequel elle pianota. Puis, sur un air satisfait, elle le fit disparaître.
Mitsuru : J'avoue que j'ai aucune idée de ce que tu viens de faire.
Futaba : J'ai juste créé un raccourci. Ça servira en cas de bataille.
Franck : Moi aussi je suis intrigué. Enfin bref, avançons, ou nous manquerons de temps.

Cela faisait dix minutes que le trio progressait, sans rencontrer d'ombres. Mais évidemment, ça ne pouvait pas durer.
Futaba : Ok, on a un catcheur bodybuildé au prochain tournant.
Franck : On va s'en occuper.
Futaba : Non, pas cette fois.
Et s'en attendre, la jeune rebelle sorti de son couvert.
Mitsuru : Attend, Futaba ! Il est trop fort pour…
Futaba : T'en fait pas.
Au moment où l'ennemi la repérait, Futaba activa son raccourci, et matérialisa son arme.
Franck : C'est…c'est vraiment un railgun ?
Mitsuru : Ce truc peut vraiment exister ?
Futaba : C'EST PARTIIIIIIII !
Le tir fut tellement dévastateur qu'il transperça l'ombre, endommageant le mur derrière. Mais le recul propulsa la jeune fille en arrière.
Mitsuru : Dia !
Le sort de soin ne fut pas indispensable, mais c'était dans la nature de Mitsuru de protéger les siens.
Futaba : Voila !
Franck : Impressionnant. Vraiment.
Futaba : Bon, on continue ?
Mitsuru : O…oui.

Le cheminement dans la Crazy House ne fut jamais aussi facile que ce jour là. Les talents de navigations de Futaba dépassaient largement ceux de Mitsuru. De plus, elle pouvait aussi participer au combat avec son railgun et ses grenades plasma. De plus, afin de gagner le plus de temps possible, elle trouvait toujours l'itinéraire le plus sur, et savais toujours à l'avance ce qu'ils allaient trouver en chemin. Et ce fut dans ces conditions qu'ils trouvèrent enfin la chambre qu'ils cherchaient.
Mitsuru : Je reste à l'entrée. J'ignore ce qu'il y a de l'autre côté, mais je pense que vous vous en sortirez.
Franck : Je pense que nous n'en aurons pas pour longtemps.
Futaba : En tout cas, merci de m'accompagner. Je me sent plus sur de moi. Et surtout, je me sent vraiment à ma place.
Franck : On est tous avec toi. Et je te l'ai dit, je ne t'abandonnerait pas.
Futaba : Je sais. Maintenant en tout cas, j'en suis certaine.
Futaba à l'air de revivre. Merci.

https://www.youtube.com/watch?v=TCqPOjWDqmY
Voix mystérieuse : Je suis toi, et tu es moi. Je réaffirme mon vœux dans la quête de la vérité. La force de ton cœur se manifeste en te délivrant des chaines du doute. Avec la renaissance de l'Hermite, tu suis de nouveau les vents de la bénédiction, vers ton but ultime.

https://www.youtube.com/watch?v=a0ethoYSjjo
Le duo poussa la porte, et se retrouva dans une grande salle. Elle ressemblait étrangement à un quai de métro. Il y avait au fond un wagon, stationnés sur des rails ne menant nulle part. À l'autre bout de la salle, à environ 25 mètres, Shadow Mishima attendait.
Shadow Mishima : Alors tu es venue, Futaba. Je le savais.
Futaba : Je ne suis pas venue seule. Car il est temps de mettre un terme à ta folie.
Shadow Mishima : Viens avec moi. Et oublie l'autre, qui n'a aucun avenir de toute façon. Ça va lui apporter quoi la poésie ? Moi, j'aide les BOFABOLD. Mon fan site propulse leur popularité vers le haut. J'aide ceux qui aident les autres.
Futaba : Et c'est pour ça que tu t'attaques à nous ? Nous sommes les BOFABOLD !
Shadow Mishima : Toi, ça ne m'étonne pas. Mais lui…
Futaba : Il est le meilleur d'entre nous.
Franck : Ça dépend pour quoi…
Shadow Mishima : Lui ? Non…Non ! Je refuse de le croire !
Futaba : Alors tu ne nous laisses pas le choix.
Shadow Mishima : Alors pour moi non plus.
Sur ces mots, des singes robots ninja sortirent du wagon.
Shadow Mishima : Inutile de se servir de l'électricité ou du plasma. Ça ne fonctionne pas sur eux.
Futaba : Alors dans ce cas, nous utiliserons la méthode Franck !
Et sans demander la moindre permission, Futaba attrapa le fusil d'assaut de Franck. Mais ce dernier ne contesta pas, et sorti son 45.
Shadow Mishima : Serviteurs ! Amenez-les moi !
Et alors que les machines avançaient, les BOFABOLD ouvrirent le feu. Futaba cria en canardant l'ennemi, tandis que Franck restait plutôt calme, tirant avec plus de précision. Les balles de 5.56 ne touchaient pas toutes, mais le résultat était moins décevant que prévu pour quelqu'un n'ayant jamais touché à une arme à feu.
Futaba : Mince. Il tire plus. Plus de munition, Franck, je fait comment ?
Franck : Appuie sur le bouton à côte du chargeur, et incline sur la droite.
Futaba : Comme ça ?
Alors qu'elle s'exécutait, le tireur engagea un chargeur neuf, et réarma le mécanisme dans le même mouvement.
Franck : C'est parti pour 30 balles de plus.
Futaba : Ok ! YYAAAAAAHHHHHHHHHH !!!!!!!
Franck sorti cette fois sa Winchester tandis que Futaba arrosait de nouveau en rafale. Et bien que nombreux, au moins une vingtaine, l'ennemi fut vaincu. Shadow Mishima fut dépité.
Franck : Et maintenant, tu penses faire quoi ?
HOLD UP !
Shadow Mishima : Huuu….a…a…attendez !
Futaba : Tu dois arrêter de me suivre partout. Je ne ressent rien pour toi.
Shadow Mishima : Mais, nous sommes pareil tout les deux…
Futaba : Non.
Franck : J'avoue, Futaba est au dessus de toi.
Futaba : C'est pas ce que….bref. Cherche quelqu'un qui veuille passer du temps avec toi. Pas quelqu'un qui selon toi devrait passer du temps avec toi. Ho, et continue de t'occuper du fan site.
Shadow Mishima : Mais…je ne suis pas sur de pouvoir t'oublier. Tu es si gentille, et…
Futaba : (soupir) Viens Franck, on a fini ici.
Franck : Très bien.
Les deux BOFABOLD commencèrent à quitter la chambre. Au moment où ils passèrent la porte, Futaba activa une grenade plasma, et la lança derrière elle. Shadow Mishima poussa un cri de surprise, et se refugia dans son wagon.

Mitsuru : Vous revoilà. C'était rapide. Tout s'est bien passé ?
Futaba : Tranquille. On peut rentrer.
Et elle n'attendit pas pour partir, laissant un peu à la traine Franck et Mitsuru.
Mitsuru : Elle a l'air vraiment sur d'elle.
Franck : Disons que n'avais pas imaginé que la mignonne petite Futaba puisse être aussi…terrifiante.
Mitsuru : Tans que ça ?
Franck : Ouaip. Et je n'imagine plus partir en mission sans elle.
Mitsuru : Je pense que personne ne veut exclure qui que se soit. Et je ne pense pas que ça serait la même chose sans toi.
Franck : Tu n'exagèrerais pas un peu ?
Mitsuru : Du tout. En fait…tu lui ressemble beaucoup.
Franck : Lui ?
Mitsuru : Un autre utilisateur de persona. Le siens était Morpheus.
Franck : Était ?
Mitsuru : C'est…compliqué. Pour faire court, c'est grâce à lui que nous avons pu éviter une fin du monde.
Franck : C'est…énorme. Et c'est d'autant plus étonnant que tu me compare à lui.
Mitsuru : J'aimerais que tu me fasse une promesse.
Franck : C'est pas un peu rapide entre nous pour ça ?
Évidemment, il s'était exprimé sur le ton de la plaisanterie, mais elle ne releva pas, et continua.
Mitsuru : Ne sacrifie jamais ta vie. Quoi qu'il arrive.
Franck : Je n'ai pas l'intention de mourir. Mais…je suis pas sur que je pourrais décider de ça à l'avenir.
Mitsuru : Reste en vie. S'il te plait.
Franck : Je verrais ce que je peut faire.

https://www.youtube.com/watch?v=OwZ7ELj6Oa4
Quelques minutes plus tard, le trio revint au coin TV.
Futaba : Ouahhh…..ça fait du bien tout ça….maintenant….zzz…
Franck : Ohé !
La jeune lycéenne tomba endormit, Franck la rattrapant de peu.
Mitsuru : Tu vas encore devoir la ramener à sa chambre.
Franck : Heu…
Mitsuru : Ne t'en fait pas. Personne ne te dira rien si tu viens à notre étage.
Franck : Bon, je m'en occupe.

Quelques minutes plus tard, Mitsuru regagna sa chambre. Elle s'attendait bien évidement à trouver Chihiro et Makoto. Mais Makoto n'était pas là.
Mitsuru : Me revoila, je…
Kanji : Hhaaaa !
Chihiro : Mitsuru, tu…
Les deux tourtereaux étaient allongé sur le lit, habillé bien sur, et manifestement, ne s'attendaient pas à ce que quelqu'un arrive si tôt. Kanji plongea derrière le lit et attrapa ses chaussures. Mitsuru, d'abord surprise, ne dit rien, puis, ne pouvant plus se retenir, éclata de rire.
Mitsuru : Vous m'avez bien eu. Je ne m'attendait pas à ça. Mais ça valait le coup.
Chihiro : Tu…tu n'es pas fâchée ?
Mitsuru : Pourquoi je le serais ? D'ailleurs, si vous avez besoin, certaines chambre ne sont pas occupées.
Kanji : Oui, enfin, de toute façon, il se fait tard. Je vais aller retrouver les potes.
Kanji ne mis pas longtemps à revenir à la chambre 333. Il manquait deux personnes.
Kanji : Où sont Franck et Ano ?
Kefan : Pour Franck je sais pas. Mais Ano, on ne le revoit pas ce soir.
Ren : C'est-à-dire ?
Kefan : Il est avec Makoto, dans l'appart de sa sœur .
Yusuke : Pourquoi ils ne sont que tout les ceux là bas ?
Kefan : Devine…
Ren : Tu veux dire que…ils se prennent pour Kanji et Chihiro.
Kanji : Quoi ?
Yusuke : Attend, Anoter et Makoto sont ensemble ?
Kanji : Tu es sur ?
Kefan : Certain ! Mais pourquoi ça vous étonne autant ?
Kanji : C'est…enfin, Makoto est très classe. Et Ano pas toujours très sérieux.
Kefan : Tu sais, les différences, ça à du bon.
Ren : Tu parles comme si tu en savais quelque chose.
Kefan : Peut-être…
Kanji : Attend…qu'est-ce que tu nous cache ?
Kefan : On ne parle pas de moi, mais de Ano et Makoto.
Yusuke : M'oui. Mais ça me semble étrange à concevoir…
C'est à ce moment-là que Franck entra, et qu'il constata qu'il manquait quelqu'un.
Kanji : Franck, tu ne vas pas le croire !
Franck : Anoter et Makoto sont ensemble ?! Alors ça je le savais !
Kefan : Vous voyez ?
Ren : Sérieusement…
Franck : J'ai une super idée ! Attendez que je prenne du papier et un stylo…
Kanji : Je le sent mal.

Mardi 15 Août, internat, 11h09, à l'étage des filles...

Franck avait amené Futaba devant une porte en particulier.
Futaba : Pourquoi tu m'emmène ici ? C'est la chambre de…
Franck : Je sais. C'est juste que vous devriez parler en face à face.
Futaba : Attend, je…je suis pas prête…
Mais trop tard. Franck avait frappé à la porte. Et de suite après ça, elle avait ouvert.
Rise : Salut Franck. Pile à l'heure !
Franck : Merci de nous recevoir Rise. Je te présente Futaba, ta plus grande fan.
Futaba : Franck…
Rise : Salut Futaba. Et, merci pour ton cadeau la dernière fois. J'ai beaucoup aimé.
Futaba : Ho…
Rise : Entrez donc !
Les trois autres camarades de chambre, a savoir Haru, Rio et Hifumi étaient là aussi.
Haru : Tiens, salut Franck, Futaba.
Rio : Faîtes comme chez vous.
Hifumi : Je préparait justement un exercice pour la leçon de ce soir à l'église. Ne soyez pas en retard.
Franck : Ok. Par contre, je vais peut-être vous laisser entre filles, et…
Futaba : Surement pas ! Tu m'as emmené ici, tu restes avec moi.
Franck : D'accord…
Haru : He hé, Futaba sais exactement ce qu'elle veut.
Rise : Et ça m'inspire beaucoup. En fait, j'aimerais vraiment écrire mes propres chassons. Et Franck m'a dit que toi et moi, on pourrait travailler ensemble.
Futaba : Je suis pas sur de pouvoir t'aider…
Rise : De quoi voudrais-tu que ma prochaine chanson parle ?
Futaba : Des BOFABOLD.
Rise : En voila une de bonne idée. Et comment pourrions nous les mettre en valeur ? Plein de thèmes les concerne, non ?
Futaba : Le courage, l'amitié, leur envie d'aider les autres.
Rise : Et peut-être leurs éventuelles histoire d'amour.
Futaba : Quoi ?
Rise : Ça, ça sera vendeur. Et on peut toujours en discuter. Entre amies je veux dire. Alors soyons amies. Et en échanges, je mettrait en valeur les BOFABOLD. Pas mal, non ?
Futaba : C'est un bon deal. C'est d'accord !
Rise : Alors marché conclut !
Franck : (Voila que maintenant, même Futaba passe des marchés. Tu vois, toi aussi tu peut le faire)

Flash foward…https://www.youtube.com/watch?v=G6gxnnEkP4Q

Sae : Qu'importe l'avis des personne sur votre groupe, votre popularité montait en flèche. Comme si quelqu'un savais exactement comment saisir le cœur des gens. Un peu comme cette idole populaire, en fait, pas vrai ?

https://www.youtube.com/watch?v=TCqPOjWDqmY
Voix mystérieuse : Je suis toi, et tu es moi, toi qui à rallié une nouvelle volonté. Cela deviendra les ailes de la rébellion, t'élevant au dessus des limites. Grace à l'association avec l'Amoureux, tu es béni d'un vent nouveau, et mené à de nouvelles possibilités.


Franck : Au moins, vous savez comment occuper vos vacances.


Jeudi 17 Août, 19h32, sur Nippons et Nichons…https://www.youtube.com/watch?v=rCHldXSnmBU

Nos héros se trouvaient devant la porte qu'ils devaient franchir. Mais les deux vigiles ne semblaient pas vouloir les laisser passer. Et ce, à cause de…
Kefan : Bordel…
Franck : Ça ne sert à rien, on ne passera pas comme ça.
Anoter : Serpent Solide à raison.
Lysithea : Je suis aussi de cet avis.
Kefan : Non, je refuse.
Videur 1 : Aller, jette l'éponge, et on n'en parle plus.
Desillusion : Met ta fierté de côté, qu'on avance.
Kanji : J'approuve.
Dark dancer : Je vous ai rejoint il y a deux jours, et c'est déjà le merdier. Je sent que je vais me plaire avec vous.
Videur 2 : Nous resterons inflexible. Alors jette l'éponge.
Kefan : Rah…(Ouvre l'inventaireobjets divers … «êtes vous sur de vouloir jeter Spontex ? ») Une si belle éponge…
Videur 1 : Et bien voila ! Bienvenue à tous au night club ! Profitez bien de votre soirée.
Kefan : Ouaip, c'est ça…
Maya : Aller, on progresse.
L'intérieur du club donnait l'impression d'être dans les années 30 à Chicago, en période de prohibition.
Yusuke : Tiens, cette femme là bas.
Ren : Qui ?
Yusuke : Au bar, elle me rappelle…enfin, vous voyez quoi.
Anoter : Hmm, ha, oui.
La femme en question buvait un cocktail plutôt élaboré. Elle portait une robe de soirée noire, plutôt tape à l'œil, et un chapeau à bords large, avec des cartes de poker sur le côté. Les plus observateurs virent qu'elle avait un revolver à la ceinture.
Franck : On va éviter de s'en faire un ennemi.
Elle termina son verre, puis elle se leva et sorti par une porte opposé à celle où notre groupe était arrivé. Alors, arriva une autre femme, elle aussi en tenue de soirée.
Becky : Ho ? Je ne m'attendais pas à trouver des personnes aussi jeune ici.
Anoter : C'est vrai que la moyenne d'âge est plutôt élevé dans ce club.
Kefan : Ça ne me dérange pas vraiment…
Maya : Becky, hein ?
Becky : Maya…Enfin bref, je peut me joindre à vous pour continuer ? Le chemin est plutôt risqué devant.
Lysithea : Pourquoi pas.
Kefan : Cool, on a une milf.
Yusuke : Donc tu aimes les femmes plus âgés.
Maya : Intéressant…
Après avoir pris un verre, le groupe se dirigea vers l'autoroute néon.

https://www.youtube.com/watch?v=HXEk7Ip9pGk
Dans le sous-sol de la pyramide, Franck faisait face à son ombre. Celui en armure, avec sa masse et son bouclier large.
Shadow Franck : Alors, je n'avais pas raison ?
Franck : Tu n'es pas moi. Tu es…
Shadow Franck : …tel que Futaba t'imagine. Je sais. Et alors ?
Franck : Pourquoi je te fait face ?
Shadow Franck : Futaba ! C'est parce que tu ne peut pas prendre soin d'elle comme il le faut. Mais tu le savais déjà à ce moment là. Tu le savais…
Franck : …que je lui ferai du mal. Qu'elle ne me pardonnerait pas, et moi non plus. Mais au moins, elle est en vie.
Shadow Franck : Et ça te suffit ? Allons, je suis toi, et tu es moi. Tu ne peut me cacher la vérité.
Franck : Je…
Shadow Franck : Sois donc honnête envers toi-même. Pourquoi tu l'aide autant que ce que tu fais ? Tu as risqué ta vie pour elle, et tu l'accompagnes partout où elle à besoin de toi.
Franck : Parce que nous sommes amis.
Shadow Franck : Pfff, sérieusement…Je suis sur que même d'autres personnes sont au courant de ce que tu veux me cacher.
Franck : Qu'est-ce que tu veux dire ?
Shadow Franck : Arrête. Et réveilles toi.
Franck : Quoi ?!
Shadow Franck : Réveilles toi je te dit. C'est pas parce que tu es en vacances que tu dois flemmarder. Et puis, tu as beaucoup de choses à faire manifestement.
C'est à ce moment que Franck ouvrit les yeux. Il était étendu dans son lit, en yukata.
Franck : 8h42. Je commence à prendre de mauvaise habitudes. Et c'était quoi ce rêve ?

Samedi 19 Août, 8h43, chambre 333…https://www.youtube.com/watch?v=yrWDdI8a3YE&t

Bzz bzz…
Franck : (Tiens, c'est Futaba. «Viens dans ma chambre s'il te plait"). Elle sais que je me réveille maintenant ?

Quelques minutes plus tard, Franck arriva dans la chambre de Futaba.
Franck : Tout vas bien ?
Futaba : Oui. Sojiro est partie voir maman à l'hôpital. Alors je voulais te parler un peu. J'espère que ça ne te dérange pas.
Franck : Bien sur que non.
Futaba : Tant mieux.
La jeune fille s'assis sur le lit, imité par son ami.
Futaba : Avant de te rencontrer, j'était vraiment seule. Mais ça ne me dérangeait pas plus que ça. Et puis tu es venu vers moi. Et j'ai intégré les BOFABOLD. Et même à ce moment là, tu me faisais déjà confiance. Et puis…il y a eu l'accident. Et je vous ai causé bien des soucis. Pourtant, vous n'avez jamais rien lâché. Et maintenant encore, tu m'aides à régler mes problèmes.
https://www.youtube.com/watch?v=3395PPzVW3Y
Franck : Futaba….je t'ai promis de ne pas te laisser tomber. Et je tiendrais cette promesse jusqu'au bout.
Futaba : Mais…pourquoi tu fais tout ça, pour moi ?
Franck : Parce que je t'aimes.
Les mots étaient sortis tout seul, sans même que Franck ne s'en rende compte. Mais même après avoir réalisé ce qu'il venait de dire, il ne rectifia rien. Et Futaba ne resta pas insensible à cette déclaration.
Futaba : Tu…tu viens de me dire que….que tu….
Franck : Oui.
Futaba : …
Franck : …
Futaba : …

Pendant ce temps, à la salle d'arcade…
Kanji : C'était vraiment une bonne idée de le laisser en arrière ?
Ren : De toutes façons, il était profondément plongé dans son sommeil.
Anoter : Peut-être le metaverse…
Yusuke : Il peut avoir un effet sur notre sommeil ?
Kefan : Sur nos rêves, peut-être…et au pire, il viendra quand il voudra. Mais là, il ne répond pas au téléphone. Je me demande ce qu'il fait.

9h15, dans la chambre de Futaba…

Futaba : …
Franck : …
Futaba : Ça veut dire que…je suis…ta petite amie ?
Franck : C'est ce que je souhaite.
Futaba : …
Franck : …
Futaba : …

Pendant ce temps, à l'hôpital…

Le jeune Shinjiro était en rééducation lorsque Sojiro rendit visite à Wakaba. Encore maintenant, elle restait endormie, immobile.
Sojiro : Je sais que tu m'en voudras toujours. De ne pas t'avoir prises au sérieux. Haa….pardonnes-moi. Je n'aurais pas imaginé que tu étais impliqué dans quelques choses d'aussi dangereux. Même si j'ai mes doutes…Futaba, elle a eu une grande période de doute, et de chagrin. Mais depuis quelques temps, elle va mieux, grâce à ses amis. Même si je me demande…non, rien. Enfin, elle s'entend bien avec ce troisième année, mais tu le sais déjà ça. J'espère qu'il prend soin d'elle.
A ce moment là, Sojiro remarqua que…
Sojiro : Mais….mais ! Tu souris !
Effectivement, la mère souriait, sincèrement.
Sojiro : Je suppose que…Futaba va bien. Mais j'ai l'impression de passer à coté de quelque chose…

9h47, dans la chambre de Futaba.

Futaba : …
Franck : Tout vas bien ?
Futaba : Je….je t'aime aussi…
Franck : Je suis heureux de pas me prendre un vent…
Futaba : C'est juste que je n'était pas prête à entendre ça. Je…
Franck : Allons à notre rythme.
Futaba : Ca me va. Mais hors de question que tu te plaignes de moi.
Franck : C'est pas dans mon intention.

https://www.youtube.com/watch?v=akvE3llUdzc
Voix mystérieuse : Il est miens, et je suis sienne. Nous avons surmonté les dangers depuis notre rencontre du destin. En liants l'Hermite au Soleil, nous avons ouvert une porte vers l'éternité, menant au potentiel infinie.

Flash foward…

Anoter : Bon, c'est arrivé pas longtemps après nous.
Sae : Donc, vous préférez les femmes plus jeune…
Franck : Et alors ? C'est pas comme si j'avais 14 ans de plus qu'elle, non ?
Sae : Hmmm….
Kefan : Ca serait bizarre…

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   Posté le 06-12-2020 à 21:05:04   Voir le profil de Franck-Fullbuster (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Franck-Fullbuster   

20h52, au coin TV.

Les mêmes élèves que d'habitude, une infirmière et deux enseignantes étaient affalé dans les canapés et les fauteuils, attendant le reportage choc concernant Parapluie SARL.
Kawakami : Pourquoi ça ne m'étonne pas de vous voir ici ce soir…
Kefan : On se tiens au courant de l'information, voila tout.
Takemi : Oui…crédible.
Toriumi : En même temps, c'est plutôt intrigant ce qu'il s'est passé. Ce n'est pas la première fois que les BOFABOLD ciblent une personne ou un groupe, et que leurs cibles avouent leurs crimes.
Franck : Cette fois au moins, il n'y a pas eu de meurtre en direct.
Futaba : J'espère juste qu'ils n'échapperont pas à la justice.
Makoto : Ne t'inquiète pas. Une personne fiable est sur cet affaire. Enfin, deux je pense. Et il y a suffisamment de preuves contre eux.
Anoter : Ça y est, le reportage commence.

Antoine Daniel : Mesdames et messieurs, bonsoir. Ce soir, scandale chez Parapluie SARL. Mensonge, trafique de drogue, assassinat, sexe, trafique d'arme et trahison, vous saurez tout sur cette entreprise au nombreux vices.
Yusuke : Il ne mâche pas ses mots.
Antoine : Après avoir était la cible des BOFABOLD, les responsables de Parapluie se sont tous repentis, et ont avoué tout leurs crimes. Des collègues journaliste ont également trouvé tout un tas de preuves accablantes à leur encontre. Falsification, drogue, arme, sexe, tout va être mis sur la table.
Kanji : J'ai l'impression que certains sujets vont revenir souvent.
Employé anonyme : Il se passait vraiment des choses étranges. Une fois, le patron s'est assis sur un siège de toilette, et le wc à explosé à ce moment-là, l'envoyant s'écraser dans le faux plafond.
Franck : Donc, ça peut arriver n'importe où à New Beaux Reliefs…
Mitsuru : Mystère résolu.
Antoine : Et voici la salle dans laquelle les dirigeant de l'entreprise complotaient pour diriger le Japon. Sexe, corruption, alcool, diffamation, esclavage, sexe et arme nucléaire, vous saurez tout ce qu'il s'est passé dans cette pièce.
Kawakami : Sérieusement…c'est quoi cette fixette sur….
Takemi : Une idée de Ohya apparemment.
Antoine : …et c'est grâce à ce plan, le projet «feuille de titane », que Parapluie espérait contrôler les forces économiques et défensive du Japon. Et grâce à cette démonstration de puissance, ils espéraient réarmer le pays, afin d'attaquer la Corée et la Chine, pour ensuite s'étendre plus loin. Imaginez les conséquences que cela aurait pu avoir. Le monde se serait rapidement uni contre nous.
Ren : On viens vraiment d'échapper à la troisième guerre mondiale ?
Futaba : Merci les BOFABOLD.
Makoto : Oui. Merci à eux.
Antoine : Comme vous avez pu le voir, les employés trop ambitieux, considéré comme gênant, étaient écarté d'une façon ou d'une autre. Parfois même en allant beaucoup trop loin. L'enquête de la police avance à grand pas, et le verdict risque d'être sans appel.
Lt Nokyu : Les charges retenu contre Parapluie SARL sont les suivantes : Fraudes, falsifications de documents administratif, corruption des élus municipaux, possessions illégales d'armes, développement d'explosifs militaire, association avec des criminels, et tentative de meurtre sur l'une des employée récemment. Et la liste risque de s'allonger, au fur et à mesure que nous creusons dans l'enquête.
Antoine : Comme quoi, les policiers ici ont fort à faire. Madame la procureure ! Vous êtes toujours sur la brèche pour coincer les criminels vous aussi.
Sae : Nous avons suffisamment fort à faire avec les petits criminels. Si nous ajoutons à ça des tueurs à gage, les mafias, les terroristes et les BOFABOLD, l'année à venir risque d'être longue.
Kefan : Donc les BOFABOLD sont considéré comme criminels, et sont la cible d'une enquête.
Antoine : Sexe, prostitution, sexe, trafique de sexe et sexe, tout les dessous de cette affaire…
Anoter : Putain, sérieusement…
Futaba : zzz…
Franck : Encore ?!
Mitsuru : Et elle s'endors sur toi.
Franck : Mon rembourrage naturel est confortable.
Anoter : Tiens ?
Franck : Quoi ?
Anoter : Non, rien.
Kawakami : Ho, je suis de ton avis.
Kefan : Hmm ? Ha, oui.

Flash foward…

Sae : Oui…je me souvient bien de ce reportage.
Franck : Pour le coup, nous aussi.
Anoter : Ouaip, et c'était pas très gentil de votre part.
Kefan : Heu, Ano…je crois que tu ne devrait pas trop lui en demander…
Anoter : Ha, oui.
Sae : Il s'est ensuite passé plusieurs mois sans que vous fassiez parler de vous. Vous aviez décidé de prendre des vacances ?
Franck : Pas exactement. Disons plutôt que nos actions suivantes étaient un peu plus….privé, dirons-nous.

Jeudi 24 Août, 9h24…

Nos héros s’étaient levé tôt pour en arriver ici…à la plage ! Et oui, les vacances étaient presque terminé, et les BOFABOLD en avaient oublié de profiter de l'été. Et même si certains étaient réticents à sortir, ils se mirent d'accord pour trouver une plage peu fréquenté. Et ils trouvèrent ce qu'ils cherchaient.
Et part chance, les cabines étaient toutes libre. Concernant les mecs, à part Yusuke qui avait gardé un sweat à capuche, tout les autres étaient en short de bain. Et concernant les filles…
Naoto : Je…je n'arrive pas à croire que vous m'ayez traîné ici…
Elle portait un maillot une pièce, de même que Rio.
Kefan : C'est sur, c'est impossible que tu passe pour un mec.
Shinjiro : J'avoue…
Takemi : Et tu penses quoi de moi ?
Tae portait un maillot deux pièces, intégralement noir.
Kawakami : Tae, tu me rappelles ce que je fait ici, avec mes élèves ?
Sadayo avait gardé un T-shirt.
Takemi : Parce que nous sommes aussi entre collègues, pas vrai, Isako ?
Toriumi : Certes….et puis, ce n'est pas désagréable. De prendre le soleil, je veut dire.
Elle aussi portait un deux pièces, plutôt terne.
Franck : Bien entendu.
Haru : Au moins, la journée sera reposante.
Elle portait quelques chose de plutôt coloré, et fleurit.
Hifumi : Je vous remercie pour l'invitation.
Son deux pièces était bleu, à poix blanc.
Rise : Ne soit pas aussi timide, voyons. Nous restons entre amis.
Chihaya : Au moins, personne ne viendra me demander mon âge, ici.
Malgré ce que certains pourraient imaginer, son maillot la mettait bien en valeur.
Mitsuru : Ça donne l'impression d'avoir notre propre plage. Ça pourrait bien se faire, en fait…
Elle portait un élégant maillot, assortie de fleurs.
Shinjiro : La reine de la plage, le retour…
Chihiro : Mitsuru, tu es toujours élégante, en toute circonstances.
Elle n’affichait aucune nervosité, malgré qu'elle soit entouré de garçon, en maillot deux pièces.
Makoto : C'est la que je me dit que j'aurai pu être plus créative…
Anoter : Non, je change rien.
Franck : Il manque quelqu'un…
Makoto : Elle arrive.
Et en effet, l'on vit apparaître la petite lycéenne, dans son maillot jaune, ses cheve….
QUOI ?!
Elle avait enroulé sa serviette autour de sa tête, la masquant complètement. Il est dur de décrire la réaction de ses amis.
Futaba : Choula ! Ché cool chome cha…
Makoto : Non, ça ne va pas. Attend…
La présidente du conseil des élèves enleva la serviette, et la longue chevelure de Futaba fut libéré. Mais cette dernière était plus timide que jamais.
Futaba : Je…je suis…
Franck : Parfaite.
Shinjiro : Si Franck le dit, alors tu n'as pas à t'en faire.
Kefan : Ouaip, je confirme.
Le groupe passa la journée à s'amuser et à se détendre, nageant, créant des châteaux de sable, mangeant des crevettes vendu par un cuisinier au camion, jouant au beach volley…Dans l'après-midi, ils aperçurent même Gérard, Robin et Ai, mais préférant leurs tranquillité, ils restèrent dans leur coin.
Ils ne rentrèrent que lorsque le soleil se coucha, profitant du crépuscule le plus possible. En tout cas, chacun à leur façon.

Samedi 26 Août, 9h54, à New Shibuya…

Kefan était parti seul, faire une course. Comme d'autre de ses amis, même si il n'était pas au courant de tout, il avait une relation spéciale à entretenir. Enfin, comme les autres, c'est vite dit. Après tout, quel genre d'homme réussit à conquérir sa prof ?
Pour une fois, il ignora complètement les magasins d'informatique et de jeux vidéo, pour entrer directement chez un tailleur réputé. Et il savais exactement ce qu'il allait acheter à Sadayo. Même si ça aurait pu être marrant de lui acheter de la lingerie, Kefan savais que c'était bien trop tôt pour ça, et qu'il valait mieux rester soft. De plus il savait que le voyage scolaire se déroulera dans un pays froid, alors quoi de mieux qu'un cadeau pratique.
Il trouva rapidement ce qu'il était venu chercher : une écharpe plutôt chic, et remplissant bien sa fonction première. Ouaip, c'est un bon début pour un cadeau. Il la pris, et se dirigea vers la caisse, au moment où…
Gérard : Tiens, salut Kefan.
Kefan : Gérard…
Gérard : Tu sais que cette écharpe est un modèle pour fille ?
Kefan : Sans déconner, Sherlock.
Gérard : Alors pourquoi tu la prend ?
Kefan : C'est pour faire un cadeau.
Gérard : Ha, je vois. Bon, bonne journée.
Kefan : Ouaip, à toi aussi. (ouf…manquerai plus qu'il soit au courant…)

Lundi 28 Août, 13h03, au centre commerciale de New Shibuya…

Franck, Kefan et Anoter venait de se défouler à la salle d'arcade. Mais il était temps de manger quelque chose. Alors notre trio se dirigeait vers le Big Bang Burger le plus proche, au moment où Frédérick les rejoint, dans un couloir désert.
Frédérick : Salut. Ça fait un moment que nous ne sommes pas venue dans le metaverse.
Franck : Ça ne me dérange pas de te voir, mais si quelqu'un voit un canard ici, ça risque de poser problème.
Kefan : Attend (ouvre son sac de lycée, et y fait entrer Frédérick). Si quelqu'un arrive, cache-toi.
Anoter : Sérieusement, nous sommes mis dans des situations de plus en plus absurde. Même Makoto a des problèmes avec sa sœur.
Franck : Ha bon ?
Anoter : Ouaip. Elle m'a envoyer un message. Apparemment, sa sœur lui demande quel genre de changement il y a eu dans sa vie. Je crois qu'elle se doute que…
Kefan : Que tu sors avec elle ?
Anoter : Comment tu le sais ?
Kefan : L'intuition mon gars. Et du coup ?
Anoter : Et bien, il vaudrait mieux que je ne rencontre pas ma belle sœur, parce que manifestement, elle est….remonté.
Franck et Kefan eurent du mal à ne pas éclater de rire.
Franck : C'est la vie….du coup, on va manger ?
Frederick : Super idée. J'ai d'ailleurs repéré un super coin avec des pancakes qui ont l'air vraiment bon. Ou peut-être que c'était des crêpes…bref, il vous faudra en commander pour moi.
Kefan : Peut-être pour le dessert. Mais allons au BBB d'abord.
Anoter : Et on fait quoi après ?
Frederick : Après ça, je vous laisserai. J'ai rencontré une canne au Park. Alors…
Kefan : Il faudra réviser un peu aussi. Histoire que l'on profite vraiment du voyage scolaire.
Franck : C'est vrai. D'ailleurs, je me demande où on va aller.
Anoter : Il font le coup a chaque fois, de garder secret la destination. Alors que ça nous permettrait de mieux nous préparer.
Kefan : Hmm…
Franck : Il faudrait aussi qu'on s'entraine un peu à l'occasion. Même si…l'idée de laisser nos activités extrascolaire de coté quelques temps ne me déplait pas.
Kefan : Je suis d'accord. Ca permet de mieux se consacrer à d'autre choses.
Anoter : Du genre ?
Mais à ce moment, des bruits de pas se firent entendre. D'un coup, Frederick entra dans le sac de Kefan, et ce dernier ferma la fermeture éclair.
Gérard : Tiens, salut les gars.
Franck : Salut. T'es pas avec Ai aujourd'hui ?
Gérard : Je vais la rejoindre, là. On sera que tout les deux, Robin n'a pas voulut venir.
Anoter : Tant mieux pour vous, non ?
Gérard : Oui, je suppose. Mais bon, dommage que je doive attendre ce soir pour aller manger avec elle. J'essaie de perdre du poids, pour elle.
Kefan : C'est très admirable. Surtout venant de toi.
Gérard : Ouaip, hein ?! Bon, je vous laisse, et régalez-vous bien.
Anoter : Comment ça ?
Gérard : Bah, vous allez pas manger des crêpes ?
Franck : Pas vraiment. On va au BBB.
Gérard : Ha bah…je comprend pas…Aller, à la prochaine.
Gérard parti dans la direction opposé de nos amis. Kefan libéra d'abord Frederick, et celui-ci s'envola directement. Et…
Kefan : Mais…MAIS ! IL A CHIER PARTOUT DANS MON SAC !!!!!

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   Posté le 10-01-2021 à 21:22:47   Voir le profil de Franck-Fullbuster (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Franck-Fullbuster   

Jeudi 31 Août, 11h21…

Shinjiro pouvait enfin revenir à l'internat. Enfin ! Ses blessures avaient quasiment disparu, et il ne se sentait plus gêné dans ses mouvements.
Il arriva devant les portes de l'internat, son sac sur l'épaule. Il entra dans le couloir, satisfait d'être de retour, et en vie. Il avança, pensant se diriger directement à la chambre 333, afin d'annoncer son retour…
Takemi : Tu crois vraiment que tu vas pouvoir m'éviter ?
Elle l'attendais, dans l'encadrement de la porte de l'infirmerie, laissé ouverte.
Shinjiro : Manifestement, non.
Takemi : Aller. Tu ne vas pas te soustraire aux examens de santé. C'était le deal, n'oublie pas. Et puis, ça ne va pas durer toute la journée, quelqu'un à rendez-vous avec moi après. Et non, pas de ce genre.
Shinjiro : Je n'ai rien dit.
L'examin dura seulement quelques minutes.
Takemi : Il semblerait que tout fonctionne chez vous, jeune homme.
Shinjiro : Jeune homme…alors vous préférez les plus jeunes ?
Takemi : Ça vous intéresse vraiment de le savoir ?
Shinjiro : Je ne vais pas dire non.
Takemi : Je vois…
La jeune médecin se leva, et tourna un cadre photo posé sur son bureau. C'était une photo de Tae, plus jeune, accompagné d'un homme plutôt charmant.
Shinjiro : Vous n'êtes pas seul….tant mieux pour vous.
Takemi : Cette photo à était prise il y a trois ans. Quelques jours avant…qu'il ne se fasse tuer.
Shinjiro : Je suis désolé.
Cette fois, il se sentait vraiment mal à l'aise.
Takemi : Ne le soit pas. Il s'est fait tiré dessus.
Shinjiro : C'est donc ça. C'est suite à ça que vous avez appris à traiter les blessures par balles.
Takemi : Si la médecine avait put être plus efficace à cette époque…enfin, bref. C'est une balle de calibre 38 qui en est responsable.
Shinjiro : Le même calibre que celui qui a causé mes blessures.
Takemi : Et le même tireur aussi.
Shinjiro : Je vois. Je suppose que ça n'a pas du être facile pour toi.
Takemi : En fait, ça m'a permit de faire le tri. Je me suis souvenue de ses dernières volontés. Il insistait sur le fait que…je devait continuer à vivre. Que je ne devait pas rester ancré dans le passé.
Elle décida de s'assoir à côté du lycéen.
Takemi : Au début, je lui en ai voulu de me demander quelque chose d'impossible. Et puis, j'ai voulu faire en sorte que ce genre de chose n'arrive plus jamais. Et dans ma quête de cette médecine, je me suis rendu compte que je ne voulait pas rester seule. Que je voulait que quelqu'un prenne soin de moi, et que je prenne soin de lui. Alors…
Shinjiro : Je comprend. Alors, je vais te laisser, et…
Mais elle lui agrippa le bras.
Takemi : Tu n'as pas écouté ce que j'ai dit ?
Shinjiro : Mais…
Et elle le poussa sur le brancard, commençant déjà à le rejoindre.
Takemi : Je vais vraiment prendre soin de toi. Et je te prévient : « non" ne sera pas une réponse.
Et elle posa ses lèvres sur les siennes.

Voix mystérieuse : Il est miens, et je suis sienne. Nous avons surmonté les dangers depuis notre rencontre du destin. En liants la Mort à la Face Cachée, nous avons ouvert une porte vers l'éternité, menant au potentiel infinie.

13h21…

Kefan vérifia d'un coup d'œil rapide si il y avait quelqu'un dans le couloir. Personne. Tant mieux. Son expérience chez les BOFABOLD promettait de servir pour de bonne causes.
Il sorti de la chambre de Sadayo, suivi par cette dernière.
Kawakami : De toute façon, j'ai quelque chose à faire.
Kefan : Une course ?
Kawakami : Non, un rendez-vous médicale.
A ces mots, la porte de l'infirmerie s'ouvrit, laissant sortir Tae et Shinjiro. Tout les quatre ne s'attendaient pas à tomber nez a nez, deux par deux qui plus est.
Takemi : Sadayo ! Vous êtes un peu en avance !
Kawakami : C'est que…je n'aime pas vraiment être en retard. Et, Aragaki….
Shinjiro : Examens forcé. Kefan ?
Kefan : Cours supplémentaires.
Shinjiro : Comme si t'en avais vraiment besoin…
Kefan : Et toi, t'as l'air plutôt en forme.
Takemi : Bref ! Sadayo, si tu veux bien…
Kawakami : J'arrive.
Les deux femmes proche de la trentaine entrèrent dans l'infirmerie, en fermant la porte derrière elles. Les deux lycéens restèrent un petit moment dans le couloir, l'un en face de l'autre, adossés aux murs, la tête baissé.
Shinjiro : Je la ferme si tu la fermes.
Kefan : Ça me va.
Un cour silence tomba. Puis, Kefan releva un peu la tête. A son grand étonnement, Shinjiro souriait.
Kefan : Félicitation pour ta réussite.
Shinjiro : Toi aussi.
Puis, ils rirent de bon cœurs, avant de monter au premier étage.

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   Posté le 06-03-2021 à 22:10:20   Voir le profil de Franck-Fullbuster (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Franck-Fullbuster   

Samedi 2 Septembre, 16h12, au QG des BOFABOLD…

Le groupe avait passé la journée à s'entraîner. Bien qu'ils n'avaient plus de cible à réformer, il n'était pas question de se relâcher. C'est ainsi qu'ils prirent une pause bien mérité, avec un goûter préparé par Futaba.
Mitsuru : C'est…très sucré tout ça.
Kefan : Je ne vois pas le problème.
Shinjiro : Tu devrais quand même faire attention. Tu sais, pour des raisons…académique.
Kefan : Et toi, comment va ta santé ?
Un certain silence suivi, tandis que Kefan et Shinjiro se défiaient du regard.
Makoto : J'imagine que c'est pas un goûter de temps à autres qui va nous faire du mal.
Anoter : Pour toi, ça ne changera rien.
Futaba : Ho…comme ils sont mignons ces deux là.
Mitsuru : C'est vrai que vous sortez ensemble maintenant ?
Makoto : Quoi ?! Mais…
Anoter : Tans pis pour le secret…
Chihiro : Allez Makoto. Il n'y a rien de grave, tu sais. Et puis, je suis contente pour toi. Tu en avais besoin.
Kanji : C'est vrai. Et Ano est quelqu'un de fiable. Crois moi, il ne parlais que de toi.
Anoter : C'est pas tout à fait vrai…c'était plus sous entendu.
Mais Makoto ne disait plus rien, se contentant de rougir.
Anoter : Par contre, évitez juste de me dénoncer à sa sœur. Je ne sais pas pourquoi, mais je crois qu'elle veut ma mort.
Franck, Kefan et Yusuke se mirent à pouffer de rire.
Ren : J'avoue que nos réunions vont me manquer, pendant cette semaine.
Makoto : Oui, les troisièmes années vont faire leur voyage scolaire en Finlande.
Kefan : Ouaip, et bien au nord en plus.
Makoto : Exact. Mais…comment tu le sais ? Normalement, les élèves sont mis au courant la veille du départ.
Kefan se contenta de boire sa canette de soda.
Yusuke : Nous irons à Hawaï.
Chihiro : Et les premiers années iront à Paris. Une ville romantique paraît-il.
Kanji : Ça sera intéressant.
Futaba : (soupirant) Pourquoi je doit y aller seule…
Haru : Du coup…on se ramène des souvenirs ?
Rio : Ça va être compliqué de faire plaisir à tout le monde. Mais…je pensait qu'on pourrait ramener de quoi décorer cette cabane.
Franck : C'est une bonne idée.
Mitsuru : Alors c'est décidé. On ne s’encombre pas inutilement, et on prend de quoi décorer seulement. Ça sera amusant à notre retour.
Franck : Mitsuru qui parle de s'amuser, il va neiger ?
Makoto : On s'améliore, à votre contact.
Anoter : On va dire ça comme ça. Assurons nous de ne rien oublier d'important.
Kefan : C'est toi qui dis ça ?

https://www.youtube.com/watch?v=k_LTarbNgSM
Le soir venu, a 20h49, au club de jazz de new Kichijoji…

Franck : Nous avons bien fait de venir assez tôt. Nous avons eu une table pour nous.
Futaba : Ça me fait bizarre de venir ici. Cet endroit fait plutôt…adulte.
Franck : Ne t'en fait pas pour ça. Nous sommes là juste pour se détendre.
Futaba : Mais…ça ne te dérange pas qu'on nous vois ensemble ?
Franck : Absolument pas. Et nous ne sommes pas les seuls.
En effet, deux table plus loin, Anoter et Makoto avaient eu la même idée.
Futaba : J'ai même aperçut Inari. Mais on ne voit pas sa table d'ici.
Franck : Je suppose qu'il a pris de quoi dessiner.
Ella Strong : Alors, on s'amuse bien les jeunes ?
La chanteuse du club venait de s'adresser à eu. Une femme, qui malgré son âge avancé paraissait jeune, chaleureuse, et cheveux noir détaché.
Franck : Je me doutait bien que tu serais là.
Futaba : Tu…tu connais Ella ?
Franck : Bien obligé en fait.
Ella : Ne vous en faite pas, je voulais juste passer dire bonsoir à mon fils, alors vous n'avez rien a craindre mademoiselle.
Futaba : Vous…madame Nokyu ?
Ella : (rigolant) Il faudra que l'on discute plus, tous ensemble, lorsque nous aurons le temps.
Franck : J'imagine, oui.

Pendant ce temps, à une autre table…

Anoter : Le voila qui sympathise avec la chanteuse maintenant…
Makoto : Je…doute que ce soit bien grave. Si il est venu avec Futaba, c'est pas pour aller voir ailleurs. Et puis, ils ont l'air plutôt proche maintenant.
Anoter : Franck et Futaba…
Makoto : Tout le monde s'est rendu compte de ce que Franck ressent pour elle. Il a était le plus affecté par son palace. Et tout les deux vont beaucoup mieux depuis que tout ça s'est terminé.
Anoter : Oui, tant mieux pour eux….mais, et si nous parlions des autres une autre fois ?
Makoto : Ça me va. Au fait, je vais avoir ma moto très bientôt.
Anoter : Ho, c'est cool ça. Tu as pu économiser assez pour en acheter une ?
Makoto : En fait, je vais en avoir une en cadeaux.
Anoter : Hmmm, aurais-je un rival ?
Makoto : Non, pas vraiment. En fait, c'est Mitsuru qui m'en offre une, dont elle ne se sert plus. Elle est d'occasion, mais elle fonctionne comme si elle était neuve.
Anoter : Donc j'ai une rivale.
Makoto : Mais t'as finis ? (Dit-elle en rigolant)

Le concert avait commencé depuis quelques minutes lorsque le procureur Nijima entra dans le club de jazz. Bien que le travail ne manquait pas, elle avait vraiment envie de prendre une pause, et d'essayer quelque chose de nouveau.
Elle constata rapidement qu'il ne restait plus qu'un siège, à une table déjà occupé par un jeune homme. Un lycéen probablement, au cheveux bleu, qui dessinait sur un carnet.
Sae : (c'est la seule place…au pire…)
Sans même s'en rendre compte, la femme était arrivé devant le lycéen.
Sae : Cela vous dérange si je m'assoit ?
Yusuke : Non, vous pouvez y aller.
Deux minutes plus tard, un cocktail alcoolisé lui fut servi. Et bien que de nombreux regards se tournaient vers leur table, elle décida de ne pas y prêter attention.
Sae : Vous venez souvent ici ?
Yusuke : Pas vraiment en fait. Deux de mes amis sont venu accompagné. J'ai préféré ne pas les déranger et plutôt chercher de l'inspiration.
Sae : Et vous…vous êtes seul ?
Yusuke : Oui…même si je côtoie beaucoup de fille, notamment qui me servent de modèle. Elles sont inspirante, mais…elle ne sont pas aussi belle de l'intérieur que de l'extérieur. C'est pour ça que je préfère me concentrer sur mon art pour l'instant.
Sae : (Étrange…la plupart des garçons de son âge ne sont pas aussi difficile. Mais qui est-il ? )
Yusuke : J'imagine que vous ne voulez pas me servir de modèle, madame… ?
Sans s'en rendre compte, Sae bloqua quelques secondes. Puis…
Sae : Procureure Sae Nijima. Et…je suis venue seule aussi. Mon boulot ne me laisse pas…(mais qu'est-ce que je raconte ? )
Yusuke : Nijima…
Sae : Vous êtes plutôt du genre traditionnel vous.
Yusuke : Mes amis disent plutôt excentrique. Quant à vous, j'imaginait les procureurs un peu plus…rigide.
Sae : (soupirant) Vous ne mâchez pas vos mots. C'est aussi pour ça que je suis venue. Pour me détendre un peu, oublier le boulot.
Yusuke : Ça me revient. C'est ce reportage sur Parapluie SARL.
Sae : Les BOFABOLD se feront arrêter plus tard.
Yusuke : Vous êtes donc déterminé.
Sae : C'est à la police de s'occuper des criminels. C'est grâce à notre système que notre société tiens debout. Nous sommes au Japon ici. Mais…je vais arrêter de parler du boulot pour ce soir.
Yusuke : Tout les adultes sont-ils autant stressé par le travail ?
Sae : Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, je suis une femme.
Yusuke : Je m'en suis rendu compte.
Sae : Et je doit tout donner pour ne pas être laissé sur la touche.
Yusuke : Homme ou femme, le plus important est d'être compétent, non ?
Sae : Non. Les femmes sont clairement sous-estimée. Si seulement je pouvais…
Yusuke : Changer le monde ?
Sae : (soupirant) C'est impossible, pas vrai ?
Yusuke : Ce n'est qu'une question de point de vue. Si j'ai choisit de persévérer dans l'art, ce n'est pas seulement parce que j'en ai la possibilité. C'est aussi pour changer le monde. A ma manière.
Sae : Donc, selon vous, je devrait changer de perspective ?
Yusuke : Juste le temps d'une réflexion. N'abandonnez pas votre but.
Sae ne s'attendait pas du tout à ce genre de discussion, qui plus est avec un lycéen. Elle ne quitta le club que deux heures plus tard. C'est sur le chemin du retour qu'elle se rendit compte de quelque chose…

Flashfoward…

Sae : Figurez-vous que j'ai oublié de lui demander son nom.
Franck : Et une fille de plus dans le fan club de Yusuke.
Kefan : Mais c'est pas a nous normalement de raconter ce que…
Sae : Yusuke ?
Anoter : Bravo, maintenant elle a une piste.
Sae : Et quel est son nom de famille, à votre ami Yusuke ?
Franck, Kefan et Anoter : Utsukushii !
Sae : (soupirant) Ça ne mènera à rien…
Kefan : Plus sérieusement, cette discussion que vous avez eu avec ce bel homme est très intéressante. Et vous pourriez changer le monde avec nous.
Franck : Surtout que nous, on n'a rien contre les femmes. Pas vrai Ano ?
Anoter : Ça devient lassant…mais je pense qu'on pourrait demander son avis à Sojiro.
Franck : Non, c'est pas utile…

La même soirée, dans la chambre de Kawakami…

Kawakami : Vivement que cette année scolaire se termine, et que tu ne sois plus mon élève.
Kefan : Tu en as déjà marre de moi ?
Kawakami : Non, bien au contraire. J'aimerais que l'on puisse passer du temps ensemble sans avoir à se cacher. J'ai vu Nijima qui était accompagné par Lux. Ainsi que Isshiki et Nokyu.
Kefan : Ha ! Je le savais !
Kawakami : Je crois qu'ils parlaient du club de jazz. Alors dès que tu n'es plus lycéen, tu m'emmènera là bas.
Kefan : Ça marche. Comme tu dis, vivement que l'année scolaire se termine.

Onsen de l'étage des filles, en pleine nuit…

C'est en étant un peu déprimée que Rio décida de prendre un bain nocturne, dans le but de se détendre. Peut-être aurait-elle du s'y prendre plus rapidement. Mais si il le faut, elle n'avait aucune chance dès le départ. Elle ne pouvait pas en vouloir à sa rivale, mais quand même…
Elle poussa la porte, et malgré la vapeur, elle vu qu'il y avait quelqu'un d'autre. Et…une odeur d'alcool ?
Rio : Ma…madame Toriumi ?
Toriumi : C'est «mademoiselle »…et surement pour longtemps.
Rio : Vous aussi vous aviez besoin d'un bain nocturne…
Toriumi : Toutes mes condoléances que tu n'es pas réussit à avoir le mec que tu voulais. Prend donc un verre.
Rio : Je…je n'ai pas le droit de boire.
Toriumi : Et alors ? T'es flic ? T'en vois un ?
Sans un mot, elle commença par accepter un premier verre.
Rio : Anoter…je pensais que notre complicité pourrait aller plus loin…mais qu'est-ce qui cloche avec moi ?
Toriumi : Avec nous.
Rio : Alors vous aussi…
Toriumi : Ouaip…Remia…
Rio : Vous voulez dire Kefan ? Alors vous les préférez plus jeune. Moi c'est un peu l'inverse…
Toriumi : Intéressant….
Sans même s'en rendre compte, elles prirent un deuxième, puis un troisième verre de saké, tout en se demandant ce qu'elles avaient pu faire de travers, pestant de plus en plus contre les garçons.
Après cinq verres…les deux femmes s'étaient de plus en plus rapproché au fil de la discussion.
Rio : Isako….pourquoi et depuis quand vous avez posé votre main sur…
Isako : Chuuut…qu'est-ce qui devrait nous empêcher de nous rapprocher ?
Rio : Nous rapprocher ? Mais… !
Isako : Chuuuutt…
Rio : Mais je suis une élève. Et vous êtes l'une de mes profs.
Isako : C'est justement ça le plus amusant, et le plus intéressant…

https://www.youtube.com/watch?v=akvE3llUdzc

Voix mystérieuse : Elle est mienne, et je suis sienne. Nous avons surmonté les dangers depuis notre rencontre du destin. En liants le Chariot à la Rêveuse, nous avons ouvert une porte vers l'éternité, menant au potentiel infinie.

Rio : Hoo girl ! Est-ce que Kenji a déteint sur moi…
Toriumi : Kenji ?
Rio : Un ami d''enfance, qui préférait les femmes plus âgée…
Toriumi : Ne pense plus à eux.
Rio : Je…pourquoi pas.

https://www.youtube.com/watch?v=26lSlN5Ca0w&t
Lundi 4 Septembre, 9h19, à l'aéroport…

Tout les lycéens avaient était amené par bus à l'aéroport. Notre groupe favoris s'était rassemblé une dernière fois avant le décollage.
Futaba : J'aurai bien voulu venir en Finlande moi aussi. En plus, je serai la seul du lycée dans l'avions. Celui que prend les autres premières années était complet.
Franck : Courage Futaba. Et puis, c'est juste une semaine. Alors profites-en pour t'amuser.
Futaba : Ok…
Chihiro : Et puis ne t'inquiète pas. Nous serons là aussi.
Kanji : C'est vrai. On abandonne personne.
Yusuke : Hmm, Hawaï…je me demande ce que l'on va découvrir de beau.
Ren : De toute façon, avec toi…
Anoter : Attention, confession…
Ren : Je sais pas si tu sais, mais les hommes ne m'excite pas…
Plusieurs personnes : Sauf Yusuke.
Yusuke : Hmmm ?! Qui a dit ça ?
Kefan : C'est…pas important. Enfin bref, j'espère que tout va bien se passer dans notre chalet.
Naoto : Un chalet ?
Shinjiro : Un problème ?
Naoto : Non. Ça me rappelle juste une affaire criminelle, au Québec.
Kawakami : Bon, dépêchez vous tous d'embarquer. Il est l'heure de partir.

Aéroport d'Helsinki, à 21h37

L'avion arriva en pleine nuit. Sans attendre, les professeurs guidèrent les élèves vers les bus. Ils arrivèrent 15 minutes en avance, quand le portable de Kawakami sonna.
Kawakami : Sadayo, j'écoute…comment ça….COMMENT ÇA ? C'est….on avait vraiment besoin que ce genre de chose arrive…franchement, quel organisation….très bien….je m'en occupe….elle viendra avec nous du coup….ne vous en faite pas….oui, je le préviendrait plus tard.
Elle raccrocha en soupirant.
Kefan : Quelque chose ne va pas Sa…madame ?
Kawakami : Il faut que je retourne à l'intérieur.
Makoto : Allez y. Je m'occupe des élèves.
Takemi : Personne ne sortira du rang.
Kawakami : Merci.
Tandis que Kawakami partait de nouveau dans l'aéroport, Takemi et Makoto, aidées par leurs amis et « amis", s'occupèrent de maintenir l'ordre. Heureusement, les élèves n'étaient pas d'humeur dissipée. Même Gérard et Robin étaient trop fatigué pour amuser la galerie.
Lorsque la prof principale revint, cela ne sembla pas surprendre grand monde de la voir accompagner une élève de première année. A l'exception de certains autres…
Franck : Mais…comment ça se fait ?
Futaba : L'avion dans lequel j'était à eu un problème de navigation.
Mitsuru : Plutôt ironique…
Futaba : Et vu qu'il n'y aura pas de vol vers Paris avant quelques jours…
Kawakami : Isshiki va venir avec nous.

https://www.youtube.com/watch?v=ySjXFjLTagQ

Quelques temps après, les bus arrivèrent. Il n'y avait bien évidement pas de places attitré, donc chacun se rua là où il avait envie.

Pendant ce temps, au milieu du bus…
Franck : Je ne m'attendait pas à entendre cette musique dans le bus.
Anoter : En effet…
Futaba : Je connais pas.
Anoter : Le groupe, c'est Wolfmother.
Franck : Et la chanson, c'est Joker and the thief.
Makoto : Pourquoi est-ce que ça m'évoque quelque chose…
Franck : Du coup, il est passé où Kefan.
Futaba : À côté de votre prof.
Anoter : Plutôt étrange. C'est pas à la présidente normalement d’être à côté d'elle normalement ?
Makoto : Tu es déçu ?
Anoter : Non. C'est juste que…Même si il ne restait peu de place, ben…quel genre d'élève passe autant de temps avec sa prof ?
Makoto : Il est peut-être juste motivé pour ses études. Après tout, ses résultats sont excellent.
Franck : En tout cas, j'ai juste hâte qu'on arrive. Histoire de poser les bagages. D'ailleurs, quelqu'un sais comment on s'organise pour les chambres ?
Makoto : Vous serez par chambre de trois. Et moi…le lycée a décidé de me donner une chambre individuelle, en raison de mon statue. Tout comme pour Kawakami et Takemi.
Anoter : Chambre de trois…du coup, je propose qu'on ne change pas nos habitudes. On préviendra Kefan à l'arrivée.
Franck : Ça marche.
Futaba : … je me demande où je vais dormir ce soir…
Franck : Je demanderai à Mitsuru si elle peut t'accueillir.
Futaba : J'espère que ça ne la dérangera pas…
Franck : Si la demande viens de moi, ça devrait aller. Et de toutes façon, à moins qu'elle ai prévu d'inviter quelqu'un d'autres, nous sommes tous amis.
Makoto : Elle sera surement avec Haru. Donc il restera une place.

Et à l'avant du bus…

Kawakami : Et donc, nous devions être discret…
Kefan : Il n'y avait plus de place ailleurs. Et puis, je voulais vous poser une question sur…
Kawakami : Tes résultats sont suffisamment élevé pour te passer de mon enseignement.
Kefan : Oui, mais c'est moins drôle. Et de toutes façons, je vais suffisamment être collé à mes potes pendant cette semaine.
Kawakami : J'imagine que ça va être compliqué de se voir cette semaine.
Kefan : On attendra la nuit.
Kawakami : Mais…si on te voit dans les couloirs en pleine nuit…
Kefan : Vous oubliez à qui vous parlez. C'est une mission difficile, mais je l'accepte.
Kawakami : Je ne pensais pas que je serais amené à vivre aussi…dangereusement. Mais le pire, c'est que ça me plait beaucoup.


Edité le 07-03-2021 à 21:09:26 par Franck-Fullbuster




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   Posté le 21-03-2021 à 20:20:08   Voir le profil de Franck-Fullbuster (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Franck-Fullbuster   

22h22, quelque part au nord de la Finlande…

Les bus arrivèrent finalement au parking du chalet en montagne. Ce bâtiment, surement construit dans les années 50, était haut de quatre étages, et le volume du bâtiment laissait penser que sa capacité d'accueil devrait être suffisante pour nos chers troisième année.
Les élèves indiquèrent leur groupe pour le séjour, et furent réparti dans les chambres en conséquence. C'est ainsi que Anoter, Kefan et Franck atterrirent dans la chambre 203. En entrant dans celle-ci, ils constatèrent qu'elle n'était pas beaucoup plus petite que leur chambre d'internat.
Franck : On voit bien que c'est un pays qui ne possède pas beaucoup d'habitants. Comparé à ici, chez nous on se marche dessus.
Kefan : Au moins, on sera pas entassé les uns sur les autres.
Anoter : Heureusement…
Franck : De toutes façon, je me doute que tu rejoindras ta belle.
Anoter : Pas ce soir…
Kefan : La migraine ?
Anoter : Non, la fatigue.

Le lendemain….

Les élèves prirent leurs petit déjeuné tous ensemble, dans la salle à manger commune.
Franck : Ça fait combien de temps que nous n'avions pas pris le premier repas de la journée avec tout les autres ?
Kefan : C'est vrai que, depuis qu'on prend quasiment tout nos repas dans notre chambre, ça fait bizarre.
Shinjiro : Ça fait aussi bizarre de ne pas avoir à s'occuper de Koromaru.
Anoter : J'y pense…qui s'en occupe ?
Kefan : Sojiro. Il lui donnera les reste, le soir.
Futaba : Il suffisait juste de lui demander gentiment.
Franck : De toutes façon, c'est pas comme si il pouvait te refuser quoi que ce soit.
Makoto : Je suis sur qu'il n'est pas le seul dans ce cas…
Franck : Hmm hmm.

Un peu plus tard, Kawakami emmena Futaba, afin qu'elle puisse trouver des vêtements chaud. En sortant du bâtiment, elle ajusta sa nouvelle écharpe. Dehors, il y avait déjà quelques élèves, dont…
Gérard : Tiens, bonjour madame. Sympa votre écharpe. On dirait la même que celle que Kefan a acheté pour offrir à une fille.
Pendant un moment, Kawakami se crispa, redoutant que quelqu'un comprenne vraiment ce qu'il venait de dire. Heureusement, personne parmi les troisièmes année ne semblaient y avoir prêté attention. Personne parmi les troisièmes années…
Kawakami : Coïncidence, hein ?! J'emmène Isshiki trouver des vêtements chaud à sa taille. Alors soyez sage.
De son côté, Futaba suivi la prof en silence, digérant l'information qu'elle venait d'attraper au vol. Vraiment ? C'est vraiment possible, un élève et sa prof ?

Le premier jour, les élèves visitèrent un ancien temple lié à la mythologie Scandinave. Cette expédition rappela aux BOFABOLD une autre expédition du mois dernier. Mais cette fois, pas d'ombre, et pas de laboratoire secret.
La visite fut plutôt amusante, et à midi, ils mangèrent dans une maison viking, reconvertie en restaurant typiquement nordique.
Franck : Je prendrai bien tout mes repas ici.
Kefan : Tellement surprenant…
Shinjiro : J'avoue que l'ambiance est sympa.
Futaba : C'est pas banal, venant de toi qui n'est pas très sociable…
Mitsuru : Heu…
Makoto : Heu…
Haru : Heu…
Anoter : Je trouve que Shinji c'est bien amélioré.
Mitsuru : C'est exactement ce que j'allais dire.
Futaba : Mais j'avoue que j'aime bien ici.
Franck : Toi aussi tu t'en sors très bien.

Un peu plus loin…
Kawakami : Bon, pour l'instant, tout se passe bien. Malgré l'invité surprise…
Takemi : Du coup, tu as trouvé une solution ?
Kawakami : A quel sujet ?
Elle n'attendit pas la réponse pour boire une gorgée de vin.
Takemi : Pour inviter ton mec dans ta chambre.
La prof recracha tout ce qu'elle avait commencé à boire.
Takemi : Et si il te voyait, je suis pas sur qu'il trouverai ça très sexy. Quoique….
Kawakami : Mais…qu'est-ce qui te fait croire que j'ai quelqu'un ?
Takemi : Ta réaction pour commencer. Et le fait que tu passes beaucoup de temps avec Remia.
Kawakami : Je…
Takemi : Je ne te fait pas de reproche, tu sais.
Kawakami : Je sais que je ne devrais pas mais…c'était son idée.
Takemi : Oui, enfin, c'est pas une idée qui t'a déplu manifestement. Et ne te prend pas la tête avec les lois. Est-ce que je me prend la tête, moi ?
Kawakami : Donc toi aussi tu as quelqu'un ?
Takemi : Shinji.
Kawakami : Tu veux dire Aragaki ?
Takemi : Oui.
Kawakami : Mais il est beaucoup plus jeune que…
Takemi : Hmm ?!
Se rendant compte de ce qu'elle s'apprêtait à dire, la prof s'interrompit et se contenta de siroter son vin.

La visite se poursuivit l'après midi, avec la visite d'un village viking reconstitué, ainsi qu’une reconstitution avec des acteurs d'une situation de base ordinaire, suivi d'une attaque d'un autre clan. Mais grâce à leur courage, les villageois sortirent victorieux.
Après la représentation, les élèves passèrent par une boutique de souvenir.
Shinjiro : C'était plutôt bien foutu tout ça.
Futaba : C'est vrai. Je m'attendait à quelque chose de vraiment barbant, mais au final, c'était cool à regarder.
Kefan : Tiens, regardez ça !
Kefan venait de trouver une peluche plutôt inattendu…
Mitsuru : Un Jackfrost avec un casque de viking.
Anoter : Et il dit " Hi ho ! … Syvva…quoi ?"
Franck : "syvällä lumessa". En gros, ça veut dire «Hi ho ! A fond sur la neige ! »
Haru : On te crois sur parole.
Makoto : C'est plutôt mignon. On va le prendre pour la planque.
Franck : Hi ho !
Anoter : Hi ho…
Kefan : Hi ho.
Futaba : Hi ho !!!
Haru : Hi ho.
Mitsuru : Hi ho ?
Makoto : (soupirant) Vous avez encore beaucoup d'énergie…

Le soir venu, le diner se déroula encore dans la grande salle du chalet. Mais avant que nos héros ne rentrent dans la grande salle, ils virent une affiche. "Nous sommes désolé pour la gène occasionné, mais le menu prévu (poulets rôtis et frites du valhalla) sera remplacé par Poireaux du paysans et toast aux navets".
Franck : Sérieusement, c'est une blague ?
Anoter : Il n'y a qu'une seule chose à faire.
Kefan : Ouaip, on retourne au restaurant viking.
Shinjiro : Ça me va.
Franck : Ok, mais évitons de se faire remarquer.
Les quatre lycéens se désengagèrent de la file d'attente, et sortir discrètement du bâtiment. Comme ils s'y attendaient, ils ne rencontrèrent personne de leur connaissance. Et ils arrivèrent sans encombre à l'entrée du resto.
Franck : Ça me fait un peu mal de laisser les autres en arrière quand même. J'aurai bien voulu les inviter.
Shinjiro : Je sais. Mais nous aurions était plus voyants en quittant le chalet en grand groupe.
Anoter : Certes. J'espère juste que Makoto m'en voudra pas trop. J'aimerais éviter de la contrarier.
Kefan : Je comprend. Mais bon, ce qui compte, c'est que ce soir, on va se faire plaisir.

En entrant dans la salle à manger, les lycéens s'attendaient à voir plus de clients. Mais il y avait à peine une quinzaine de personnes.
Shinjiro : Au moins, on aura de la place.
Ils s'installèrent un peu à l'écart des autres clients, et commandèrent ce qu'ils auraient du manger au chalet. Mais à leur grande surprise, le tenancier leur amena une cruche de très bonne taille, remplit d'hydromel, en plus du repas.
Kefan : Il…est au courant que nous ne sommes pas majeur ?
Anoter : Est-ce que…c'est…une bonne idée d'y toucher ?
Shinjiro : D'un autre côté, personne ne nous voit.
Kefan : Mais…
Franck : Ça va, c'est juste de l'alcool. Il n'y a rien d'illégal.
Anoter : Tu es sur ?
Franck : Ouaip, ouaip. Et puis, on boit juste un verre avant de partir.
Shinjiro : Comme tu dit. Ça nous finira le repas.
Vingt minutes plus tard, le repas fut entièrement terminé. Et en guise de dessert…
Kefan : Bon, voyons ce que ça vaut…
Anoter : Oui…
Franck : Aller, faites pas les petites bites !
Shinjiro : J'en connais un qui a l'habitude.
Franck : Souvent, quand je suis chez mes parents, je bois du vin avec ma mère.
Kefan : Attend, ton père est pas flic ? Il ne te dit rien quant au fait de transgresser la loi ?
Franck : Il s'en fout, du moment que ça reste à la maison…
Anoter : Et donc, Ella Strong aime le bon vin…
Franck : Comment tu le sais que Ella est ma mère ?
Anoter : Makoto a demandé à Futaba ce qu'il s'était au club de jazz.
Shinjiro : Tu veux dire LA Ella Strong ?
Kefan : Ouaip, la chanteuse de jazz.
Franck : Bon, aller. Santé !
Les choppes furent remplis, avant d'être vidée. Il y eu quelques quintes de toux, puis…
Anoter : C'est pas mauvais.
Kefan : Ça va.
Franck : Je m'attendais à ça.
Shinjiro : Le pichet n'est pas encore fini.
Anoter : On avait pas dit qu'on se contenterai d'un seul verre ?
Franck : Ça va, ça sera juste le second.
Kefan : Bah…ok.
Une fois de plus, remplissage et vidage. Ainsi qu'une troisième fois…
Et après ?

??? : Alors, bien dormis ?
Franck : Quesesbrululeeeuu… ?
??? : Sérieusement. Pas un pour rattraper l'autre. On vous laisse seul, et voila ce qu'il se passe.
Anoter : Que..breuleuleu…
Kefan : Ma tête…
Kawakami : C'est ton cerveaux qui essaie de comprendre sa propre stupidité.
Shinjiro : Madame ? Ho…les mecs, je crois qu'on est dans la merde.
D'une façon ou d'une autre, les quatre lycéens en vadrouille avaient réussit à dormir dans la chambre 203, Shinjiro dormant par terre, manifestement. Et alors qu'ils émergeaient, Makoto, Futaba, Kawakami et Takemi se tenait au dessus d'eux, le regard inquisiteur.
Franck : Oups…
Futaba : C'est tout ce que tu trouves à dire ?
Makoto : Tu sors avec Futaba, tu devrais te montrer un peu plus responsable.
Kawakami : Quoi ?! Vous sortez ensemble ?!
Futaba : Makoto !
Franck : Bon, tant pis pour la discrétion.
Makoto : Je vais m'occuper de Lux. Je vous laisse les autres.
Elle empoigna Anoter, et l'entraina hors de la chambre.
Takemi : J'ai un patient dont je doit m'occuper aussi.
Elle tira Shinjiro hors de son enchevêtrement de couverture, et le fit sortir également.
Kawakami : Isshiki, je compte sur vous pour gérer Nokyu, vu que manifestement, vous êtes plus adulte que lui. Kefan, veuillez m'accompagner je vous prie.
Kefan n'attendit pas de se faire saisir, et sorti en compagnie de la prof. Il ne restait plus que Franck, qui sorti de son lit pour s'asseoir, et Futaba, qui le jugeait du regard.
Franck : (je ne l'ai jamais vu en colère. Et j'ai pas envie de voir ça. Vite Franck, trouve une idée pour te faire pardonner)
Futaba poussa un long soupir, le regard toujours à demi furieux.
Franck : Je…
Futaba : …
Franck : Je veux dire…
Futaba : …
Franck : Tu me fait vraiment peur en fait.
Futaba : Comme ça on est quitte.
Il n'y avait aucune colère dans sa voix.
Franck : A dire vrai, je ne sais pas trop comment faire. Il y a quelque chose que tu aimerais faire ?
Futaba : On verra quand on reviendra au Japon. Et je ne vais pas oublier.
Franck : Je sais…
Puis, soudain, Futaba éclata de rire.
Futaba : Je ne savais pas qu'il me serait aussi facile d'avoir l'avantage sur toi.
Franck : Je…préfère ne pas contester.

Dans une chambre privilégiée du troisième étage, un verrou venait de se fermer. Anoter était assis sur une chaise, la tête baissé et les yeux fermé, le visage crispé. Il attendis pendant de longue seconde que le premier coup vienne. Mais il ne se passa rien.
Peu à peu, il se décrispa, ouvrit les yeux, et leva légèrement la tête. Makoto se tenait face à lui, debout, mais n'affichait pas vraiment d'hostilité. Elle lâcha simplement un soupir.
Anoter : Je t'en pris, dit quelque chose. Tu me fais vraiment peur, et c'est pire si tu reste silencieuse.
Makoto : Ano…
Anoter : Même si c'est pour m'insulter. Ou frappes moi si tu préfère. Mais ne reste pas comme ça.
Mais à sa grande surprise, elle s'assis sur ses genoux, face à lui, et passa ses bras derrière la tête.
Makoto : On s'est beaucoup inquiété quand on a remarqué que vous n'étiez plus là. Et puis, on s'est dit que vous aviez du retourner au restaurant pour prendre un vrai repas. C'est juste qu'en arrivant, on ne s'attendais pas à vous trouver aussi…démonstratif. Même si vous n'étiez pas les seuls.
Anoter : Oui…
Makoto : Je comprend aussi que tu ai voulu passer du temps avec tes amis proche.
Anoter : On passera du temps ensemble aussi, promis. Et puis, Sojiro m'a donné un conseil pour réserver au restaurant de la Sky Tree Tower. Alors, à notre retour…
Makoto : Je n'en demandait pas tant. Mais, je ne vais pas dire non…

Dans la chambre de la prof, Kefan faisait face à Sadayo.
Kawakami : Alors jeune homme. Tu as quelque chose à déclarer ?
Kefan : …Je t'aimes ?
Kawakami : Ca ne me laisse pas insensible…mais tu pense que tes amis s'en sortent comment.
Kefan : Selon moi, Futaba met la fessé à Franck, Makoto fait une clé de Bras à Ano pour lui mettre la fessé, et Takemi…vu son look, elle doit avoir des chaines ou des menottes, et…
Kawakami : Tu as beaucoup d'imagination.
Kefan : Du coup, j'aurai quoi comme punition ?
Kawakami : (se frottant les mains) Tu viens de me donner une très bonne idée…


Edité le 21-03-2021 à 20:48:12 par Franck-Fullbuster




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   Posté le 09-05-2021 à 21:09:58   Voir le profil de Franck-Fullbuster (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Franck-Fullbuster   

10h02, sur la piste de luge…

Aujourd'hui, il n'y avait rien de prévu. Alors, les étudiants avaient quartier libre. Nos héros, accompagné bien évidemment, avaient décidé d'aller glisser un peu. Ils avaient loué des luges, et avaient sans tardé pris le télécabine pour arriver en haut de la plus grande piste.
Franck : L'air frais va nous faire du bien.
Anoter : Et puis, rien de tel que le vent dans les cheveux.
Makoto : Je suis bien d'accord.
Futaba : Je suppose que c'est l'occasion de vérifier si je peut être téméraire ou non.
Kefan : T'as compris Franck ? Veille sur ta copine.
Franck : Tu n'avais pas besoin de me le suggérer.
Haru : Et si on faisait la course ?
Mitsuru : Pourquoi pas. La vitesse ne me fait pas peur.
Shinjiro : On a eu l'occasion de s'en rendre compte.
Futaba : D'accord, va pour la course.
Franck : Ok, je m'occupe du décompte. 3….2….
Kefan : Ho ho…il y a Gérard et Robin qui arrive…
Anoter : Partez !
Tout le monde, à l'exception de celui qui devait décompter, démarra en trombe.
Franck : …et merde. Vous allez voir !
La descente dura un bon quart d'heure, pendant laquelle il y eu des dépassements, des virages un peu trop juste et trop proche des concurrents, des lancé de boules de neige, de la coopération, ainsi que de la trahison, et pour finir, quelques arrivée et atterrissage en catastrophe.
Anoter : C'est exactement ce que j'avais prévu.
Makoto : Oui, on s'en doute bien….
Franck : Ce qui me trou le plus, c'est que même en trichant, tu es arrivé troisième.
Mitsuru : Et toi, tu as réussit à rattraper quasiment tout le monde, et à finir deuxième.
Kefan : La septième place me va. Mitsuru et Makoto quatrième égalité ne m'étonne pas. Mais je ne soupçonnait pas que Haru puisse être aussi téméraire.
Haru : Ce qui me surprend le plus, c'est de voir qui est arrivé en première place.
Shinjiro : J'avoue….je n'aurai jamais pensé voir ça.
Franck : T'es pas le seul…
Futaba : Je….je ne me souvenait plus comment on freinait.
Makoto : Bon, on recommence ?
Anoter : Hi ho !
Franck : Hi ho.
Futaba : Hi ho !!!
Kefan : Hi ho ! Hi ho !
Haru : Hi hooo !
Shinjiro : Hi ho…
Mitsuru : Hi ho.
Makoto : Je suppose que ça veut dire oui.

Le groupe s'amusa toute la journée sur les pistes de luge. Le soir, ils mangèrent ensemble au restaurant. Et cette fois, pas de cruche d'hydromel. Le patron n'eut pas l'idée quand il vit qu'il y avait Takemi et Kawakami à la table.
Makoto : Déçu ?
Anoter : Mais non, voyons.
Franck : Un peu quand même….mais on va s'en passer, hein ?
Futaba : Mouaip…
Kefan : En tout cas, le menu de ce soir est plutôt sympa. Saumon à la cuisson Mjolnir, accompagné de pommes de terres, et pain d'épices à la crème de mures en dessert. Ça donne des idées de repas pour notre retour chez nous.
Franck : Moi qui adore le saumon, ça donne envie d'en remanger.
Anoter : Je suis bien d'accord.
Shinjiro : On pourrait presque faire un concours.
Mitsuru : Ça c'est une excellente idée. Kefan, Franck, Anoter et Shinjiro en compétition culinaire.
Anoter : J'ai jamais dit que…
Haru : Et nous autres, nous seront les jurys.
Kawakami : Ça me plait bien.
Takemi : Je vote pour.
Shinjiro : Donc ça fera sept personne pour juger.
Kawakami : Qui est le septième ?
Shinjiro : Koromaru.
Takemi : J'oubliais…

Une fois le repas terminé, les élèves regagnerent leurs chambre. Anoter, Kefan et Franck se retrouvèrent ainsi seul dans leur chambre, mais….
Anoter : Bon, je vous aimes bien les gars, mais ne m'attendez pas ce soir.
Kefan : Au moins, on sais où tu vas.
Et sans attendre, il sortie. Quelques secondes passèrent, puis…
Kefan : Moi aussi ne m'attend pas. À demain.
Franck : Quoi ?
Mais il n'y eu pas de réponse. Kefan marchait depuis quelques secondes, lorsqu'il rencontra Futaba.
Kefan : Chambre 203. Et il n'y aura que Franck ce soir.
Sans attendre de réponse, il se dirigea vers un autre étage. Heureusement, il ne rencontra personne d'autre, et entra directement dans la chambre d'une certaine enseignante.
Kawakami : Tu sais que normalement, on frappe avant d'entrer.
Kefan : Je suis un bad boy, t'as oublié ?
La prof ne resta pas insensible, et éclata de rire.
Kawakami : Mais ce soir, le vilain garçon sera à moi.
Shadow Kawakami : J'y compte bien. Et je sais très bien comment je vais le discipliner.
Kefan : (merde, j'avais oublié ça…il faudra que je m'en occupe. Surtout que Sadayo ne semble pas la remarquer. À moins que…)
Kawakami : Détend toi. Personne ne nous dérangera ce soir. Et ce qu'il se passe ici restera ici.
Kefan : Et dans notre esprit.
Kawakami : J'y compte bien.
Shadow Kawakami : Et moi donc. Et ce massage va vraiment te faire du bien.
Kefan : (j'ai la sale impression d'être avec deux femmes. Non, c'est pas ce que…)
L'enseignante attrapa la main de l'élève, et l'attira vers son lit.
Kawakami : Détend toi. Sinon je n'y arriverai pas non plus.

Anoter frappa, puis entra dans la chambre privilégiée.
Makoto : Moi aussi j'avais envie de te voir.
Anoter : J'aime bien mes potes, mais…tu sais, j'ai réussi un exploit et je veut en profiter un maximum.
Makoto : (souriante) Je ne sais pas lequel de nous deux fut le meilleur, mais ce n'est pas le plus important.
Anoter : Alors. Que puis-je faire pour la présidente ?
Makoto : Approche…

Franck s'était allongé sur son lit. Il avait sorti son portable, lorsque quelqu'un entra dans la chambre, et verrouilla la porte.
Franck : Et si Kefan devait revenir ?
Futaba : Il est aller voir votre prof, alors ça risque pas.
Franck : Pourquoi il serait aller voir Kawakami ?
Futaba : Je doit vraiment te faire un dessin ?
Franck : Tu as vraiment trop d'imagination. Bien plus que moi.
Futaba : De toutes façon, je ne veut pas parler des autres.
Sans attendre d'invitation, elle s'allongea sur le lit de Franck.
Futaba : Je suis vraiment heureuse d'être en voyage avec toi. Et…je veut…continuer à me faire des souvenirs. Juste avec toi.

Le lendemain matin, il y eu une visite guidé de la brasserie. Elle possédait plusieurs secteurs, notamment pour la bière, le whisky, et bien sur l'hydromel. Des odeurs qui rappelèrent des presque souvenirs à nos héros, tandis que quatre femmes leur jetaient des coup d'œil amusé à certains moment.
A midi, les élèves mangèrent séparé des encadrants, entre autre pour plus de discrétion. Makoto et Futaba n'avaient pas perdu leur sourire.
Futaba : L'odeur de la brasserie avait quelque chose d’agréable je trouve.
Franck : Hmm…
Makoto : Pour le coup, je suis du même avis.
Anoter : Hmmm…
Shinjiro : Hmmm…
Kefan : Hmmm…
Mitsuru : J'ai l'impression que quelque chose m'échappe…
Franck : Rien d'important…
Haru : A voir votre tête les garçons, je n'en suis pas sur.
Kefan : Tout vas bien…
Shinjiro : Ouaip, tout baigne.

L'après midi se déroula une fois de plus sur les pistes de luges, et la soirée se déroula le plus normalement possible.

Vendredi 8 Septembre, le matin, à l'aéroport…

Tout le monde arriva sans problème à la porte d'embarquement. Et cette fois, Kawakami s'était assuré qu'il n'y ai aucun problème d'avion pour le retour.
Anoter : C'était un bon voyage. On en a bien profité.
Makoto : Je doit dire que j'avait bien besoin de ce changement d'air.
Mitsuru : Je pense que tout le monde en avais besoin.
Futaba : Et on a même pu prendre plein de souvenirs.
Franck : Oui, de très beaux souvenirs…
Shinjiro : Je suis assez d'accord.
Haru : J'ai hâte que le reste de la bande nous raconte leurs voyage.
Kefan : Nous avons nous aussi des choses à raconter.
Kawakami : Je ne te le fait pas dire…bon, l'avion décolle dans quelques minutes. Tout le monde à bord.

En arrivant le soir, à l'internat, tout le monde regagna son lit sans attendre, et tomba endormis.

Une fois de plus, le vent souffla sur la haute tour.
Igor : Hé hé hé. Bienvenue dans la Velvet room. Cela fait bien longtemps que vous n'étiez pas venu.
Elisabeth : Cela fait parfois du bien de lever le pied, penser à autre chose que les affrontements.
Margaret : Un voyage dépaysant vous a également fait du bien.
Lavenza : Et passer du temps à renforcer vos liens vous sera utile toute votre vie.
Marie : Même si je doit dire que…il se passe des choses étrange avec les cartes.
En effet, sur le mur arcanique, certaines cartes étaient par pairs, notamment l'Hermite et le Soleil, l'Empereur et la Papesse, la Sombre Douceur et la Face Caché,…
Franck : Attend, quoi ?!
…mais il y avait aussi autre chose. La carte de la Tempérance semblait émettre de l'ombre.
Marie : L'un de vos allié semble avoir des problèmes.
Kefan : C'est Kawakami. Elle a une ombre.
Anoter : En effet, ça correspond à un problème.
Kefan : Avant que vous demandiez, j'ai vérifier. Et elle n'as pas de palace.
Franck : Donc il faudra fouiller la Crazy House.
Igor : Mais ce n'est pas seulement ça. Regardez encore.
En effet, une autre carte semblait émettre un peu d'ombre.
Elisabeth : Je n'ai jamais entendu parler d'une étoile sombre.
Franck : Je me demande de quel problème il peut s'agir.
Kefan : J'ai l'impression qu'on le saura très bientôt.
Anoter : Qu'est-ce qui te fait dire ça ? Une intuition ?
Kefan : Non, le scripte.
Franck : Quoi qu'il en soit, les vacances sont terminées.
Anoter : Ouaip, mais j'ai hâte d'affronter les ombres de nouveau.

Samedi 9 Septembre, 17h09, au QG des BOFABOLD…

Après les cours, la bande s'était réuni au quasi complet. Seul les adultes manquaient.
Mitsuru : …voila pour notre voyage.
Naoto : En effet, vous n'avez manqué de rien.
Haru : Mais j'avoue que j'aurais aimé visité Paris. C'était comment ?
Naoto : Plutôt intéressant. Vous savez, il y a beaucoup de récit d'enquête qui se déroule là bas. Et quand l'on voit les trésors du musée du Louvre, on comprend pourquoi ça fascine autant.
Chihiro : Mais c'est surtout une ville romantique. Et je suis heureuse d'avoir pu visiter avec…enfin…
Kanji : Tu n'es pas la seule…par contre, la nourriture française est…particulière.
Franck : C'est sur que comparé à ici…
Makoto : Et Hawaï, ça donnait quoi ? Je pense que j'aurais aimé aller là bas.
Rio : C'était sympa…
Ren : D'ailleurs, on ne t'a pas croisé souvent.
Rio : Je donnait un coup de main à Toriumi.
Mitsuru : Ça fait plaisir à entendre.
Yusuke : Je pensais avoir trouvé une muse. Elle parlais japonais en plus. Blonde, et avec une silhouette plus occidentale. Mais je n'ai pas osé l'approcher. Son copain blondinet n'avais pas l'air commode. Et ils se disputaient souvent. Cela dit, il est possible qu'on les croise dans le coin.
Anoter : Pas banal comme histoire.
Kefan : Pourtant, ça m'évoque quelque chose…

Dimanche 10 Septembre, 12h04, au café Leblanc…

Anoter, Makoto, Franck, Futaba et Kefan avaient décidé de prendre leur repas de midi chez Sojiro.
Futaba : Kawakami ne viens pas aujourd'hui ?
Makoto : Elle est occupé, tu sais.
Futaba : M'ouaip…
Futaba poussa la porte du restaurant.
Futaba : Sojiro ! C'est l'heure du curry !
Mais le patron n'était pas seul. Il y avait également deux policier, dont un certain lieutenant. D'instinct, la petite rousse se cacha derrière un certain lycéen.
Lt Nokyu : Isshiki. C'est vous que nous voulions voir.
Futaba : Je suis juste venu pour manger…
Lt Nokyu : Ne vous inquiétez pas. C'est juste pour savoir si tout va bien. Franck, tu voudrais bien t'écarter ?
A ses mots, Futaba se resserra d'avantage sur le bras de Franck.
Franck : Pas si elle ne le veut pas.
Sojiro : Hmm ?
Lt Nokyu : Ça concerne surtout mademoiselle Isshiki, alors s'il te plait, tu…
Futaba : Sakura.
Lt Nokyu : Comment ?
Futaba : Sakura ! Je…m'appelle Futaba Sakura. Et Sojiro….mon père, vous a surement dit tout ce que vous aviez besoin de savoir.
Sojiro : Futaba …
Et bien qu'il faisait des efforts pour rester digne, les autres devinaient clairement ce qu'il se passait dans sa tête.
Lt Nokyu : En effet. Tout a était dit.
Policier : Vous êtes sur que…. ?
Lt Nokyu : Tu comprendras mieux quand tu auras plus d'expérience dans le domaine. Suis moi.
Les deux policiers commencèrent à sortir, mais l'officier s'arrêta à la hauteur de son fils.
Lt Nokyu : Tu sembles avoir gagné en détermination depuis le début de l'année scolaire. Au point de t'opposer à deux policiers.
Franck : Ne te méprend pas. Je fait ce qui est juste de mon point de vue. Elle avait besoin de mon aide, je ne pouvais pas l'ignorer.
Futaba n'avais pas lâché le bras de Franck.
Lt Nokyu : Ça prouve que tu écoute quand je te parle. Ho, et ta mère demande à ce que tu ne fasse pas de bêtise.
Franck : Alors ça je ne m'y attendais pas…
Lt Nokyu : Hé hé. A plus tard.
Un silence de quelques secondes tomba, au départ des deux hommes en uniforme. Puis..
Sojiro : Futaba….tu…
Futaba : Bon, il est prêt ce curry ?
Évidemment. Quelle autre réaction aurait-elle eu ? Tout le monde rigola dans la pièce, alors que le chef finissait de préparer son plat légendaire.

Lundi 11 Septembre, 20h43, dans l'église…

Anoter, Kefan et Franck avaient pris rendez-vous avec Hifumi pour la leçon stratégique de shogi. Mais en arrivant, Hifumi discutait avec une femme plus âgée. Cette dernière semblait plutôt agacé et vive. Lorsque les trois garçons s'approchèrent, elle se tourna vers eux.
Vieille femme : Et bien, vous n'avez peur de rien. Vous pensez pouvoir draguer, tout les trois ?
Kefan : Reste cool ma petite dame. On à chacun une copine.
Anoter : Ouaip, on est déjà pris, et on ne veux pas être multipris.
Franck : Non, je te l'ai déjà dit, ça ne marche qu'au féminin cette vanne. Et de toutes façon madame, je ne m'intéresse pas aux femmes plus âgée. Ne le prenez pas mal.
Kefan : Je crois qu'elle craignait que l'on drague Hifumi.
Hifumi : Maman. Ce sont juste des amis. On joue au shogi ensemble. Tu sais, je t'en ai déjà parlé.
Mme Togo : Oui, c'est normal. Je devrait me douter que tu ne porterais pas d'intérêt à des garçons si…moyen.
Puis…
Shadow Togo : Ce n'est pas vous qui m'empêcherez d'atteindre mes objectifs.
Shadow Hifumi : Mon royaume n'est qu'a moi.
Anoter : (murmurant) Il se passe quoi, là ?
Kefan : (murmurant) Il se passe que nous sommes fixé.
Franck : (murmurant) Ouaip. Palace double. On prévient les autres.
Anoter : Manifestement, vous avez besoin de discuter. On va vous laisser.
Hifumi : …très bien…

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   Posté le 28-11-2021 à 19:35:12   Voir le profil de Franck-Fullbuster (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Franck-Fullbuster   

Mardi 12 Septembre, 18h07, au QG des BOFABOLD…

https://www.youtube.com/watch?v=VU29Onb8BeY
Tout ceux qui avaient déjà était dans le metaverse s'était réunit au QG, pour discuter de la suite des événements.
Iwai : Donc, on reprend du service. Parfait ! Je commençait à m'ennuyer.
Takemi : Qui est la cible cette fois ?
Mitsuru : Les cibles, plus exactement. Mitsuyo Togo, et sa fille, Hifumi Togo.
Chihaya : Hifumi….c'est pas cette fille plutôt mignonne qui joue au Shogi ?
Anoter, Kefan et Franck : C'est bien elle.
Yusuke : J'avoue qu'elle ne laisse pas indifférent. Surement parce qu'elle fait…authentique.
Franck : Ben vas-y, fonce.
Yusuke : Oui, je demanderai surement à la dessiner.
Tout le monde lâcha un soupir, suite à l'incompréhension de Yusuke.
Anoter : Par contre, il nous faut les mots clés. L'ombre d'Hifumi parlais de « son royaume ». Je pense que c'est une bonne piste.
Kanji : Ok pour ça. Mais la vrai question, c'est pourquoi elle à un palace, et avec sa mère en plus ?
Naoto : Quand vous nous avez informé hier soir de ce qu'il se passait, j'ai enquêté avec l'aide de Futaba. Nous avons épluché les rumeurs sur Internet, et séparé le vrai du faux. Il se trouve qu'Hifumi subirait une pression de sa mère, qui exigerait d'elle qu'elle soit la meilleure au Shogi, pour être riche et célèbre, et tout ça. De ce que j'en déduis, c'est que madame Togo estime avoir raté sa vie, et se sert de sa fille comme d'un …new game +.
Futaba : Comment une mère peut elle être aussi dure avec son enfant…
Makoto : Malheureusement, ça arrive plus souvent qu'on ne le pense. Je pense qu'il n'y a pas d'objection, et que nous sommes tous d'accord pour s'occuper de ce problème.
Tout le monde acquiesça d'un signe de la tête.

Quelques minutes plus tard, le groupe se retrouva aux WC habituel. Et après quelques tentatives, les coordonnées furent établies. Hifumi Togo, champs de bataille, pion, ainsi que Mitsuyo Togo, Cité impériale, sorcière.

https://www.youtube.com/watch?v=zbgqVdoX_U4
Le groupe fut emmené dans une cité impériale Japonaise…d'une autre époque. Ils étaient un peu à l'écart des bâtiments, mais par delà les toits, on devinait plus loin ce qui devait être le palais impérial.
Yusuke : Ça ressemble un peu à Kyoto, je trouve.
Futaba : A quelle époque exactement ?
Anoter : On se croirait plus dans un film de samouraï à dire vrai. D'ailleurs, il y a peut-être une chance que je passe inaperçu.
Kefan : Vu ta tenue, c'est possible. Ça nous donnerais un avantage.
Anoter : Alors je part en éclaireur.
Et avant que quelqu'un n'ai put ajouter quelque chose, notre samouraï s'avança. Sauf que dix mètres plus loin, il se heurta à une sorte de barrière invisible.
Anoter : Mais qu'est-ce que… ?
Kefan tenta lui aussi de passer, mais il fut confronté au même problème.
Kefan : Je n'arrive pas à passer non plus.
Franck : Futaba, tu crois que tu peux voir de quoi il s'agit ?
Futaba : Attend une seconde. Voyons….ça y est, je l'ai ! La barrière repousse tout les utilisateurs de persona. Quoi !?
Kanji : Sérieusement !? On ne peut pas interagir avec ce palace ?
Mitsuru : C'est…inattendu.
Iwai : Bon, je suppose que c'est à moi de jouer.
Shinjiro : Tu ne penses pas y aller tout seul quand même…
Ren : Regardez qui parle.
Koromaru : Waf !
Rio : Il ne sera pas seul. Moi non plus je n'ai pas de persona, vous vous souvenez ?
Takemi : Et je suis dans le même cas.
Chihaya : Et je suppose que ça fait quatre si on me compte. J'ai quand même ma massue.
Les plus habitué au metaverse prirent le temps de réfléchir à la situation. Voila qui les prenaient vraiment de court. Seulement quatre personnes pouvais passer, et pas les plus fort. Cela dit, Rio pouvait assurer le combat rapproché, Iwai avait suffisamment de flingues et de munitions, Takemi avait de quoi soigner, et Chihaya pouvait au moins assurer les arrière avec sa massue décoré. Mais malgré ça, cette mission s'annonçait dangereuse. Plus que d'habitude.
Naoto : Il n'y a aucune façon de faire tomber la barrière ?
Futaba : J'ai l'impression qu'il y a quelque chose, mais je n'arrive pas a voir aussi loin.
Mitsuru : Une seconde. Je vais amplifier ta vision. Penthesilea !
La persona de Mitsuru transféra de l'énergie à la persona de Futaba.
Futaba : Hooo ! Ça y est ! La source de ce pouvoir est dans la salle du trône ! Mais une porte vous empêchera de passer. Vous devez vous faufiler jusque dans la cour du château pour sécuriser la route. Mais vous devez faire attention. Il y a beaucoup de garde, armé de lames, de lances, et même de yumis.
Iwai : On devra donc rester discret.
Yusuke : Et nous, pendant ce temps, on fera quoi ?
Franck : On restera en renfort. Même si nous, on ne peut pas passer, je suis sur que nos armes et nos sort peuvent franchir la barrière.
Futaba : De toutes façon, on reste en contact. Je vais essayer de vous diriger.

En effet, il y avait beaucoup de monde. Mais surtout des gardes. Aucuns commerçants, aucun passant, ni autres civils. Iwai avait installé un silencieux sur son pistolet mitrailleur, et avait pris la tête du groupe. Rio et Tae suivaient juste derrière, tandis que Chihaya fermais la marche. Il se faufilèrent vers la droite après avoir passé l'ouverture. L'escouade avait attendu qu'une patrouille hostile reparte vers la gauche pour continuer discrètement, passant derrière des caisses en bois.
Futaba : Vous m'entendez toujours ?
Iwai : Affirmatif.
Chihaya : On peut savoir ce qui nous attend plus loin ?
Futaba : Yep. Les gardes sur les murailles et sur les toits ont tous des yumis. Les patrouilleurs ont des lances, pour tenir les ennemis à distance. Ho, et ils essaient de garder secrets le fait qu'ils ont des ninjas dans la cour du château.
Takemi : Des ninjas….formidable. Rio, tu te sent d'attaque ?
Rio : Il faut bien.
Futaba : L'orbe du champ de force se trouve dans l'entrée du château.
Franck : Voila le plan d'action. Infiltrez vous, détruisez l'orbe, et repliez-vous immédiatement après. Si vous êtes découvert avant d'entrer, revenez par ici. On va commencer à se déployer pour tenter de couvrir votre retraite.
Iwai : Reçu. On commence l'opération.

Le quatuor avait réussit à avancer vers le nord, prudemment, sans se faire remarquer par les patrouilles. Ils pouvaient à présent toucher la muraille, mais ils leur fallait passer la porte, située à une trentaine de mètres, sur une route à découvert, régulièrement balayé par une patrouille de cavaliers.
Chihaya : Et maintenant, on fait comment ?
Rio : Impossible d'escalader ce mur.
Takemi : Et on va forcément se faire repérer par les cavaliers.
Iwai : Pas si on avance en restant caché.
Takemi : Mais comment ?
Iwai : (désignant des boites en carton) Avec ça.
Rio : Tu te fous de nous ?
Iwai : Il n'y en a que deux, mais elles sont assez grandes pour deux personnes.
Chihaya : C'est…risqué…
Takemi : Très bien. Je prend Rio avec moi.
Chihaya : Merveilleux…enfin, je veux dire, ça me convient.

Une minutes après, l'escouade était dissimulé dans les boîtes en cartons, et avançait lentement, s'arrêtant complètement lorsqu'une patrouille passait.
Cavalier : Hmmm !? C'est juste une boîte…
Chihaya : J'arrive pas à croire que ça fonctionne.
Iwai : Moi non plus.
Chihaya : Quoi ?!
Rio : Interdiction de toucher mon derrière. Je suis prise.
Takemi : Je ne suis pas intéressé. Et puis, moi aussi je suis prise.
Rio : Ça ne m'étonne pas…

Le groupe passa finalement les portes doubles, toujours sous couverture. Cette fois, il n'y avait personne. Le chemin pavé sur une vingtaine de mètres menant à la porte du château était entièrement libre. Un peu plus loin, sur la droite, il y avait une hutte, qui aurait surement habité une sorcière. Mais même de là, il n'y avait aucun signe de vie immédiat.
Iwai : Vraiment personne… ? Futaba, tu confirmes ?
Futaba : Absolument. Les ninjas sont en standby à plus de cinquante mètres.
Franck : Nous restons silencieux nous aussi pour l'instant. Mais dès que vous en avez besoin, on pourra lancer une diversion.
Iwai : Ça marche. On continue.
C'est ainsi qu'ils laissèrent les boîtes en cartons à l'entrée, et poussèrent les portes du château, même pas verrouillée.
La double porte donnait sur un long couloir, plutôt large, menant plus loin à un trone. Mais c'est directement sur la gauche qu'il y avait l'orbe, probablement responsable de la barrière anti-persona.
Shadow Hifumi : Ainsi, l'armée adverse est venu sans se faire remarquer. Felicitation.
Cette ombre, portait une robe d'impératrice, avec un casque de générale d'armée. Elle avait à la main une lourde naginata.
Iwai : Impressionnant ton petit tour pour nous empêcher d'attaquer. Mais on ne va pas se laisser abattre.
Shadow Hifumi : C'est ma mère qui à mis en place cette barrière. Elle me promet la victoire, alors je suivrait.
Rio : La victoire ? En trichant ?
Chihaya : C'est vraiment ce que tu veux ?
Shadow Hifumi : Quelle triche ? Mes adversaire ne sont que des faibles.
Takemi : Vive le fair-play…Bref, écartes-toi. Nous avons une mission à accomplir.
Shadow Hifumi : Je ne pense pas…
Soudains, elle saisit un cor de guerre, et souffla dedans. Rapidement, Rio se précipita, lame en avant, et frappa le cor de toutes ses forces. Il se brisa, mais l'ombre se mis en garde, tandis que des bruits de pas se rapprochaient.
Iwai : Des renforts ennemis…je m'en occupe. Brisez l'orbe !
Rio : Elle ne va pas me laisser approcher…
Takemi : On va l'occuper tout les deux. Chihaya, bonne chance.
Chihaya : Hein ?!
Alors que des gardes armés de lances arrivaient par la cour, Iwai choisit d'épauler son fusil d'assaut, et commença à arroser les assaillants. De son coté, Rio commençait à enchainer Shadow Hifumi, qui parait toutes les attaques, et qui réussissait presque à contre-attaquer, sans compter Takemi qui attaquait avec son pistolet à rafale.
Soufflant un bon coup, Chihaya agrippa sa masse, et chargea l'orbe, en y appliquant un puissant coup. L'orbe se fissura, alors que Shadow Hifumi changea de cible.
Takemi : Recules ! Je ne soigne pas les têtes coupées.
La médecin maintint une rafale pour couvrir la fuite de la médium, alors que Iwai rechargeait et continuait à tirer sur toujours plus d'ennemis.
Shadow Hifumi : Vous ne prendrait pas mon bouclier. Mourrez sous mon attaque ultime…
Cric ! Un second coup de katana aggrava les fissures de l'orbe, qui semblait avoir une sorte de fuite magique.
Shadow Hifumi : NOOOON !!!!!!
Iwai : Bien joué petite. Maintenant, on se repli.
Franck : On vous a entendu, on commence à se mettre en place.
Anoter : Enfin un peu d'action…

Le quatuor sorti du château, et dans la cour, se fit accueillir par des ninjas. Par reflexe, Iwai tira sur eux, mais ils esquivaient ou paraient les balles un peu trop facilement.
Iwai : Génial…petite, je te laisse les gérer. Les autres, on fonce !
Rio : C'est parti !
Rio fonça sur les ninjas, croisant le fer, pour survivre à cet enfer. Lun d'eux tombait au sol, alors que les trois amis passaient la porte vers la ville. C'est là qu'ils se rendirent compte que le chemin par lequel ils étaient passé à l'allé était maintenant barré par toutes sorte d'objets pour barricader, et aussi par les cavaliers, et au moins une cinquantaine de gardes et d'archers.
Chihaya : On fait comment maintenant ?
Iwai : Par l'autre chemin. Passez devant, je les retient.
Takemi : A tout de suite.
De son coté, Rio continuait de battre les ninjas, mais elle commençait à sérieusement fatiguer. Elle commença à se replier. Iwai vidait ce qu'il lui restait dans son fusil d'assaut.
Rio : Désolé…mais je…
Iwai : Mais tu es salement blessé !
Rio : Ca va…
Iwai : Je ne crois pas. Sert toi de ton arme comme canne.
L'armurier sorti son Desert Eagle, et aida la duelliste avec son autre bras. Les gardes sautaient du toit pour les attaquer, mais Iwai les abattait d'une balle chacun. Ils rattrapèrent Takemi et Chihaya assez rapidement, qui venaient elles aussi de dégager le passage.
Iwai : Tae ! Occupe toi de Rio. Je m'occupe d'assurer les arrières.
Takemi : Entendu.
Chihaya : Laisse moi t'aider Mune.
Iwai : Non, va avec les…
A ce moment là, un assassin surgit d'une ruelle adjacente, et se jetta sur le tireur. D'un mouvement, la voyante abattit son arme sur la tête de l'attaquant, qui s'écroula sur le coup.
Chihaya : Tu vois, tu as besoin de moi.
Iwai : Hé hé…fait quand même attention.
Futaba : Les ennemis sont de plus en plus nombreux.
Takemi : On a une blessé. On va vraiment avoir besoin de renfort.
Franck : On est en place sur les toits, mais on ne peut toujours pas passer.
Mitsuru : La barrière perd en énergie, mais à ce rythme, elle aura disparut en une demi-heure.
Makoto : On ne va pas attendre aussi longtemps. On retourne dans le monde réel dès que vous êtes là.
BAM !...BAM !...Iwai dépensait encore des balles de gros calibre, tout en reculant.
Yusuke : C'est bon, vous êtes en vue.
Franck : Feu à volonté !
Des balles, des obus, et des sorts en tous genre fusaient des toits, et des ruelles, tandis que les quatre attaquants revenaient en sécurité. Alors que le nombre d'ennemis grandissait, malgré leurs pertes, les BOFABOLD se repliaient enfin dans le monde réel.

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   Posté le 05-12-2021 à 21:27:08   Voir le profil de Franck-Fullbuster (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Franck-Fullbuster   

https://www.youtube.com/watch?v=VU29Onb8BeY
De nombreux sort de soins avaient était lancé sur Rio avant de sortir du palace. Ce qui permis de refermer les blessures, bien que son uniforme allait avoir besoin d'un peu de fil à coudre.
Mitsuru : Tu as de la chance de t'en sortir aussi bien.
Rio : Ça a fonctionné ?
Futaba : Normalement oui. Quand nous reviendrons, nous pourrons tous passer. Mais pour l'instant, il faut laisser l'alerte se dissiper.
Rio : Très bien. Ça vous dérange si on n'y retourne pas de suite ?
Makoto : Ne t'en fait pas. Je pense qu'on va attendre quelques jours, que tout le monde soit en forme.
Mitsuru : Alors on fait comme ça. Quartier libre pour tout le monde. Nous n'aurons qu'a planifier la lettre pour la semaine prochaine. Ça nous laisse suffisamment de temps pour nous organiser.

Mercredi 13 Septembre, à 8h32, à l'Untouchable….

Iwai : Aller, bonne journée. Et pas de bêtises, hein ?
Kaoru : Comme d'hab.
Le collégiens parti ainsi en cours, quittant la boutique de son père. Mais deux minutes après, la porte s'ouvrit de nouveau.
Iwai : Désolé mais nous ne sommes pas encore ouvert.
Chihaya : Je sais.
Iwai : Ho, tiens. Je pensais que tu dormirais à cette heure-ci.
Chihaya : J'ai fermé plus tôt que prévu hier soir. Je n'avais pas beaucoup de clients.
Iwai : Plutôt étonnant. Si le monde savais à quel point tu es précises, tu n'aurais pas une minutes à toi.
Chihaya : Tant mieux. Je préfère avoir du temps pour moi. Et pour d'autre…
Iwai : Ho ?
Chihaya : Tu n'es pas de mon avis ?
Iwai : Si, bien sur. Enfin, j'essaie d'avoir du temps pour Kaoru, mais ça serait plus simple si il avait une mère.
Chihaya : C'est bien vrai. Ça tombe bien que je m'entende avec lui, pas vrai ?
Iwai : Tu veux dire que…. ?
Chihaya : Je veux dire que.

https://www.youtube.com/watch?v=akvE3llUdzc
Voix mystérieuse : Il est miens, et je suis sienne. Nous avons surmonté les dangers depuis notre rencontre du destin. En liants la Roue de la fortune au Pendu, nous avons ouvert une porte vers l'éternité, menant au potentiel infinie.

https://www.youtube.com/watch?v=VU29Onb8BeY
Iwai : Je croyais que tu préférait les hommes plus jeune.
Chihaya : Qui te dit que je suis pas plus âgée que toi ?
Iwai : Impossible.
Chihaya : Tu es bien gentil.
Iwai : C'est surtout que je ne fantasme pas sur les vieilles.
Chihaya : C'est plutôt une bonne nouvelle. Je pensais que tu voulais juste me demander quelque chose.
Iwai : C'est un peu le cas en fait.
Chihaya : Nous verrons ce que nous arrivons à faire ensemble.

Dimanche 17 Septembre, 16h02, au QG des BOFABOLD…

Qui dit heure du goûter, dit Futaba qui prépare un repas bien trop sucré. Bien que peu de personnes ne s'en plaint. Nos héros avaient passé le reste de la semaine à se maintenir en forme, chacun à sa façon. Là, ils s'étaient réuni pour l'attaque, planifié pour le lendemain.
Kefan : C'est normal que l'on ai choisit de se réunir le jour de l'anniversaire de Eddy Malou ?
Anoter : On va dire que oui. Ça donne quoi pour les lettres.
Franck : Les voici.
« Ma très chère Hifumi Togo, ta stratégie comporte trop de failles. Et ce n'est pas en laissant ta mère diriger à ta place que tu t'améliorera. Le monde se porterai mieux sans triche, mais commence par fortifier ta propre position. Et tu comprendra ce que Utsukushii veut dire. Cordialement, tes adversaires les BOFABOLD. »
Futaba : Voila qui est pas mal. Ça devrait faire effet.
Franck : …
Mitsuru : Voyons la seconde.
« Ma très chère Mistuyo Togo. Tu n'es qu'une affreuse sorcière incompétente, et personne ne t'aimes. Et ce n'est pas en décidant à la place de ta fille que ça va s'améliorer. Le monde du Shogi se porterai tellement mieux sans toi et tes magouilles, mais commence par te faire simplement discrète. Surtout vu ce que tu raconte. Car jamais tu ne comprendra ce que Utsukushii veut dire. Tes désirs de domination vont appartenir au passé. Cordialement, les BOFABOLD. »
https://www.youtube.com/watch?v=XQb2Cnl1pqI
Iwai : Ça fera l'affaire, comme d'hab.
Makoto : J'ai l'impression que les lettres d'avant étaient plus…offensive.
Franck : Peut-être que…je devrait laisser quelqu'un d'autre s'en occuper.
Futaba : Tu ne pourras pas t'en vouloir éternellement pour ce qu'il s'est passé cet été. Je ne t'en ai jamais voulus. Tu as fait ce qu'il fallait faire…et tu m'a sauvé de moi-même. Et ensuite, tu m'as donné une bonne raison d'aller de l'avant.
Franck : Je ne saurais, au final, pas dire quelle fut la partie la plus difficile.
Anoter : Dans tout les cas, ça valait le coup. T'as entendu Franck ? Futaba ne t'en a jamais voulu. Alors un sourire, et en avant.
Makoto : Je viens de me rendre compte que j'ai un point commun avec Franck. Malgré mes doutes envers moi-même, j'ai trouvé une personne merveilleuse.
Anoter : D'accord, là c'est moi qui me retrouve désarmé.
Kefan : Comme c'est mignon.
Futaba : Et toi, tu es comment avec la tienne ?
Ren : Tiens, Kefan a vraiment quelqu'un alors.
Franck : Futaba s'imagine qu'il sort avec notre prof.
Un certain silence tomba dans la cabane.
Shinjiro : C'est…plutôt improbable, non ? Vous imaginez vraiment mademoiselle Kawakami avec ce petit rigolos ?
Makoto : En effet, ça serait…incongrue. Sans offense, bien sur.
Haru : Sans parler de la différence d'âge.
Takemi : Ça serait vraiment un problème ?
Shinjiro : Non, absolument pas. Et puis, quelle différence d'âge ?
Kefan se contenta de pouffer de rire.
Mitsuru : Revenons à notre plan d'action. Il est plus que probable que madame Togo soit elle aussi à l'église demain. Il faudra donc que les deux lettre soient remise en même temps, et surtout, que aucune des deux n'est l'idée de la jeter sans la lire.
Franck : Je m'occupe de remettre la lettre à Hifumi. Quelqu'un à une idée pour sa mère ?
Anoter : Je pense avoir une bonne idée en fait.

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   Posté le 19-12-2021 à 20:54:14   Voir le profil de Franck-Fullbuster (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Franck-Fullbuster   

https://www.youtube.com/watch?v=4G_knq1QFpY
Lundi 18 Septembre, 18h18, à l'église…

Un petit groupe avait était mis en place, pour la mission de ce soir. Remettre les lettres, et inciter les cibles à les lires allait être des plus difficile. Mais c'était sans compter le savoir faire des BOFABOLD.
En premier, passa la première partie du groupe, composé de Kefan, Anoter, Kanji, Shinjiro, Ren,….et Gérard. Ce dernier était vêtu d'une sorte de cape ample.
Anoter : Gérard, ton heure de gloire est arrivée.
Gérard : Tu n'oublieras pas ta promesse, hein ?!
Anoter : Tiens, voila tes bons de réductions pour le Big Bang Burger.
Ce à quoi, il lui remis une liasse de tickets.
Gérard : Ha cool. Ça vaut vraiment le coup. Merci.
A ces paroles, il s'avança vers Hifumi et sa mère.
Kefan : Tu lui as vraiment refilé autant de tickets ?
Anoter : La plupart sont périmé. Ce con ne les a même pas contrôlé. Tu avais raison.
Shinjiro : Pas vrai ? Encore plus facile que prévu.
Kanji : Vous faîtes vraiment peur, parfois. De vrai malfrats.
Ren : Et le pire est à venir. Le signal est bientôt lancé.
En effet, Gérard n'attendit pas pour jouer son rôle, à moins d'un mètre des deux femmes.
Gérard : SURPRISE !!!!
A ce moment là, il retira sa cape, se retrouvant seulement en slip. Les hommes présents dans le lieu de cultes se tournèrent directement vers l'agresseur, fonçant sur lui, lui donnant la chasse. Gérard n'attendit pas, et fonça vers la sortie, encourageant ses poursuivants à le suivre plus loin dehors.
Anoter : C'est à nous.
Les cinq amis sortir des caleçons retravaillé, qu'ils portèrent comme cagoule. Et ils adoptèrent une démarche de racaille en avançant vers madame Togo.
Kefan : Yo ! Alors comme ça, on n'a pas le droit d'approcher Hifumi ?
Mitsuyo : Mais…que diable ….
Ren : C'est toi qui parle de diable ? Ben voyons…
Kanji : Je dirait plus une harpie, la concernant.
Mitsuyo : Mais…je vous interdit de me parler comme ça !
Shinjiro : On va se passer de ton autorisation.
Mitsuyo : C'est quoi votre problème à la fin, bande de détraqué ?
Anoter : Parce que c'est nous les détraqué ? Contrairement à vous, nous sommes sain d'esprit.
Kefan : Dit le type avec un caleçon sur la tête.
Anoter : Tu peux parler…
Shinjiro : D'ailleurs, le miens il est plus gros, vous avez vu ?
Ren : Oui, mais le miens, il est plus long. Regardez, je peut toucher mon nez avec.
D'instinct, Hifumi avait commencé à fuir la scène.
Mitsuyo : Si vous avez fini avec vos pitrerie, j'aimerai…
Kanji : Relax, la vieille. On voulait juste vous faire remarqué que vous aviez fait tomber ça. Ça à l'air super important.
Kanji tendi la lettre à madame Togo, qui, par reflexe, la parcouru. Son visage ne tarda pas à passer au rouge.
Mitsuyo : C'est…C'EST UNE BLAGUE ?
Ren : Aucune idée. C'est votre papier, après tout.
Shinjiro : Aller, à plus.
Kefan : Mais le plus tard possible.
Anoter : Jamais, ça me convient aussi.
Shadow Mitsuyo : Très bien. Je vous écraserez tous, misérables insectes.
Un peu plus loin, Franck, également déguisé, avait sécurisé la zone. Mais ce fut une plus petite silhouette, portant deux soutient gorges sur la tête, et un devant les yeux, qui s'approcha d'Hifumi.
Futaba : Les BOFABOLD te saluent.
Elle lui mis la lettre entre les mains, et Hifumi la lut.
Hifumi : Les BOFABOLD…me ciblent ?
Shadow Hifumi : Je vois…ma stratégie doit être améliorée.
Franck : Parfois, il faut savoir perdre.
Futaba : Et aujourd'hui est le bon moment.
Les deux lycéens quittèrent l'église, imité par leurs amis.
Hifumi : Futaba ? Tu fais parti des….et Franck aussi ? En plus, vous êtes toujours ensemble…je le savais !

Un peu plus tard, un peu plus loin, au lieu de rendez-vous.
Mitsuru : Ça donne quoi ?
Anoter : On peut y aller. Mission accomplie.
Makoto : Je me doute que tout s'est bien passé, mais je préfère ne pas savoir.
Futaba : C'était plutôt marrant en fait.
Chihiro : C'était un plan très particulier. Mais que tu te porte volontaire, c'était très inattendu.
Futaba : C'est pas si différent que de porter un masque. Et puis, je n'était pas seul.
Frédérick : Aller, c'est l'heure d'en finir avec ce palace.

En arrivant dans le palace, le groupe tout entier put cette fois-ci entrer dans la ville. Mais comme ils pouvaient s'y attendre, tout les gardes étaient en état d'alerte. Aussi, la furtivité n'allait pas être possible dans ces conditions.
Anoter : Kefan, t’en pense quoi ?
Kefan : Voyons…Tu viens, avec Franck, Makoto, Yusuke, Haru et Ren. Les autres, restez en ville, et attirez tout les gardes.
Kanji : Compris.
Naoto : Mais ils sont nombreux. On ne vous garanti pas de miracle.
Mitsuru : Je reste confiante.
Franck : Aller, en avan…
Yusuke : On va en finir comme il faut.

La majeur partie de l'équipe lança l'assaut de diversion. Bien évidemment, il ne fallut pas longtemps pour que des dizaines de gardes foncent tête baissé. Et pendant ce temps, le groupe réduit s'était faufilé par des ruelles, jusqu’à atteindre les porte de la cour du château. Et là…
Anoter : Au fait, il est où Franck ?
Kefan : Ben il est avec n… il est où Franck ?
Futaba : Ne vous en faites pas. Nous réalisons une seconde approche furtive.
Ren : Bonne idée.
Yusuke : Regardez. La reine est dans la cour, et elle n'est pas seule.
En effet, il y avait une sorcière avec elle. Les deux étaient prête pour le combat.
Kefan : Ano, tu t'occupe d'Hifumi. Yusuke, tu te prépare à remplacer Ano en cas de problème.
Yusuke : Compris.
Kefan : Ren, Haru, avec moi contre la sorcière.
Makoto : Je m'occuperai des soins.
Shadow Mitsuyo : Vous pensez vraiment pouvoir nous vaincre ? Essayez donc.
Une puissante énergie magique crépitait autour d'elle.
Shadow Hifumi : La défaite est inconcevable.
Anoter : Les amis…ce combat ne sera pas facile.

De leur côté, l'équipe de diversion devait rester sur le qui-vive, tout en continuant de faire suffisamment de dégâts pour maintenir l'attention de l'ennemi sur eux. Les coups de lames, les balles, et les sorts fusaient en tout sens, dans un champ de bataille véritablement chaotique.
Iwai : Je doit vous prévenir, je n'aurais jamais assez de munitions si ça continue à ce rythme.
Rio : Et la fatigue se fait ressentir…
Chihiro : Nos amis comptent sur nous. On maintient la pression.
Kanji : C'est le bon esprit. Venez derrière moi en cas de problème.
Mais dans tout ça, personne ne vit qu'il y avait une personne qui se dirigeait vers le château. Une personne qui n'avait rien à faire ici…

Rarement les BOFABOLD avaient affronté pareil adversaire. Hifumi repoussait systématiquement les assauts de Ano, et même en combinant ses efforts avec Yusuke, cela restait absolument insuffisant.
De leur côté, Kefan, Ren et Haru ne s'en sortait pas très bien non plus. A chaque fois qu'ils pensaient trouver une ouverture, un puissant bouclier se générer, repoussant nos héros.
Anoter : Ca ne sert à rien. Les deux sont des brutes. Si seulement on avait un adversaire en moins…
Futaba : Mauvaise nouvelle. Un signal inconnu se dirige vers vous. C'est….sérieusement ?
Makoto : Qu'est-ce qu'il se passe ?
Futaba : C'est elle !
En effet, au moment où elle dit ça, c'est Hifumi qui entra dans la cour du château.
Kefan : Ca va devenir une habitude ?
Hifumi : Qu'est ce que ça veut dire ? C'est…moi ? Et ma mère ? Et vous, pourquoi vous m'attaquez ?!

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   Posté le 09-01-2022 à 21:35:21   Voir le profil de Franck-Fullbuster (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Franck-Fullbuster   

https://www.youtube.com/watch?v=kvhEYbzToK4
Hifumi regarda tour à tour l'ombre de sa mère et la sienne. Nul besoin de connaissance particulière ni de super pouvoir pour comprendre que beaucoup de questions devaient se bousculer dans sa tête. Finalement, elle en adressa une aux BOFABOLD.
Hifumi : Pourquoi est-ce que vous m'attaquez ?
Personne ne s'attendit à une telle question. Nos héros étaient abasourdis.
Shadow Mitsuyo : Pour te faire échouer, ma chère fille. Ce sont nos ennemis.
Kefan : On avait vraiment pas besoin de ça…
Anoter : Ne te trompes pas de cible. Nous sommes de ton côté.
Hifumi : Ce n'est pourtant pas ce que je vois. Et pourquoi vous portez des masques en plus ?
Ren : Pfff…
Yusuke : Tu pensais pas qu'on garderai les caleçons sur la tête quand même.
Hifumi : C'était donc vous ?
Kefan : Bien sur, qui d'autres ?
Makoto : Je ne suis pas sur que ce soit le bon moment pour débattre de ça.
Hifumi : J'avais reconnu Franck et Futaba. Je pensais les voir ici d'ailleurs.
Haru : Ne t'en fais pas, ils vont bien. Et nous voulons que tu ailles bien toi aussi.
Shadow Mitsuyo : Ne les écoutes pas. Je suis là pour t'aider à atteindre les sommets. J'ai tout fait pour que tu réussisse. Grâce à moi, tes derniers matchs ont était de franc succès.
Hifumi : Comment ça, grâce à toi ? C'était moi et mes stratégies.
Shadow Mitsuyo : Bien sur…et la clémence de tes adversaires n'y est pour rien. Et grâce à qui à ton avis ?
Hifumi : Qu'est-ce que tu veux dire ?
Makoto : Ne me dit pas que…elle aurait truqué les matchs ?
Hifumi : Quoi ?!
Shadow Mitsuyo : Ha ha ha ! Grâce à moi, jamais tu ne connaîtra la défaite !
Hifumi : Mais…à quoi bon avoir des victoires malhonnêtes ? Suis-je vraiment…si incapable ?
Shadow Mitsuyo : Tu es bien moins talentueuse que tu ne le voudrais.
Hifumi : Non…
Yusuke : Ne l'écoutes pas ! Ce n'est pas à elle de décider ce que tu vaut, ou qui tu es vraiment !
Hifumi : Yusuke ?
Yusuke : Tu doit faire face à ta mère, ici et maintenant. C'est comme ça que tu grandiras.
Shadow Mitsuyo : Fait ça, et tu sera face contre terre, en train de mourir.
Yusuke : Quand bien même tu tomberas, nous t'aiderons à te relever.
Shadow Mitsuyo : A quoi bon te rebeller contre moi ? L'honnêteté ? La loyauté ? L'intégrité ? Rien de tout ça ne t'apportera la célébrité et la notoriété que tu vise. Tournes moi le dos, et tu tomberas avec moi, quoi qu'il arrive.
Hifumi : Très bien…j'ai compris ce que je doit faire…
Haru : Hifumi…
Hifumi : Des victoires faciles et sans saveurs, des mensonges pour mon public, ce n'est pas ce que je désire ! GARDES POUR TOI TES MÉTHODES DE LÂCHE !
https://www.youtube.com/watch?v=9APGl1dSaw8
??? : Enfin, il t'en aura fallut du temps…
Soudain, la stratège plaqua ses mains sur sa tête, tombant à genoux.
??? : A quoi bon se cacher derrière un mensonge opaque ? Alors que tu peux bien être plus radieuse que cette imposture. Cette tactique est bien indigne de notre rang. Je ne tolererai plus aucune fuite de ta part.
Hifumi : Je n'en ai plus l'intention. Désormais, je ferai face.
??? : Nous y voilà enfin. Forgeons donc notre contrat parmi les étoiles. Je suis toi, et tu es moi. Laisse cette lumière stellaire illuminer le champ de bataille, et montre leur qui dirige la guerre.
A ce moment là, un demi masque apparut sur le visage d'Hifumi. Elle l'attrapa d'une main…
Hifumi : Montre…moi…SRAOCHAAAAAAA !
Une vague de lumière irradia la zone, comme à chaque fois.
L'ombre d'Hifumi avait complètement disparut. Et la nouvelle Hifumi était bien là, dans sa nouvelle tenue bien plus pratique et théâtrale.
https://www.youtube.com/watch?v=_BNXe3QSLfM
Hifumi : Voila ce que l'on ressent quand on est vraiment puissante.
Elle sorti ses deux lames courtes, puis, s'adressa aux autres.
Hifumi : C'est à moi de régler ça. Assurez vous juste que personne ne nous dérange.
Ren : Compris. Tu peux compter sur nous.
Makoto : Attend ! Tant qu'elle a son bâton, elle peut se protéger.
Shadow Mitsuyo : Exact. Tu ne pourras jamais m'atteindre.
Futaba : Ça, on va voir. Franck, maintenant !
Franck : CANONBALL !!!
Le tireur fonça droit sur la sorcière, fusil d'assaut en avant, vidant son chargeur. Mitsuyo leva son bâton pour se protéger des tirs. C'est à ce moment que Hifumi chargea, et d'un mouvement, désarma la sorcière. Quelques mètres à côté, Franck tomba maladroitement sur le sol.
Futaba : Franck !
Franck : Ça va…à peu près. Futaba…évacuation d'urgence, s'il te plait.
Futaba : Je m'en occupe.
A défaut d'une ambulance, ce furent les tentacules de Necronomicon qui évacuèrent Franck.
Kefan : Si seulement je pouvais filmer ça…
Anoter : J'avoue. Mais on a d'autre problèmes à régler.
Effectivement, les renforts ennemis étaient déjà là.
Yusuke : On compte sur toi Hifumi.
Un cri de guerre générale s'éleva des BOFABOLD, alors qu'ils chargeaient les ennemis. Hifumi faisait face à l'ombre de sa mère, ses lames en mains.
Hifumi : Je vais finir ça rapidement, afin que mes amis et leurs amis n'aient plus à se battre ici.
Shadow Mitsuyo : Tu compte vraiment me tuer ? T'en prendre à ta propre mère ?
Hifumi : Ça s'appelle devenir adulte.
Et elle bondit sur elle, donnant un déluge de coups, dont une bonne moitié ne réussissait pas à être paré. Blessé, l'ombre se téléporta sur le toit du château, et commença à lancer des boules de feu. Hifumi les esquiva avec une facilité et une agilité déconcertante.
Shadow Mitsuyo : Je finirai bien par te toucher !
Hifumi : Aucune chance ! Sraocha, Lumière aveuglante !
Alors que la persona émettait une puissante lumière, la stratège sorti son fusil de précision, et en un instant, épaula, regarda à travers la lunette, et pressa la détente. La balle silencieuse toucha l'épaule. Hifumi réarma son fusil, et tira de nouveau, cette fois dans le genoux de son adversaire, qui chuta du toit.
Hifumi rangea son fusil, et s'approcha de l'ombre, qui tentait de fuir sur le sol. Mais…les BOFABOLD avaient déjà réglé le reste du problème.
Shadow Mitsuyo : Non ! Ne me tuez pas !
Kefan : T'inquiète, c'est pas le but.
Anoter : On va juste t'attacher au poteau, et brûler ta cabane.
Shadow Mitsuyo : Quoi ?!
Hifumi : Ça suffira ?
Ren : T'inquiète, on a l'habitude.
Yusuke : C'est au moins la cinquième fois qu'on fait ça. En tout cas, pour les plus anciens d'entres nous.
Hifumi : J'ai vraiment du mal à le croire. Les Nouveaux Romantiques vont dans des mondes parallèles pour humilier des gens. Et vous en faites partie.
Makoto : Attend. Les…Nouveaux Romantiques ?
Hifumi : Les sous-vêtements en guise de cagoule. C'est comme ça que je vous ai reconnu. Mais ne vous en faites pas. Votre secret sera bien gardé.
Kefan : Je crois que j'ai loupé un épisode…
Anoter : En fait, c'était juste pour la diversion….nous n'avons rien à voir avec eux.
Futaba : En effet, nous sommes les BOFABOLD.
Hifumi : For real ?!

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